Célibataire - Obsession malsaine pour un seul homme, son cauchemar, son bourreau. Un diable auquel il pourrait offrir son âme.
Il est couvert de tatouages. Sur sa main trône la mâchoire de Baba Yaga qui a souvent hanté ses nuits. Pour ne jamais oublier. Ne jamais pardonner.
Il ne voit presque plus de l’oeil gauche suite à un combat de boxe quand il n’avait que vingt ans.
Il a commencé la boxe pour se défouler et pouvoir se défendre contre le possible retour de Baba Yaga.
Il a tendance à fumer un peu trop, mais il ne touche plus à l’alcool depuis trois ans. Il participe aux réunions des alcooliques anonymes.
Doué de ses mains, il n’est pas que bon dans son travail. Il sait aussi cuisiner. Certaines femmes vantent également son doigté.
Il a recueilli un chien qui trainait devant chez lui : Spaghetti
Il fait preuve d’une patience à toute épreuve, mais uniquement avec les enfants.
Il conduit une moto, et roule toujours trop vite. Il a tendance à prendre des risques pour se sentir vivant.
Il s’est souvent retrouvé mêlé à des bagarres à la sortie des bars, mais il est aussi connu pour avoir fait quelques strip-tease sur les tables.
Il a eu une relation avec son professeur de lettres au lycée. Elle était beaucoup plus âgé. Vingt ans de plus que lui.
Il a eu de nombreuses relations d’un soir, incapable de s’attacher, mais il ne se souvient d’aucun prénom. Trop ivre pour avoir un souvenir.
Il laisse la lumière de son couloir allumée la nuit pour pouvoir repérer une ombre qui passerait devant sa chambre. Il se réveille au moindre bruit.
Il a participé pour le calendrier du club de boxe afin de reverser les dons à une association. Il était monsieur Mars.
Il a tenté d’avoir une petite amie pour essayer de vivre une vie normale. Il n’a tenu que trois jours.
Pas très au fait de la mode, son armoire est remplie de jean troués, t-shirt et baskets.
Il s’est fait mordre par un cheval lors d’une sortie scolaire, depuis il n’ose plus s’en approcher.
Il n’a pas parlé à un de ses amis pendant plus de deux semaines parce qu’il avait mangé le dernier chocolat.
Célibataire - Obsession malsaine pour un seul homme, son cauchemar, son bourreau. Un diable auquel il pourrait offrir son âme.
Description :
Il est couvert de tatouages. Sur sa main trône la mâchoire de Baba Yaga qui a souvent hanté ses nuits. Pour ne jamais oublier. Ne jamais pardonner.
Il ne voit presque plus de l’oeil gauche suite à un combat de boxe quand il n’avait que vingt ans.
Il a commencé la boxe pour se défouler et pouvoir se défendre contre le possible retour de Baba Yaga.
Il a tendance à fumer un peu trop, mais il ne touche plus à l’alcool depuis trois ans. Il participe aux réunions des alcooliques anonymes.
Doué de ses mains, il n’est pas que bon dans son travail. Il sait aussi cuisiner. Certaines femmes vantent également son doigté.
Il a recueilli un chien qui trainait devant chez lui : Spaghetti
Il fait preuve d’une patience à toute épreuve, mais uniquement avec les enfants.
Il conduit une moto, et roule toujours trop vite. Il a tendance à prendre des risques pour se sentir vivant.
Il s’est souvent retrouvé mêlé à des bagarres à la sortie des bars, mais il est aussi connu pour avoir fait quelques strip-tease sur les tables.
Il a eu une relation avec son professeur de lettres au lycée. Elle était beaucoup plus âgé. Vingt ans de plus que lui.
Il a eu de nombreuses relations d’un soir, incapable de s’attacher, mais il ne se souvient d’aucun prénom. Trop ivre pour avoir un souvenir.
Il laisse la lumière de son couloir allumée la nuit pour pouvoir repérer une ombre qui passerait devant sa chambre. Il se réveille au moindre bruit.
Il a participé pour le calendrier du club de boxe afin de reverser les dons à une association. Il était monsieur Mars.
Il a tenté d’avoir une petite amie pour essayer de vivre une vie normale. Il n’a tenu que trois jours.
Pas très au fait de la mode, son armoire est remplie de jean troués, t-shirt et baskets.
Il s’est fait mordre par un cheval lors d’une sortie scolaire, depuis il n’ose plus s’en approcher.
Il n’a pas parlé à un de ses amis pendant plus de deux semaines parce qu’il avait mangé le dernier chocolat.
Ce combat, il s’y était préparé. La boxe était son seul remède, l’unique moyen de déverser sa colère, de combattre cette paranoïa qui lui collait à la peau. Sa manière d’évacuer une haine grandissante envers un homme qu’il n’avait pourtant pas vu depuis plus de douze ans. Mais Sebastian, il n’était pas stupide. Il savait qu’il reviendrait. Un jour ou l’autre. Pour venir le chercher. Ce jour il l’attendait, et pourtant il le terrifiait. Alors il bandait ses mains, dissimulant la mâchoire gravée sur sa peau, qui hantait chacune de ses nuits, qui lui volait le peu de sérénité qu’il lui restait. Il avait fini par s’y faire, aux réveils en sursaut, la peau moite, un hurlement bloqué dans le fond de sa gorge. Raison pour laquelle il n’avait jamais autorisé une seule de ses conquêtes à passer la nuit dans son lit. Par fierté, pour protéger cet égo pourtant déjà ébranlé. Il était prisonnier. Enchainé à ce que son corps lui faisait ressentir. A ce que son coeur l’obligeait à comprendre. Il ne pourrait jamais vivre tranquille. Il serait toujours lié à ce monstre. Obsédé par son regard. En une seconde, il avait traversé son âme. Il n’avait fallu qu’une seconde pour le faire sombrer. Une simple seconde pour dévaster ce qui restait de sa vie. Mettre en miette ses rêves et ses envies.
La respiration lente, il avait appris à canaliser son animosité pour les combats, pour faire ressortir toute sa rage au bon moment. Sebastian, il était d’une beauté sombre. Une de celle qui attirait et qui faisait fuir tout à la fois. On pouvait ressentir sa fureur derrière ces sourires. Une violence ancrée au plus profond de son être et qu’il tentait de garder sous contrôle. Les enfants avaient le don d’apaiser ses craintes et pour rien au monde il ne voudrait perdre sa place au sein du club. Il était un bon professeur, attentif et patient. Un rôle qui lui permettait de garder les pieds sur terre, de ne pas se trancher les veines. Mais Sebastian, il était accro à l’adrénaline. Tout comme il l’avait été à l’alcool. Un poison qui coulait dans ses veines et qui avait rythmé ses journées.
Concentré, il laissait la nuit s’abattre sur lui dans un silence obscur. Il entendait les bruits sourds et passionnés de la foule perturber le calme de la nuit. Il était prêt. Prêt à gagner. Les gants enfilés, le torse nu laissant apparaître ses tatouages, son histoire et ses peurs incrustés dans sa peau. Il prenait des coups Sebastian, mais il avait appris à les rendre. Appris à s’attacher à cette douleur physique pour ne pas oublier qu’il existait. Il oubliait le monde qui l’entourait, enfermé dans sa bulle. Alors qu’il abattait ses poings, il ne voyait que son regard. Il n’entendait que sa voix. Et son adversaire, il allait le mettre en pièce. Il se foutait du bleu qui ornerait son oeil, il se foutait de ce goût métallique qui envahissait sa bouche. Une bête sauvage, voilà ce qu’il était devenu. Le temps de quelques minutes, le temps de mettre à terre celui qui avait osé le défier. Le souffle court, il levait le bras vers le ciel, victorieux, et pourtant les traits de son visage fermés. Il devait gagner, parce qu’il avait besoin d’argent. Parce qu’on devait lui présenter un type qui devait le sortir de sa galère.
On lui retirait ses gants et il se débarrassait de son protège dents, crachant le sang qu’il avait encore dans la bouche. Il avait fait des erreurs, trop nombreuses. Mais ce n’était rien comparé à celle qu’il avait faite en acceptant de rencontrer cet inconnu. Il l’avait d’abord trouvé séduisant, de loin, avant de croiser son regard. Un regard qui le paralysait et il se faisait violence pour dissimuler ses tremblements. Son pire cauchemar était là. En face de lui. Dans un corps bien plus attractif. Une obsession qui l’avait déchiré, qui faisait de sa vie un enfer. Submergé par des sentiments qu’il ne comprenait pas, la mâchoire serrée, il avançait lentement, réduisant la distance qui les séparait. Il avait la beauté d’un ange. La noirceur du diable. Baba Yaga. Il lui faisait peur. Envahissant et étouffant. C’était comme le voir partout, peu importait la direction qu’il prenait. Il était enfin là devant lui. Et il n’arrivait pas à s’en libérer. Un fantôme, une chimère. Il avait tout de l’irréel. C’était sans dire un mot, une boule au fond de la gorge qu’il abattait son poing contre son menton. Avec une force qu’il se découvrait. Sebastian, il était brutal, fou, furieux. Il voulait lui prouver qu’il était prêt lui tenir tête. La promesse silencieuse de ne plus jamais fuir. « Je vais te tuer.» Pas aujourd’hui. Pas demain. Un jour. C’était certain.
(c) DΛNDELION
muonster
kim young woo/monster woo
muonster
appart lugubre. itaewon
proxénète sans scrupule
Son of Bad W(b)itches
✶✶✶
36 a. – brute épaisse – macho, égocentrique, manipulateur, pervers, écrasant, sadique, sarcastique, déconneur, imprévisible, curieux, cinglé, grossier, non galant,,carpe diem
✶✶✶
Dep.10 ans à Séoul – Dans l'autre monde, il est la sorcière Baba Yaga, la bouffeuse d'enfants, au chat qui crève des yeux, aux arbres fouetteurs, aux molosses carnassiers, et aux bœufs qui boivent des rivières – Préfère crever que de retourner à Wonderland – Réputé dans le milieu des proxo – A déjà un casier judiciaire, mais se fait difficilement pincé – Ne se drogue pas mais drogue les autres – Très bonne résistance à l'alcool – Fumeur maladif – à l'aise niveau thune – aucune famille – Vit dans un appart pourri mais mieux que sa chaumière moisie de Wonderland qui pue la chair brûlée
couvert de tatouages – zero pudeur - jette ce qui gène par les fenêtres - déteste danser et chanter - adepte de MMA - aucun permis, conduit une bagnole qui n'est même pas la sienne – A le sommeil très lourd - Ne montera jamais sur un vélo ni un poney – Ne met jamais de sous vêtements – déteste les capotes - obsession pour les ventres, les bouches et ce qui a peur de lui – claustrophobe – Aime faire crever les plantes vertes en pissant dessus - sait cuisiner sans problème - Déformation professionnelle du « Je t'engraisse pour mieux te manger après » de l'autre monde - voix très grave – déteste tomber malade.
Handicaps : Attire tous les chiens et chats errants à son insu – Aimant à gosses, mais les déteste, les terrifie, et se fait frapper par leurs mères - Accroc à la viande et son l'odeur, mais son corps lui fait tout gerber à chaque fois – Appétit sexuel insatiable, voyeur, accro au porno, punition pour son appétit cannibale démesuré dans wonderland. Il est obligé de se soûler à mort pour arrêter une pulsion, se barrer ou se battre.
** MY WORST FALL
KILLMEBUTI'LLF*CKU
171
17/11/2019
Petite Bouille :
Pseudo :
muonster
Avatar :
kim young woo/monster woo
Crédits :
muonster
Lieu de vie :
appart lugubre. itaewon
Occupation :
proxénète sans scrupule
Situation :
Son of Bad W(b)itches
✶✶✶
Description :
36 a. – brute épaisse – macho, égocentrique, manipulateur, pervers, écrasant, sadique, sarcastique, déconneur, imprévisible, curieux, cinglé, grossier, non galant,,carpe diem
✶✶✶
Dep.10 ans à Séoul – Dans l'autre monde, il est la sorcière Baba Yaga, la bouffeuse d'enfants, au chat qui crève des yeux, aux arbres fouetteurs, aux molosses carnassiers, et aux bœufs qui boivent des rivières – Préfère crever que de retourner à Wonderland – Réputé dans le milieu des proxo – A déjà un casier judiciaire, mais se fait difficilement pincé – Ne se drogue pas mais drogue les autres – Très bonne résistance à l'alcool – Fumeur maladif – à l'aise niveau thune – aucune famille – Vit dans un appart pourri mais mieux que sa chaumière moisie de Wonderland qui pue la chair brûlée
couvert de tatouages – zero pudeur - jette ce qui gène par les fenêtres - déteste danser et chanter - adepte de MMA - aucun permis, conduit une bagnole qui n'est même pas la sienne – A le sommeil très lourd - Ne montera jamais sur un vélo ni un poney – Ne met jamais de sous vêtements – déteste les capotes - obsession pour les ventres, les bouches et ce qui a peur de lui – claustrophobe – Aime faire crever les plantes vertes en pissant dessus - sait cuisiner sans problème - Déformation professionnelle du « Je t'engraisse pour mieux te manger après » de l'autre monde - voix très grave – déteste tomber malade.
Handicaps : Attire tous les chiens et chats errants à son insu – Aimant à gosses, mais les déteste, les terrifie, et se fait frapper par leurs mères - Accroc à la viande et son l'odeur, mais son corps lui fait tout gerber à chaque fois – Appétit sexuel insatiable, voyeur, accro au porno, punition pour son appétit cannibale démesuré dans wonderland. Il est obligé de se soûler à mort pour arrêter une pulsion, se barrer ou se battre.
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KILLMEBUTI'LLF*CKU
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171
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17/11/2019
Byaeyang Aam Bao
tales - baba yaga
Dim 22 Déc - 17:47
Byaeyang Aam Bao
Monsters are real Seb
CONTENU OU LANGAGE SENSIBLES. TU CLIC T'ASSUMES!:
Mon crâne pèse. Lourd sur ma nuque depuis plusieurs jours. Quelque chose ne va pas. L'air. Mon humeur est merdique. Depuis le coup de poignard de ce petit con de savior, je vomis sur chaque existence tout monde confondu, ma colonne vertébrale fumant de mes maux longtemps mis sous silence. L'envie de tout relâcher comme une boite de Pandore, envie de retrouver ma magie pour gerber sur ce monde superficiel et faible toute ma fureur intériorisée en douze années, douze putains d'années, bagnard de mon propre corps. Chaînes invisibles à mes poignets, m'entamant spirituellement les poignets jusqu'à l'os, ce néant réaliste qui bride ma noirceur, ces foutres de guerre défectueux qui veulent me dresser en chien obéissant, mais même si j'en donne l'impression, je ne le serai jamais. Irrémédiable enragé, peut-être genèse même de ce virus, je bave sur vos prudes consciences qui se veulent innocentes, mais aucun de vous ne l'est et ne sera sauvé. Vous osez vouloir me rendre meilleur. Et quand je m'y plie un temps soit peu, on me plante un couteau dans les viscères avec un « oups ». Oups. Trois jours déjà. Hyunnie a détruit cet équilibre vital à tous, et ce sourire macabre et métallique, est ressorti en mon tréfonds, m'ouvrant mentalement la gueule dans la largeur comme une putain de poupée rouillée. Tout est à refaire. J'ai envie de sang, de chair. J'ai envie du son des os qui se brisent et de la viande qui suinte. Envie de violence. De crépitement, que ce soit mon feu ou ton existence qui flambe. J'peine à contenir ma colère devant mes filles, putains postpupertaires à peine conscientes que je pourrais leur péter les rotules avec le petit doigt. L'envie de voir leur crâne s'écrasent dans un mur comme un parpaing sur une omelette, et regarder les bouts tomber au sol avec satisfaction mais ici bas, ça ne se fait pas. Ils ont vu que quelque chose a changé. C'est déjà arrivé.
J'ai quitté cet univers ce soir, pour me plonger dans un autre qui me soulage... je vois les corps se détruire les uns les autres entre ces cordes déjà tachées de nombreux sangs sur lesquelles j'y mettrais bien la langue juste pour voir si certains sont goutteux mais ici, les MST grouillent, ce monde où les maladies pullulent. J'en suis une, je compatis à leur mode de reproduction, par les fluides. Je fais pareil, c'est dégueulasse dit comme ça, mais jamais aucun de mes gosses n'est né. Avorté ou sous plastique, rip pseudo descendance, je n'en veux pas. Probablement par narcissisme, après tant d'années vécu. Aucune descendance ne pourrait prétendre à m'égaler, je les tuerai avant. Ma légende finira avec moi. La mâchoire de l'un finit en vrac, un autre se fait piétiner les parties, dommage c'est souvent le meilleur ça... brulez-moi. J'aime ce que je suis depuis cette blessure, la douleur et l'infection possible, en dépit du passage du médecin ayant baissé mes censures comportementales. Je me délecte de chaque dentition qui saute, comme œil qui pisse le sang, chaque cri de douleur, ça me fout des frissons et j'ai envie de continuer le travail, les avant bras se hérissant, m'obligeant à les frotter et mes doigts me démangent. Trop longtemps à la diète, sevré de force à la sauvage, ils m'ont déglingué, rendu pire et ce collier à mon cou me rend fou ce soir.
Le karma cette p*te. Déjà entamé psychologiquement, je prends une claque en pleine gueule au dernier combat. Le clou du spectacle de cet underground non officiel. Cette gueule. Je bloque. Transis, mon cerveau inhibe tout son venant de l'extérieur. Ces yeux. Cette bouche. Ces traits. Cette impression dans mes tripes qui me foutrait presque la trique. Toute expression disparaît de mon visage, mes rétines se dilatent sous la lumière qui baisse pour donner une ambiance. Impossible... Mon cœur a ignoré comme battre quelques secondes, tous mes organes sur pause. Le malaise. L'envie. La bête sexuelle en moi qui défonce celle qui arrache des membres de l'autre et le peu qu'il me reste de conscience logique qui cherche à comprendre, à gérer tout ça, et la rageuse qui hurle de le tuer, de le faire cuire, de sauter sur le ring et le ramener d'où ils viennent pour finir le travail. Le chaos. Chaque molécule en mon organisme se faisant la guerre à qui aurait raison. Pourtant j'bouge pas.
Il est passé. Deux ans de traque. Dix ans de torture à essayer d'oublier celui qui est de l'autre coté, le seul corps qui m'a échappé, j'ai encore son odeur dans mes tripes. Est-ce qu'il a encore la même. Plus vieux. Plus grand. Putain. Tatoué. Adulte. Il déroge à tout mon self control interne et fout le bordel, j'peux pas m' planter. On m'a dit que le dernier combattant tatoué serait celui pour qui j'ai promis un financement personnel. Karma putain je t'aime. Est-ce pour ça que je me suis fait planté y'a deux jours ? Donnant donnant. Vas y plante moi dix fois si c'est pour lui. Il est passé de mon coté. Quand. Si j'avais su merde. J'absorbe ce que je vois. Chaque muscle qui encaisse, chaque son, chaque expression de fureur. Tout. Et putain j'aime. Ce qu'il dégage. Sa force. Ce qu'il est devenu, comme un cuvée qu'on a laissé mûrir.
Il ne le sait pas, il n'a pas conscience que je suis là dans l'ombre... mais il me fait renaître.
Et quand tout finit, je vois sa fatigue, je la ressens... je me lève, le regard froid, reprenant mon calme habituel, m'allumant une clope pour sortir des gradins , rentrant dans les couloirs. C'est ce qu'il me fallait. Tic … toc... tic … toc... entends-tu ce son qui te suit mon petit, celui de ton existence qui a repris parce que je t'ai senti, je t'ai vu, je t'ai entendu... Je croise plusieurs groupes qui ne cherchent même pas à me bousculer, lourdeur d'aura sombre sur mes épaules qui écrasent autrui sur son passage. Bougez, bande de cons, ou j'vous explose la gueule au sol, j'ai à faire ce soir. Mon horloge reprend vie après dix ans. Les putes qui sont là d'un autre mac ne m'approchent même pas, elles savent que je suis le bâtard qui frappe ses filles du secteur sud. Garde ta syphilis. Je finis par arriver dans le bon couloir pour lui couper la route et ralentit le pas, le voyant se rapprocher. Je sais qu'il sera violent. Bizarrement, même si j'suis déjà blessé, ça m'excite. Tant de manque, tant de torture, tant de morts pour lui... cette petit merdeux qui court trop vite et qui est trop malin. Est-il passé du coté sombre à cause de moi ? Si dommage ? Non. Je déconne. J'adore ça. Un animal. Je souffle ma fumée, attendant de voir s'il va me reconnaître... il est le seul à connaître mes deux visages. Même s'en souvient-il.
Il se fige. Je m'arrête lentement. Ça y est il a tilté. Vas-y … lache-toi... Seb... on n'oublie pas son neveu par alliance. Des regrets d'avoir voulu le faire cuire et le dévorer il y a douze ans ? Aucun. Il reprend son pas mais je sais ce qu'il veut. Je ne pare rien, je le mérite ou je le désire, les deux. Ma mâchoire se fait percuter. Déstabilisé je ne reste pas sur place mais me redresse en la frottant d'une main. La métamorphose me grise. Pire. Tout me submerge en même temps. La douleur. Le bonheur. Le plaisir. L'excitation. La prédation. Ma langue passe sur ma lèvre coupée par le coup et je le toise en me tordant un peu la nuque pour la soulager de ce choc soudain. «... et j'aime ça... »
Une incitation à ce qu'il recommence ? Pourquoi pas. Mais s'il part la dedans, j'espère que son cul est prêt. Mon regard descend sur lui. Putain, j'ai envie de le bouffer... chaque cellule en moi vibre de cette envie... Et comme voulant couper court à ce règlement de compte, le type qui l'accompagnait se met entre nous deux. Oh … l'inconscient... casse-toi bouffon. « Seb, calme-toi c'est ton financement que tu frappes !? T'es con ou quoi ? »Je ne le lâche pas du regard le petit lapin, et la lèvre toujours saignant je lève doucement ma carte bleue au bout de mes doigts, un sourire à peine visible en coin. « Tu devrais conseiller à ton page de pas se mettre entre nous deux... » Je marque une pause en finissant de fumer mon mégot pour le tacler au loin. « … qui aurait cru que t'étais passé toi aussi... j'ai passé toutes ces années à penser que j'pourrai plus jamais t'chasser... » Je le détaille calmement les mains dans les poches de nouveau très sérieux. « T'es devenu sacrément canon... j'vais presque m'en vouloir de t’abîmer un jour... » « J'peux savoir de quoi il parle ? » Est-ce que j'allais vraiment l'abimer? j'en sais rien de ce que nous réserve l'avenir, mais une chose est sûre je veux provoquer ses réactions, voir ce qui a évolué en lui de son ressenti à mon égard et voir où on reprend ce jeu malsain et destructeur qui a commencé il y a douze ans... parce que quoi qu'il en dise... je le vois... je l'ai obsédé... il est maudit ou pas, c'est dans ses gênes. Nous sommes liés pour le pire. Et il va aimer me haïr, j'en fais le serment. On n'me fait pas languir douze ans impunément...
Deliora
Kim Won Sik - Ravi
Point de suture
Itaewon
Mécanicien - Professeur de boxe pour enfant
Célibataire - Obsession malsaine pour un seul homme, son cauchemar, son bourreau. Un diable auquel il pourrait offrir son âme.
Il est couvert de tatouages. Sur sa main trône la mâchoire de Baba Yaga qui a souvent hanté ses nuits. Pour ne jamais oublier. Ne jamais pardonner.
Il ne voit presque plus de l’oeil gauche suite à un combat de boxe quand il n’avait que vingt ans.
Il a commencé la boxe pour se défouler et pouvoir se défendre contre le possible retour de Baba Yaga.
Il a tendance à fumer un peu trop, mais il ne touche plus à l’alcool depuis trois ans. Il participe aux réunions des alcooliques anonymes.
Doué de ses mains, il n’est pas que bon dans son travail. Il sait aussi cuisiner. Certaines femmes vantent également son doigté.
Il a recueilli un chien qui trainait devant chez lui : Spaghetti
Il fait preuve d’une patience à toute épreuve, mais uniquement avec les enfants.
Il conduit une moto, et roule toujours trop vite. Il a tendance à prendre des risques pour se sentir vivant.
Il s’est souvent retrouvé mêlé à des bagarres à la sortie des bars, mais il est aussi connu pour avoir fait quelques strip-tease sur les tables.
Il a eu une relation avec son professeur de lettres au lycée. Elle était beaucoup plus âgé. Vingt ans de plus que lui.
Il a eu de nombreuses relations d’un soir, incapable de s’attacher, mais il ne se souvient d’aucun prénom. Trop ivre pour avoir un souvenir.
Il laisse la lumière de son couloir allumée la nuit pour pouvoir repérer une ombre qui passerait devant sa chambre. Il se réveille au moindre bruit.
Il a participé pour le calendrier du club de boxe afin de reverser les dons à une association. Il était monsieur Mars.
Il a tenté d’avoir une petite amie pour essayer de vivre une vie normale. Il n’a tenu que trois jours.
Pas très au fait de la mode, son armoire est remplie de jean troués, t-shirt et baskets.
Il s’est fait mordre par un cheval lors d’une sortie scolaire, depuis il n’ose plus s’en approcher.
Il n’a pas parlé à un de ses amis pendant plus de deux semaines parce qu’il avait mangé le dernier chocolat.
Célibataire - Obsession malsaine pour un seul homme, son cauchemar, son bourreau. Un diable auquel il pourrait offrir son âme.
Description :
Il est couvert de tatouages. Sur sa main trône la mâchoire de Baba Yaga qui a souvent hanté ses nuits. Pour ne jamais oublier. Ne jamais pardonner.
Il ne voit presque plus de l’oeil gauche suite à un combat de boxe quand il n’avait que vingt ans.
Il a commencé la boxe pour se défouler et pouvoir se défendre contre le possible retour de Baba Yaga.
Il a tendance à fumer un peu trop, mais il ne touche plus à l’alcool depuis trois ans. Il participe aux réunions des alcooliques anonymes.
Doué de ses mains, il n’est pas que bon dans son travail. Il sait aussi cuisiner. Certaines femmes vantent également son doigté.
Il a recueilli un chien qui trainait devant chez lui : Spaghetti
Il fait preuve d’une patience à toute épreuve, mais uniquement avec les enfants.
Il conduit une moto, et roule toujours trop vite. Il a tendance à prendre des risques pour se sentir vivant.
Il s’est souvent retrouvé mêlé à des bagarres à la sortie des bars, mais il est aussi connu pour avoir fait quelques strip-tease sur les tables.
Il a eu une relation avec son professeur de lettres au lycée. Elle était beaucoup plus âgé. Vingt ans de plus que lui.
Il a eu de nombreuses relations d’un soir, incapable de s’attacher, mais il ne se souvient d’aucun prénom. Trop ivre pour avoir un souvenir.
Il laisse la lumière de son couloir allumée la nuit pour pouvoir repérer une ombre qui passerait devant sa chambre. Il se réveille au moindre bruit.
Il a participé pour le calendrier du club de boxe afin de reverser les dons à une association. Il était monsieur Mars.
Il a tenté d’avoir une petite amie pour essayer de vivre une vie normale. Il n’a tenu que trois jours.
Pas très au fait de la mode, son armoire est remplie de jean troués, t-shirt et baskets.
Il s’est fait mordre par un cheval lors d’une sortie scolaire, depuis il n’ose plus s’en approcher.
Il n’a pas parlé à un de ses amis pendant plus de deux semaines parce qu’il avait mangé le dernier chocolat.
Sa vie, elle n’avait tourné qu’autour de lui. De ce terrible et hideux souvenir qui lui avait si souvent filer la gerbe. Un visage, une odeur, une mâchoire. Empreintes indélébiles au creux de son âme. Incrustées dans chaque parcelle de sa peau. La haine infiltrée dans ses veines. C’était comme mourir de son absence et encore plus de sa présence. Il lui avait imposé des années de violence, d’une rage intarissable, une envie de crever qui lui avait souvent retourné les tripes. Une descente aux enfers sans fin. Des démons qui l’avaient déchiqueter, fait hurler de douleur à s’en briser la voix. Esclave de ses angoisses et d’une peur sur laquelle il ne pouvait pas poser de mots. Sebastian il n’avait été qu’une bête sauvage tombée dans un monde qui n’était pas le sien. Prêt à mordre le premier qui osait l’approcher. Il avait fallu l’apprivoiser, mais jamais, ô grand jamais il ne s’était senti en sécurité. Une terreur mélangée à la colère qui avait rythmé ses jours et ses nuits durant plus de dix ans. Dix longues années d’appétit féroce pour la destruction. Il avait bien tenté d’annihiler son désespoir, de combler ce vide dans sa poitrine avec l’alcool. Doux breuvage qui lui avait donné l’illusion qu’il pouvait peut-être être heureux.
La présence de Baba Yaga, il la ressentait à travers son épiderme, jusqu’à l’échine. Il l’avait brisé, mais il l’avait aussi rendu plus fort. Il était loin le gamin qui aurait flanché face à ce regard empli de folie. Un regard brillant de désir. Celui quand lequel il s’était perdu douze ans plus tôt avant de disparaître. Il n’avait plus le même physique, mais sa prestance, sa perversion et sa démence restaient les mêmes. Il le faisait trembler de l’intérieur, faisait gronder sa fureur. Ce coup qu’il lui avait asséné n’était qu’une manière de le saluer. Les poings serrés à s’en faire mal, il ne pouvait pourtant s’empêcher de laisser courir ce regard sur ce nouveau corps, ses muscles parfaitement dessinés qu’il pouvait deviner sous ce pull qui lui collait scandaleusement à la peau. Le son de sa voix le faisait vibrer et cette haine si viscérale se laissait troubler par un désir qui lui dévorait les reins. Ses iris ancrées dans les siennes, il soutenait son regard avec conviction, un air de défit peint sur le visage. Il entendait à peine les mots de son ami, trop concentré sur la vision diabolique qu’il avait sous les yeux. Un lourd silence, voilà ce qu’il lui offrait comme réponse. Prêt à le frapper à nouveau. Le frapper jusqu’à le défigurer, lui rendre sa véritable apparence.
Les mots qu’ils prononçaient le faisaient replonger dans un passé qu’il avait vainement tenté d’enterrer. « La chasse est terminée. Je ne cours plus.» La fuite, il l’avait pratiqué durant des années et maintenant que sa chimère se trouvait face à lui, il ne lui tournerait pas le dos. Il ne lui ferait pas le plaisir de lui exposer sa peur, où bien, il se ferait dévorer, mettre en pièce en l’espace d’une seconde. Il n’avait peut-être plus ses crocs bien acérés, mais il était bien conscient qu’avec un homme pareil, sa vie ne tenait qu’à un fil. « Rien. Juste un vieux souvenir. Tu peux y aller Young Jae. Je suis capable de gérer mes affaires seul.» qu’il disait sans même lui accorder un regard, incapable de se décrocher de celui de son pire cauchemar. Il valait mieux éloigner son ami avant qu’il ne se retrouver au milieu de ce qui allait sûrement être un véritable carnage. Epuisé par son combat, le sang de l’autre sur son torse tatoué, il ressentait pourtant un véritable soulagement. Le coeur écrasé par les souvenirs, il pouvait enfin respirer. Parce qu’il n’avait plus besoin de se cacher, plus besoin de se demander quand il finirait par le retrouver, quand le couperet allait tomber. Il était là. Enfin.
« Je veux pas de ton fric.» Non, tout ce qu’il désirait c’était lui sauter à la gorge et lui la lui ouvrir, le laisser se vider de son sang, tel l’animal qu’il était. Son obsession malsaine, le monstre de son placard. « Je veux rien n’avoir à faire avec toi.» Et pourtant, qu’il le veuille ou non, ils étaient liés. Pour le pire, plus que le meilleur. Sa langue passait et repassait sur ses lèvres alors qu’il observait celles de l’ancien sorcier. Tendant le bras, le pouce appuyé sur la lèvre abimée pour en ôter le sang. Il n’avait pas peur de le toucher, de s’approcher si près de cette mâchoire qui n’était plus la même. Totalement différente de celle qui épousait le dessus de sa main. « T’as l’air plus fragile.» qu’il se permettait de dire, un petit sourire mauvais aux lèvres. Sebastian, il était sous son emprise, et plus il se débattait, plus il se noyait dans ses yeux.
(c) DΛNDELION
muonster
kim young woo/monster woo
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appart lugubre. itaewon
proxénète sans scrupule
Son of Bad W(b)itches
✶✶✶
36 a. – brute épaisse – macho, égocentrique, manipulateur, pervers, écrasant, sadique, sarcastique, déconneur, imprévisible, curieux, cinglé, grossier, non galant,,carpe diem
✶✶✶
Dep.10 ans à Séoul – Dans l'autre monde, il est la sorcière Baba Yaga, la bouffeuse d'enfants, au chat qui crève des yeux, aux arbres fouetteurs, aux molosses carnassiers, et aux bœufs qui boivent des rivières – Préfère crever que de retourner à Wonderland – Réputé dans le milieu des proxo – A déjà un casier judiciaire, mais se fait difficilement pincé – Ne se drogue pas mais drogue les autres – Très bonne résistance à l'alcool – Fumeur maladif – à l'aise niveau thune – aucune famille – Vit dans un appart pourri mais mieux que sa chaumière moisie de Wonderland qui pue la chair brûlée
couvert de tatouages – zero pudeur - jette ce qui gène par les fenêtres - déteste danser et chanter - adepte de MMA - aucun permis, conduit une bagnole qui n'est même pas la sienne – A le sommeil très lourd - Ne montera jamais sur un vélo ni un poney – Ne met jamais de sous vêtements – déteste les capotes - obsession pour les ventres, les bouches et ce qui a peur de lui – claustrophobe – Aime faire crever les plantes vertes en pissant dessus - sait cuisiner sans problème - Déformation professionnelle du « Je t'engraisse pour mieux te manger après » de l'autre monde - voix très grave – déteste tomber malade.
Handicaps : Attire tous les chiens et chats errants à son insu – Aimant à gosses, mais les déteste, les terrifie, et se fait frapper par leurs mères - Accroc à la viande et son l'odeur, mais son corps lui fait tout gerber à chaque fois – Appétit sexuel insatiable, voyeur, accro au porno, punition pour son appétit cannibale démesuré dans wonderland. Il est obligé de se soûler à mort pour arrêter une pulsion, se barrer ou se battre.
** MY WORST FALL
KILLMEBUTI'LLF*CKU
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Description :
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Byaeyang Aam Bao
tales - baba yaga
Jeu 26 Déc - 20:05
Byaeyang Aam Bao
Monsters are real Seb
J'aime cette voix... ce timbre. Si mature en rapport à mon souvenir Cette sauvagerie qui se dégage de lui. La chasse est terminée dit-il, il n'a rien compris. Elle ne fait que commencer. Parce qu'il ne court plus, parce que je ne le cherche plus depuis un moment déjà et qu'il a transformé tout ça à sa manière. La chasse n'est pas terminée, tout simplement parce que les roles se sont inversés. A présent, il va également chercher à me chasser, il va me chercher, me courir après. Je le vois dans ses rétines et il n'existe rien qui pourrait m'en dissuader. Quand il prononce ces mots, je ne dis rien, je le laisse croire ce qu'il veut, mon ventre incendié de cette sensation qui m'a tant manqué, celle de l'autre monde, comme si nous étions seuls à savoir qu'il existe... ça le rend unique, il l'était déjà en étant le seul qui m'a échappé en tant de décennies... mais dès lors que j'ai posé les yeux sur le tapis de combat, c'est comme si nous avions été réabsorbés de l'autre coté. Dans ce sous bois. Il était tout jeune , je m'en souviens encore... Sa peau était lisse et sans marque. Sans cicatrice du temps. Cela aurait du être à moi d'entailler cette couche pâle et pourtant j'm'y surprends à aimer que les autres l'aient fait.
Un vieux souvenir. Soit. Est-ce que ça me fait mal ? Pourquoi ? Il ment. Je baisse les yeux sur le mec qui s'excite entre nous . Il me lorgne avec ses yeux médusés, perdu, et je ne lui expliquerai certainement pas que son boxeur est et restera à jamais mon steak. Si mochement dit mais pour moi, la viande a une valeur ultime. Le reste de sueur, les traits tirés, les cheveux humides, le reste de furie qui flotte au coin de ses iris... joyeux noel baba yaga... J'enfonce mes mains dans mes poches. Je ne bougerai pas. Je sais très bien qu'il n'en veux pas de ce fric, mais c'est pas comme s'il avait le choix. « Vraiment ? » Rien à faire avec moi hein. Je sais que si. Je le sais. Il veut s'approcher, ça le brûle. Le monstre qui ne peut pas le découper en morceau dans ce monde. Bien sûr qu'il veut s'approcher de ça, il se sent puissant ce petit con, alors je lui laisse croire, c'est grisant. Je vois très bien ce qu'il regarde. Hey bien Seb, on s'est dévergondé depuis tout ce temps ? Qu'est-ce que t'as bien pu foutre en dix ans ? Est-ce que tu as osé t'empêtrer dans la sexe, la violence et le désordre, et tous ses excès... comme tu en as l'odeur mon enfant. Je fixe cette griffure suintante sur sa gorge et une autre légère sur sa joue, probablement les coutures des gants de son adversaire en désespoir de cause. De l'autre coté, il m'aurait suffi de souffler une phrase dialectique pour que le sang sort de lui même de son épiderme et ne vienne se lover contre ma langue, mais ici , j'aime d'autant plus l'idée de me frustrer.
Et alors que je regarde le mec s'en aller, congédié par son cadet blessé, je ne vois pas arrivé sa main. Je ne m'attendais pas à ça. Du tout. L'incompréhension à mon tour. Ses doigts touchent ma lèvre entamée, mes yeux font un aller retour lents entre son geste et son visage. A quoi joue-t-il ? Une sensation étrange grouille en mes tripes, mon souffle ralenti, au même titre que le temps, du moins c'est ma sensation. J'ai l'impression de son aura grimpe le long de mes jambes et putain ce que j'aime ça. Est-ce que je l'aurais contaminé il y a de cela dix ans ? Est-ce que mon âme peut en corrompre d'autres comme un virus dans l'autre monde ? Ma mère n'étant pas Baba Yaga , comment le suis-je devenu , par contamination aussi ? Je ne me suis jamais posé la question. J'ai toujours eu l'impression d'être ainsi depuis petit. Son audace me captive, je ne sais même pas comment réagir. Sur sa main, un autre sang qui me fait frissonner rien à l'odeur. Est-ce le sien ? Je vérifie d'un bref coup d’œil que personne n'est dans le couloir, avant de monter ma main sur la sienne, sans violence. Je tourne un peu le visage vers le revers de ses phalanges abîmées et il écrase souplement ma langue, fermant en parti les yeux pour sentir tous les poils de ma nuque se hérisser... ce goût. Je rouvre les yeux « La chasse n'a jamais cessé... sinon pourquoi tu te serais préparé... » que je corrige la voix un peu enroué du froid ambiant des couloirs, observant ces doigts qui ont pris de l'âge, le sang s’étalant sur mes papilles. Ça va encore me rendre malade mais je m'en fous. J'veux bien crever si c'est de sa main. C'est trop bon... et salé... sa sueur peut-être. Je ne tiens plus sa main mais ne bouge pas pour autant, la replongeant dans ma poche. « Pas fragile... blessé... » ai-je honte de l'avouer. Non, pourquoi, justement je veux voir ce qu'il va dire. Va-t-il en profiter pour m'achever ?
Deliora
Kim Won Sik - Ravi
Point de suture
Itaewon
Mécanicien - Professeur de boxe pour enfant
Célibataire - Obsession malsaine pour un seul homme, son cauchemar, son bourreau. Un diable auquel il pourrait offrir son âme.
Il est couvert de tatouages. Sur sa main trône la mâchoire de Baba Yaga qui a souvent hanté ses nuits. Pour ne jamais oublier. Ne jamais pardonner.
Il ne voit presque plus de l’oeil gauche suite à un combat de boxe quand il n’avait que vingt ans.
Il a commencé la boxe pour se défouler et pouvoir se défendre contre le possible retour de Baba Yaga.
Il a tendance à fumer un peu trop, mais il ne touche plus à l’alcool depuis trois ans. Il participe aux réunions des alcooliques anonymes.
Doué de ses mains, il n’est pas que bon dans son travail. Il sait aussi cuisiner. Certaines femmes vantent également son doigté.
Il a recueilli un chien qui trainait devant chez lui : Spaghetti
Il fait preuve d’une patience à toute épreuve, mais uniquement avec les enfants.
Il conduit une moto, et roule toujours trop vite. Il a tendance à prendre des risques pour se sentir vivant.
Il s’est souvent retrouvé mêlé à des bagarres à la sortie des bars, mais il est aussi connu pour avoir fait quelques strip-tease sur les tables.
Il a eu une relation avec son professeur de lettres au lycée. Elle était beaucoup plus âgé. Vingt ans de plus que lui.
Il a eu de nombreuses relations d’un soir, incapable de s’attacher, mais il ne se souvient d’aucun prénom. Trop ivre pour avoir un souvenir.
Il laisse la lumière de son couloir allumée la nuit pour pouvoir repérer une ombre qui passerait devant sa chambre. Il se réveille au moindre bruit.
Il a participé pour le calendrier du club de boxe afin de reverser les dons à une association. Il était monsieur Mars.
Il a tenté d’avoir une petite amie pour essayer de vivre une vie normale. Il n’a tenu que trois jours.
Pas très au fait de la mode, son armoire est remplie de jean troués, t-shirt et baskets.
Il s’est fait mordre par un cheval lors d’une sortie scolaire, depuis il n’ose plus s’en approcher.
Il n’a pas parlé à un de ses amis pendant plus de deux semaines parce qu’il avait mangé le dernier chocolat.
Célibataire - Obsession malsaine pour un seul homme, son cauchemar, son bourreau. Un diable auquel il pourrait offrir son âme.
Description :
Il est couvert de tatouages. Sur sa main trône la mâchoire de Baba Yaga qui a souvent hanté ses nuits. Pour ne jamais oublier. Ne jamais pardonner.
Il ne voit presque plus de l’oeil gauche suite à un combat de boxe quand il n’avait que vingt ans.
Il a commencé la boxe pour se défouler et pouvoir se défendre contre le possible retour de Baba Yaga.
Il a tendance à fumer un peu trop, mais il ne touche plus à l’alcool depuis trois ans. Il participe aux réunions des alcooliques anonymes.
Doué de ses mains, il n’est pas que bon dans son travail. Il sait aussi cuisiner. Certaines femmes vantent également son doigté.
Il a recueilli un chien qui trainait devant chez lui : Spaghetti
Il fait preuve d’une patience à toute épreuve, mais uniquement avec les enfants.
Il conduit une moto, et roule toujours trop vite. Il a tendance à prendre des risques pour se sentir vivant.
Il s’est souvent retrouvé mêlé à des bagarres à la sortie des bars, mais il est aussi connu pour avoir fait quelques strip-tease sur les tables.
Il a eu une relation avec son professeur de lettres au lycée. Elle était beaucoup plus âgé. Vingt ans de plus que lui.
Il a eu de nombreuses relations d’un soir, incapable de s’attacher, mais il ne se souvient d’aucun prénom. Trop ivre pour avoir un souvenir.
Il laisse la lumière de son couloir allumée la nuit pour pouvoir repérer une ombre qui passerait devant sa chambre. Il se réveille au moindre bruit.
Il a participé pour le calendrier du club de boxe afin de reverser les dons à une association. Il était monsieur Mars.
Il a tenté d’avoir une petite amie pour essayer de vivre une vie normale. Il n’a tenu que trois jours.
Pas très au fait de la mode, son armoire est remplie de jean troués, t-shirt et baskets.
Il s’est fait mordre par un cheval lors d’une sortie scolaire, depuis il n’ose plus s’en approcher.
Il n’a pas parlé à un de ses amis pendant plus de deux semaines parce qu’il avait mangé le dernier chocolat.
La chasse était terminée. Il avait eu envie de le croire alors qu’il avait prononcé ces mots d’un ton aussi posé que possible. Tant que l’un deux seraient toujours vivants, la traque ne s’arrêterait jamais. Et Sebastian, il n’était même pas certain qu’avec la mort de Baba Yaga son obsession puisse disparaître. Il avait représenté douze ans de sa vie, il était devenu une partie de son monde. Est-ce qu’il pourrait supporter son absence ? En particulier maintenant qu’il avait pris une forme bien plus attirante que celle qu’il connaissait et qui avait hanté tous ses cauchemars. Dans ces conditions, il voulait bien l’autoriser à faire partie de ses rêves. Des rêves qui seraient tout aussi sensuels que violents. Il ne pouvait pas expliquer cette sensations cette chaleur au creux de ses reins face à cet homme. C’était terriblement malsain de le désirer, alors qu’il voulait juste lui trancher la gorge. Son regard traversait son âme et il lui fallait beaucoup de courage pour ne pas trembler devant autant de charisme, une prestance qui avait failli l’écraser dans ses souvenirs.
Son amertume, sa haine, il avait tenté de les noyer dans l’alcool, dans le sexe, et tout autre vices qui lui offraient quelques minutes de répit. Oh il en avait eu des femmes dans sa vie, mais pas plus d’une nuit. Certaines dont il n’avait même pas demandé le nom. Aucune d’elles n’avaient réussi à l’électriser. Pas comme ce connard le faisait d’un simple sourire salace. Baba Yaga, la définition même de l’obscénité. Son regard brillant s’ancrait dans le sien, et il pouvait la voir, cette lueur amusée. La corps recouvert de sueur, sa poitrine se soulevait au rythme de sa respiration, presque lourde. « Vraiment.» qu’il confirmait d’un ton sec. Qu’est-ce qu’il pouvait bien foutre avec un type comme lui ? Un connard de la pire espèce. Il méritait mieux Sebastian. Tellement mieux. Alors pourquoi est-ce qu’il crevait d’envie d’accepter ? Juste pour l’avoir à l’oeil ? Pour garder son ennemi près de lui ? Qui est-ce que tu essaye de de convaincre Seb ? Hein ? Qui ?
Il ne l’avait pas frappé. Pas une seconde fois. Non il se retrouvait à caresser sa lèvre inférieure, sans aucune raison, hypnotisé par sa beauté brute. Son air froid, ses traits grossiers. Son regard se faisait curieux alors qu’il osait poser sa main sur la sienne. Est-ce qu’il allait lui casser le bras ? Un mélange de peur, d’envie et d’excitation lui remuait l’estomac et c’était un frisson qu’il lui arrachait avec cette langue exploratrice. Il restait le même Baba Yaga, esclave de l’odeur du sang. Du sien. « Je me suis préparé pour ce moment mais… Je suis déçu. Tu crève la dalle…» Non, il ne le terrifiait plus, il éveillait tout au fond de lui un sentiment nouveau. Pourtant, cette envie de le voir mort lui tiraillait les entrailles. Sa main abimée trouvait sa place contre sa joue. Il avait ce besoin presque viscéral de le sentir sous ses doigts, la chaleur de sa peau. « Pauvre animal blessé… Tu as bien changé. » qu’il disait un petit sourire immoral accroché aux lèvres. « Qu’est-ce que tu vas faire maintenant ? J’imagine que me tuer sans pouvoir me bouffer n’a aucun sens pour toi…» Bienvenue dans son nouveau monde. Il retirait enfin sa main qu’il laissait retomber contre sa cuisse. Il était épuisé Sebastian. Epuisé mais totalement grisé.
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✶✶✶
36 a. – brute épaisse – macho, égocentrique, manipulateur, pervers, écrasant, sadique, sarcastique, déconneur, imprévisible, curieux, cinglé, grossier, non galant,,carpe diem
✶✶✶
Dep.10 ans à Séoul – Dans l'autre monde, il est la sorcière Baba Yaga, la bouffeuse d'enfants, au chat qui crève des yeux, aux arbres fouetteurs, aux molosses carnassiers, et aux bœufs qui boivent des rivières – Préfère crever que de retourner à Wonderland – Réputé dans le milieu des proxo – A déjà un casier judiciaire, mais se fait difficilement pincé – Ne se drogue pas mais drogue les autres – Très bonne résistance à l'alcool – Fumeur maladif – à l'aise niveau thune – aucune famille – Vit dans un appart pourri mais mieux que sa chaumière moisie de Wonderland qui pue la chair brûlée
couvert de tatouages – zero pudeur - jette ce qui gène par les fenêtres - déteste danser et chanter - adepte de MMA - aucun permis, conduit une bagnole qui n'est même pas la sienne – A le sommeil très lourd - Ne montera jamais sur un vélo ni un poney – Ne met jamais de sous vêtements – déteste les capotes - obsession pour les ventres, les bouches et ce qui a peur de lui – claustrophobe – Aime faire crever les plantes vertes en pissant dessus - sait cuisiner sans problème - Déformation professionnelle du « Je t'engraisse pour mieux te manger après » de l'autre monde - voix très grave – déteste tomber malade.
Handicaps : Attire tous les chiens et chats errants à son insu – Aimant à gosses, mais les déteste, les terrifie, et se fait frapper par leurs mères - Accroc à la viande et son l'odeur, mais son corps lui fait tout gerber à chaque fois – Appétit sexuel insatiable, voyeur, accro au porno, punition pour son appétit cannibale démesuré dans wonderland. Il est obligé de se soûler à mort pour arrêter une pulsion, se barrer ou se battre.
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✶✶✶
Dep.10 ans à Séoul – Dans l'autre monde, il est la sorcière Baba Yaga, la bouffeuse d'enfants, au chat qui crève des yeux, aux arbres fouetteurs, aux molosses carnassiers, et aux bœufs qui boivent des rivières – Préfère crever que de retourner à Wonderland – Réputé dans le milieu des proxo – A déjà un casier judiciaire, mais se fait difficilement pincé – Ne se drogue pas mais drogue les autres – Très bonne résistance à l'alcool – Fumeur maladif – à l'aise niveau thune – aucune famille – Vit dans un appart pourri mais mieux que sa chaumière moisie de Wonderland qui pue la chair brûlée
couvert de tatouages – zero pudeur - jette ce qui gène par les fenêtres - déteste danser et chanter - adepte de MMA - aucun permis, conduit une bagnole qui n'est même pas la sienne – A le sommeil très lourd - Ne montera jamais sur un vélo ni un poney – Ne met jamais de sous vêtements – déteste les capotes - obsession pour les ventres, les bouches et ce qui a peur de lui – claustrophobe – Aime faire crever les plantes vertes en pissant dessus - sait cuisiner sans problème - Déformation professionnelle du « Je t'engraisse pour mieux te manger après » de l'autre monde - voix très grave – déteste tomber malade.
Handicaps : Attire tous les chiens et chats errants à son insu – Aimant à gosses, mais les déteste, les terrifie, et se fait frapper par leurs mères - Accroc à la viande et son l'odeur, mais son corps lui fait tout gerber à chaque fois – Appétit sexuel insatiable, voyeur, accro au porno, punition pour son appétit cannibale démesuré dans wonderland. Il est obligé de se soûler à mort pour arrêter une pulsion, se barrer ou se battre.
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Byaeyang Aam Bao
tales - baba yaga
Dim 29 Déc - 23:41
Byaeyang Aam Bao
Monsters are real seth
Je l'observe, tant de détails en lui qui me narguent mais qui me quémandent en même temps. J'devrais lui expliquer ce qui lui arrive. Il a été si prétentieux par le passé et si arrogant de croire qu'il pouvait entrer dans mon domaine sans en subir le malaise. Là d'où je viens, là où j'ai grandi, là où j'ai étalé le sang comme une confiture sur du pain, noir et ferreux. Je connais ce mal puisque je l'ai créé. Je n'avais ni observer les effets sur le long terme ni en passant dans l'autre monde mais il semblerait que le miroir ait laissé ça en lui comme un moteur pour lui donner la rage de continuer de vivre. Quelle erreur. Quelle connerie. Il souffre encore plus. Mais ça force l'admiration. Il n'y a rien de pire que de chercher des repères dans des situations qui nous échappent et qui nous échapperont toujours. L'impuissance, face à quelque chose qui ne dépend même pas de nous, qu'on doit subir, encaisser, ravaler sa haine et son ras le bol, parce que personne ne le fera pour vous. Tout le monde s'en fout. Et …
Il Sait en plus. Il sait. Qu'à cet instant. Dans ce monde de merde qui n'est pas le notre. Il n'y a que moi, qui ne s'en fout pas. Aucune prétention là dedans, c'est juste la vérité. Il n'est rien. Il est obligé de se battre ici... a probablement un boulot miteux... et pour rien au final. Parce qu'il courait après une chimère. Et ça, après dix ans sans rien... ça ne laisse personne indifférent, quand bien même il me haïsse. Je devrais lui dire. Pour qu'il me déteste encore plus et que ça m'excite un peu plus. Mais chaque chose en son temps. Pour le moment, son contact m'a transi et fait du bien à la fois. Quelque chose est passé sous ma peau, quelque chose qui a brisé ce rituel qui je m'étais fixé avec mes victimes passées et dévorées. Il a déjà tout foutu en l'air en réussissant à m'échapper il y a douze ans. Et putain, il continue. Il est toujours aussi insupportable. Et désirable. Avant c'était sa chair, son sang, son odeur... ton essence propre. Aujourd'hui... oh le bordel.
Sait-il seulement que l’appétit dont je souffre aujourd'hui est bien différent mais tout aussi dangereux et immense, au point que comme de l'autre coté, je m'en intoxique à ne pas pouvoir m'en sortir ? Bien sûr que non, il ne sait rien et n'a jamais rien su. Cette perdition me donne une ascendance sur lui, des coups d'avance, mais je trouve ça chiant de les garder pour moi. J'ai envie qu'il s'énerve, me maudisse, me tue à petit feu ou à grands coups de barramine, qu'est-ce que j'en sais. Si du moins je me laisse faire.
Sa main se pose contre ma joue. Je rêve ? Il est fou ? Il se fout de ma gueule ? Je regarde en coin cette audace, appréciant néanmoins ce contact. Ce sang si prêt. Putain... Il me torture, il pense que je n'ai pas capté... t'es encore de loin mon cadet, seb... quand est-ce que tu vas le comprendre... Mais j'aime, je le laisse faire. Ce sourire, je vais lui accrocher au mur avec des épingles à nourrice. Petit con. Il est ma pire indigestion. Je comprends à ses phrases qu'il n'a toujours pas compris ce que m'apportait le cannibalisme dans l'autre monde. C'en était sans l'être, c'était tellement plus. Tellement plus... Pour la première fois de ma vie, je me languis de ma vraie nature. Juste pour lui...
« T'as jamais su mentir...même petit. T'es pas déçu parce que j'crêve la dalle. Au contraire, ça t'plait. T'aurais été déçu que j'l'en souffre pas justement. Ça aurait juste voulu dire que je me serais nourri des autres et … donc... » Je fais un pas vers lui, puis deux … penchant un peu la tête sur le coté... « Que tu n'aurais aucune … » Un pas de plus... « ...importance... » comme chuchoté à quelques centimètres de son visage. « C'est vraiment c'que tu veux... » Un groupe de personnes s'approchent de nous, bruyants et agités. Je m'écarte contre le mur, ne le lâchant pas des yeux. Ma mâchoire se serre, je crève d'envie de lui laisser des marques. De balancer une grenade shrapnel dans ce troupeau de cons qui nous coupent dans notre échange précieux et voir leurs morceaux tapisser les murs et retomber partout au sol.
Ils passent mais c'est comme s'ils n'existaient pas. Je n'ai que ...lui... en ligne de mire. Tant d'idées de ce que je pourrais lui faire subir me traversent l'esprit. Machinalement, je ressors une clope... j'en crèverai. De ça, ou de l'alcool, ou de la drogue. Ou du sexe. Ou d'une balle. Détails. La mort n'est qu'un détail. J'en étais l'effigie de l'autre coté. Le briquet craque pendant que la nuisance passe et j'expire quand ils s'éloignent, m'avançant de nouveau vers lui...
« Toutes ces années... tu as regardé sous ton lit ? Fermé tes rideaux... ? Fait des prières... des fois que mes yeux apparaissent dans l'ombre d'une porte mal fermée...ou que tu sentes mon souffle contre ta nuque... » Je souris en coin. Je suis sûr qu'il l'a fait. Qu'il crevait de trouille que je débarque, pour le tuer à même le matelas et me repaître de lui , cru , sans cuisson, parce que oui, j'étais furax putain. Il m'a rendu complètement dingue à en perdre la notion du temps, du lieu, de ma propre magie qui a fait trop de dégâts là où elle n'aurait pas du, juste à cause de ce petit con … de quinze ans... Le temps passe. Je m'approche encore, les néons du couloir grésillent... douce ambiance dégueulasse, digne d'un vieux film d'horreur... « Bien sûr que oui... » Chacun de mes mots n'étaient pas hauts... pour n'être entendu que par lui. « Et tu sais pourquoi j'le sais... » Je suis prêt. Trop prêt de lui, ma main touche le mur derrière lui. Je lui prends le poignet où j'ai remarqué quelque chose. Le revers de sa main... faisant écho au tatouage de mon ventre. Cette mâchoire réelle... avec toutes les crocs, suintants... cette gueule qu'il a vu lui courir après, hurlante de rage sous sa fuite. La mienne. Il se l'est faite tatouée. Sur la paume, pour la voir chaque jour et ne pas m'oublier. J'en ai des frissons de satisfaction. « .. ça... » Le bout de mes doigts rêches passent dans sa paume en caresse graveleuses... et je me rapproche un peu plus... mon torse pas si loin du sien... «... Tu ne t'ai jamais demandé pourquoi personne n'est jamais ressorti de mes terres là bas ? J'ai pas mal de réponses à t'apporter... mais pour ça... » Je le détaille en baissant les yeux, ma clope fumant au bout de mes doigts... « … tu vas devoir venir les chercher.... » A cette dernière phrase , je me suis courbé sur lui, même s'il a grandi depuis le temps... pour lui souffler ces mots contre le cou et prenant du même fait une inspiration profonde de son odeur, qui m'empoisonne jusqu'aux bronches... Je reste quelques secondes ainsi, avec une envie horrible de lui bouffer littéralement la gorge, sentant presque son cœur battre dans cette artère à quelques millimètres de mes veines, mais je ferme les yeux, me bloque entièrement émotionnellement et me retire de ce rapprochement infernal qui va finir par m'envoyer sur la chaise électrique si je merde trop. Ma main frôle son ventre, les anneaux de tungstène sur mes doigts râpant doucement sous son nombril. La clope entre les lèvres, je ne dis rien et m'éloigne... Je viens de relancer le jeu. Et il va venir. Parce qu'il ne peut en être autrement. Au passage, ma plaie me fait un mal de chien.
Deliora
Kim Won Sik - Ravi
Point de suture
Itaewon
Mécanicien - Professeur de boxe pour enfant
Célibataire - Obsession malsaine pour un seul homme, son cauchemar, son bourreau. Un diable auquel il pourrait offrir son âme.
Il est couvert de tatouages. Sur sa main trône la mâchoire de Baba Yaga qui a souvent hanté ses nuits. Pour ne jamais oublier. Ne jamais pardonner.
Il ne voit presque plus de l’oeil gauche suite à un combat de boxe quand il n’avait que vingt ans.
Il a commencé la boxe pour se défouler et pouvoir se défendre contre le possible retour de Baba Yaga.
Il a tendance à fumer un peu trop, mais il ne touche plus à l’alcool depuis trois ans. Il participe aux réunions des alcooliques anonymes.
Doué de ses mains, il n’est pas que bon dans son travail. Il sait aussi cuisiner. Certaines femmes vantent également son doigté.
Il a recueilli un chien qui trainait devant chez lui : Spaghetti
Il fait preuve d’une patience à toute épreuve, mais uniquement avec les enfants.
Il conduit une moto, et roule toujours trop vite. Il a tendance à prendre des risques pour se sentir vivant.
Il s’est souvent retrouvé mêlé à des bagarres à la sortie des bars, mais il est aussi connu pour avoir fait quelques strip-tease sur les tables.
Il a eu une relation avec son professeur de lettres au lycée. Elle était beaucoup plus âgé. Vingt ans de plus que lui.
Il a eu de nombreuses relations d’un soir, incapable de s’attacher, mais il ne se souvient d’aucun prénom. Trop ivre pour avoir un souvenir.
Il laisse la lumière de son couloir allumée la nuit pour pouvoir repérer une ombre qui passerait devant sa chambre. Il se réveille au moindre bruit.
Il a participé pour le calendrier du club de boxe afin de reverser les dons à une association. Il était monsieur Mars.
Il a tenté d’avoir une petite amie pour essayer de vivre une vie normale. Il n’a tenu que trois jours.
Pas très au fait de la mode, son armoire est remplie de jean troués, t-shirt et baskets.
Il s’est fait mordre par un cheval lors d’une sortie scolaire, depuis il n’ose plus s’en approcher.
Il n’a pas parlé à un de ses amis pendant plus de deux semaines parce qu’il avait mangé le dernier chocolat.
Célibataire - Obsession malsaine pour un seul homme, son cauchemar, son bourreau. Un diable auquel il pourrait offrir son âme.
Description :
Il est couvert de tatouages. Sur sa main trône la mâchoire de Baba Yaga qui a souvent hanté ses nuits. Pour ne jamais oublier. Ne jamais pardonner.
Il ne voit presque plus de l’oeil gauche suite à un combat de boxe quand il n’avait que vingt ans.
Il a commencé la boxe pour se défouler et pouvoir se défendre contre le possible retour de Baba Yaga.
Il a tendance à fumer un peu trop, mais il ne touche plus à l’alcool depuis trois ans. Il participe aux réunions des alcooliques anonymes.
Doué de ses mains, il n’est pas que bon dans son travail. Il sait aussi cuisiner. Certaines femmes vantent également son doigté.
Il a recueilli un chien qui trainait devant chez lui : Spaghetti
Il fait preuve d’une patience à toute épreuve, mais uniquement avec les enfants.
Il conduit une moto, et roule toujours trop vite. Il a tendance à prendre des risques pour se sentir vivant.
Il s’est souvent retrouvé mêlé à des bagarres à la sortie des bars, mais il est aussi connu pour avoir fait quelques strip-tease sur les tables.
Il a eu une relation avec son professeur de lettres au lycée. Elle était beaucoup plus âgé. Vingt ans de plus que lui.
Il a eu de nombreuses relations d’un soir, incapable de s’attacher, mais il ne se souvient d’aucun prénom. Trop ivre pour avoir un souvenir.
Il laisse la lumière de son couloir allumée la nuit pour pouvoir repérer une ombre qui passerait devant sa chambre. Il se réveille au moindre bruit.
Il a participé pour le calendrier du club de boxe afin de reverser les dons à une association. Il était monsieur Mars.
Il a tenté d’avoir une petite amie pour essayer de vivre une vie normale. Il n’a tenu que trois jours.
Pas très au fait de la mode, son armoire est remplie de jean troués, t-shirt et baskets.
Il s’est fait mordre par un cheval lors d’une sortie scolaire, depuis il n’ose plus s’en approcher.
Il n’a pas parlé à un de ses amis pendant plus de deux semaines parce qu’il avait mangé le dernier chocolat.
Toutes ces années d’angoisses, d’insomnie. Les cauchemars, terreurs nocturnes et autres chimères. Il avait rythmé sa vie, ses jours, ses nuits, chaque seconde de son existence. Une image très claire du fantôme tatoué au creux de son âme. Un monstre qui lui arrachait le coeur, qui l’éviscérerait comme un vulgaire animal dans ses songes. Il était aujourd’hui un homme. Un simple humain, tout comme lui. Envolés les pouvoirs, envolés mâchoire ignoble, gouffre puant et maudit. Il se laissait même chatouiller les narines par son parfum, suave et masculin, envoutant, contrairement à son odeur de putréfaction qui lui filait la gerbe. Dans ce monde qui n’était pas le leur, il ne pouvait pas arracher sa peau, se délecter de ses chaires tendres d’enfant. Enfant qu’il n’était plus. L’adolescence l’avait abandonné pour laisser place à un corps sculpté et des traits plus durs, plus hommes. Son regard ancré dans le sien, la tête haute, il ne tremblait pas. Il ne tremblait plus. Longtemps perdu dans les méandres d’une souffrance qu’il ne comprenait pas, il saisissait enfin l’importance de faire face à ses démons. A son démon. Le diable en personne. Celui qui faisait partie de lui, ancré dans chacune de ces cellules. Le poison dans ses veines, la mort en personne qui se faufilait sous son épiderme. Sebastian, il connaissait la profondeurs de ses abysses et il ne pouvait pas l’autoriser à l’y sombrer à nouveau. « Je m’attendais à te trouver féroce, pas juste abimé…» qu’il le provoquait dans un souffle, alors que la distance se réduisant dangereusement entre leur deux corps.
Sa poitrine se soulevait au rythme de sa respiration qu’il tentait de contrôler. « Tu peux dire ce que tu veux, mais même si tu avais bouffé les autres, tu n’aurais pas pu m’oublier. Parce que je t’ai échappé. Et que personne ne sort vivant de ta chaumière. Je serais toujours ton obsession… Même après la mort.» Il détournait le regard pour observer la bande de jeunes crétins qui passaient près d’eux et qui les coupaient dans cette conversation aussi exaltante que terrifiante. Sesbtian, il arrêtait de respirer alors que son corps imposant surplombait le sien. Le son de sa voix le traversait alors que chaque mot qu’il prononçait le percutait en plein coeur. Chaque détail, si précis, d’une parfaite exactitude. Les nuits sans sommeils, les sursauts au moindre bruit et la lumière toujours présente. Il ne répondait pas. Il ne lui ferait pas ce plaisir. « Ça te fait bander hein ? De savoir que j’ai pensé à toi ? » Son coeur s’emballait, la distance trop restreinte, et pourtant, il ne tentait pas de le repousser, de s’enfuir quand il sentait ses doigts puissants autour de son poignet. Le boxeur, il n’avait jamais dissimulé ses tatouages, parce qu’ils représentaient son histoire, un passé douloureux et mouvementé. Sans bouger, il observait chacun de ses gestes, prêt à lui sauter à la gorge s’il osait le blesser. « Faut croire que je t’ai dans la peau » qu’il murmurait sous ses caresses. Enivré par son charme, il continuait de lui faire perdre la tête d’une toute autre manière.
« Je me fous de savoir pourquoi les autres ne s’en sont pas sortis… L’important, c’est que moi je sois là. En vie.» Des mots qui mouraient sur ses lèvres alors que les doigts explorateurs de son démon visitaient son ventre musclé. Son souffle contre son cou, lui tiraillait l’estomac, une véritable torture qui le paralysait. Il voulait l’éloigner et le rapprocher en même temps. Deux de ses doigts se glissaient derrière la boucle de sa ceinture pour l’attirer contre lui. Un élan de spontanéité, geste incontrôlable. « C’est pas tes réponses que je vais venir chercher Baba Yaga. C’est ta tête.» Il le laissait reculer, retrouvant enfin son souffle et sans lui demander son avis, il capturait la cigarette entre ses doigts. Il ne buvait peut-être plus, mais la nicotine compensait le manque parfois trop violent. « J’ai gagné, je l’ai mérité.» et alors il affichait son petit sourire d’emmerdeur. Celui qui donnait envie de l’étriper. Aspirant un peu de fumée, il soufflait le reste sur le visage de sa chimère. « Qu’est ce que tu veux ?» Maintenant qu’ils s’étaient enfin rencontrés ? Maintenant que Sebastian avait retrouvé la pièce manquante du puzzle qu'était sa vie.
(c) DΛNDELION
muonster
kim young woo/monster woo
muonster
appart lugubre. itaewon
proxénète sans scrupule
Son of Bad W(b)itches
✶✶✶
36 a. – brute épaisse – macho, égocentrique, manipulateur, pervers, écrasant, sadique, sarcastique, déconneur, imprévisible, curieux, cinglé, grossier, non galant,,carpe diem
✶✶✶
Dep.10 ans à Séoul – Dans l'autre monde, il est la sorcière Baba Yaga, la bouffeuse d'enfants, au chat qui crève des yeux, aux arbres fouetteurs, aux molosses carnassiers, et aux bœufs qui boivent des rivières – Préfère crever que de retourner à Wonderland – Réputé dans le milieu des proxo – A déjà un casier judiciaire, mais se fait difficilement pincé – Ne se drogue pas mais drogue les autres – Très bonne résistance à l'alcool – Fumeur maladif – à l'aise niveau thune – aucune famille – Vit dans un appart pourri mais mieux que sa chaumière moisie de Wonderland qui pue la chair brûlée
couvert de tatouages – zero pudeur - jette ce qui gène par les fenêtres - déteste danser et chanter - adepte de MMA - aucun permis, conduit une bagnole qui n'est même pas la sienne – A le sommeil très lourd - Ne montera jamais sur un vélo ni un poney – Ne met jamais de sous vêtements – déteste les capotes - obsession pour les ventres, les bouches et ce qui a peur de lui – claustrophobe – Aime faire crever les plantes vertes en pissant dessus - sait cuisiner sans problème - Déformation professionnelle du « Je t'engraisse pour mieux te manger après » de l'autre monde - voix très grave – déteste tomber malade.
Handicaps : Attire tous les chiens et chats errants à son insu – Aimant à gosses, mais les déteste, les terrifie, et se fait frapper par leurs mères - Accroc à la viande et son l'odeur, mais son corps lui fait tout gerber à chaque fois – Appétit sexuel insatiable, voyeur, accro au porno, punition pour son appétit cannibale démesuré dans wonderland. Il est obligé de se soûler à mort pour arrêter une pulsion, se barrer ou se battre.
** MY WORST FALL
KILLMEBUTI'LLF*CKU
171
17/11/2019
Petite Bouille :
Pseudo :
muonster
Avatar :
kim young woo/monster woo
Crédits :
muonster
Lieu de vie :
appart lugubre. itaewon
Occupation :
proxénète sans scrupule
Situation :
Son of Bad W(b)itches
✶✶✶
Description :
36 a. – brute épaisse – macho, égocentrique, manipulateur, pervers, écrasant, sadique, sarcastique, déconneur, imprévisible, curieux, cinglé, grossier, non galant,,carpe diem
✶✶✶
Dep.10 ans à Séoul – Dans l'autre monde, il est la sorcière Baba Yaga, la bouffeuse d'enfants, au chat qui crève des yeux, aux arbres fouetteurs, aux molosses carnassiers, et aux bœufs qui boivent des rivières – Préfère crever que de retourner à Wonderland – Réputé dans le milieu des proxo – A déjà un casier judiciaire, mais se fait difficilement pincé – Ne se drogue pas mais drogue les autres – Très bonne résistance à l'alcool – Fumeur maladif – à l'aise niveau thune – aucune famille – Vit dans un appart pourri mais mieux que sa chaumière moisie de Wonderland qui pue la chair brûlée
couvert de tatouages – zero pudeur - jette ce qui gène par les fenêtres - déteste danser et chanter - adepte de MMA - aucun permis, conduit une bagnole qui n'est même pas la sienne – A le sommeil très lourd - Ne montera jamais sur un vélo ni un poney – Ne met jamais de sous vêtements – déteste les capotes - obsession pour les ventres, les bouches et ce qui a peur de lui – claustrophobe – Aime faire crever les plantes vertes en pissant dessus - sait cuisiner sans problème - Déformation professionnelle du « Je t'engraisse pour mieux te manger après » de l'autre monde - voix très grave – déteste tomber malade.
Handicaps : Attire tous les chiens et chats errants à son insu – Aimant à gosses, mais les déteste, les terrifie, et se fait frapper par leurs mères - Accroc à la viande et son l'odeur, mais son corps lui fait tout gerber à chaque fois – Appétit sexuel insatiable, voyeur, accro au porno, punition pour son appétit cannibale démesuré dans wonderland. Il est obligé de se soûler à mort pour arrêter une pulsion, se barrer ou se battre.
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17/11/2019
Byaeyang Aam Bao
tales - baba yaga
Ven 3 Jan - 21:26
Byaeyang Aam Bao
Monsters are real seth
Il s'attendait à me trouver féroce ? Seb... mon monstre te manque-t-il à ce point ? T'as aimé que je te course à ras les fougères dans le limon ou je comprends mal ? Je l'ai détraqué bien comme il faut il semblerait et j'adore ça. J'ai bien vu son torse se soulevait sous des respirations mal contrôlées, ses yeux ne pas savoir où regarder sur mon corps, quoi ne pas toucher ou ne pas entendre. Il a bien évolué mais il ne sait toujours pas quoi faire de moi. Et qu'est-ce que je vais bien pouvoir faire de lui aussi, putain, tellement de choses. Chaque cellule de mon corps gueule son envie de fusionner, d'absorber son essence. Il ne sait pas que tuer tous ces gamins, tous ces bébés, me nourrissaient et qu'au travers de leur chair, j'absorbais leur essence pour vivre plus longtemps parce que je suis conçu comme ça. On aura beau me dire que je suis juste humain, un jour tout va se détraquer, et alors , je pourrais sortir de cette illusion charnel pour foutre le bordel sur Terre et putain ce que ça va être bon de tout détruire, de les voir chialer, supplier, tous ces salauds prétentieux qui pensent détenir la vérité sur les lois physique de l'univers. C'est tellement plus compliqué, rien qu'à moi tout seul, je pourrais niquer toute leur théorie de la relativité en créant un trou noir d'essence au sein même de leur thorax ou les réduire à la poussière, intangible magie qui les dépasse. Je suis ça pour Seb. Si intangible à sa réalité actuelle, irréel , suis-je bien là. Touche moi putain... encore. Il dit juste pour une seule chose. Il est une obsession. Dès lors qu'il a quitté ma baraque... et mes envies, il a tout foutu en l'air. Il est responsable de tout ça. Pourtant je le laisse dire, faire monter en moi la tension jusqu'au déclic qui me fera basculer du coté sombre et fera venir ce moment ou je prendrai les rènes du jeu avec mes règles du jeu. Laissons le penser qu'il a le dessus, vu qu'il tient encore debout et qu'il me tient tête. Admirable tentative, je suis curieux de voir ce qu'un tensiomètre mesurerait à son bras mon mignon. Bien entendu que ça m'faisait bander de savoir qu'il était de ce que coté du monde, tout prés de moi et qu'en plus, il n'avait pas dormi à cause de moi. Il espérait quoi ? Que je lui dise que j'suis désolé ? Certainement pas. Je ne m'attendais pas à ce qu'il soit si docile en revanche. Mon contact lui fait envie ? Ce serait le comble. Mon petit, tu connais le syndrome de Stockholm ? T'es bien dedans là... à fond. Ça m'déplait pas du tout au contraire. Qu'est-ce que vous croyez, je suis pas d'ici, mais je lis énormément. J'en connais un paquet des conneries de ce monde surtout qu'ils étudient les psychopathes et les serial killer dans cette dimension. C'est fascinant, ça me donne presqu'envie de reprendre mes massacres pour devenir une célébrité, mais je ne suis pas pressé de mourir. Plus maintenant. Et quand je m'éloigne, je sens des doigts passer sur la ceinture de mon jean pour me ramener vers lui. Par réflexe, ma main non occupé se plaque au mur à coté de sa tête, pour ne pas l'écraser brutalement contre le mur. Mon ventre touche alors le sien, en même temps que mes yeux descendent sur ce visage où les émotions se battent. Je décolle légèrement mon corps du sien après ce choc contrôlé, intrigué. Il joue à quoi... Ma main reste pourtant sur le mur, alors que je me fais piqué ma clope, ne bougeant pas pour autant quand il me souffle au visage. Mes iris s'assombrissent un peu, mes traits se tirent.
« Ne joue pas avec mes nerfs... » que je grogne encore enroulé de fumée, rouvrant les yeux, le surplombant d'un bon dix centimètres, géants dans ce couloir. Deux types qui étaient dans le public passent derrière nous mais je ne bouge pas. Je m'en contrefous. « Quand bien même t'aurais ma tête, il se passerait quoi … après ma mort... le vide. Tu ne vivrais même plus, en carence... Tu me chercherais... et tu finirais pas te tuer pour essayer de me chasser autre part... Réfléchis bien avant de me tuer... » Je lui reprends la clope et referme la main dessus, me brûlant l'intérieure de la main sans sourciller, le regard sombre, comme si la furie en moi cherchait à déformer mon visage pour sortir et arracher la tête de ce sale gosse prétentieux. Je la broie, et rouvre la main, pour venir la coller sur le mur à l'opposé de l'autre. Mon pied avance... alors que ma main laisse une traînée rouge sur le mur... Ma lèvre saigne encore et n'arrange rien... la douleur de mon ventre s'ajoutant à ma nervosité fragile.
« Sais-tu ce que ça fait à un démon d'être enfermé dans une enveloppe charnelle... sais-tu... à quel point j'ai voulu tuer, dévorer.... à quel point la douleur me rend instable et violent... dix ans de frustration... fils de bâtard de paysan... tu as foutu toute mon existence en l'air... et tu oses faire le malin devant moi parce que des couilles te sont poussées... seulement... » je me rapproche un peu plus de lui, jouant avec ses nerfs et son arrogance. Qu'il me montre un peu sa puissance puisqu'il a les mots. Ma jambe se loge entre ses cuisses et appuie lentement, passe ma main brûlée sous sa gorge, lui relevant le visage vers le mien, mes doigts lui enfermant fermement la mâchoire. Mes lèvres s'approchent au point de frôler les siennes... mon souffle rencontre le sien. Mes mèches désordonnées se mêlent aux siennes en vrac.
« Tu auras beau te boucher les oreilles, tu entendras ma voix jusque dans ton ventre aussi longtemps que tu vivras. Beau me fuir... tu te retourneras à chaque pas, parce qu'une ombre lêchera tes traces... » Ma langue percée s'extirpe de mes dents pour passer lentement du bout sur ses lèvres , avant de me reculer pour de bon, le replaquant sèchement au mur. Salé...ce gout...et ferreux. Orgasmique...Cette fois-ci je ne lui laisse pas le temps de faire quoi que ce soit , mettant plusieurs mètres entre lui et moi. Il vaut mieux sinon je risque de le v*oler sur place. Je commence déjà à en ressentir les envies.
« J'ai une question pour toi …. Si même la mort ne veut pas d'moi... alors pourquoi toi... tu m'veux à tout prix.... »
Il ne veut pas de moi, de mon argent , jusqu'à vouloir m'arracher la tête, mais il ment , encore, et il le sait. Je continue de m'éloigner, le laissant là, seul, frustré et probablement en plein questionnement. Et c'est parfait . Parce qu'il va me chercher et c'est ce que je veux. Sa fierté va le pousser ça . Je croise un gros groupe de passants juste à la sortie du couloir, ne perdant pas de temps, et disparaît dans la rue connaissant par cœur les rouages de ces ruelles. Même s'il m'a suivi, il m'aura perdu de vue. La chasse est ouverte. Pour ma part s'il tarde trop , il me sera facile de le retrouver puisque j'ai préalablement braqué le portefeuille de son pseudo coach, qui s'est interposé entre nous deux tout à l'heure... et c'est ça qui est magique...
Deliora
Kim Won Sik - Ravi
Point de suture
Itaewon
Mécanicien - Professeur de boxe pour enfant
Célibataire - Obsession malsaine pour un seul homme, son cauchemar, son bourreau. Un diable auquel il pourrait offrir son âme.
Il est couvert de tatouages. Sur sa main trône la mâchoire de Baba Yaga qui a souvent hanté ses nuits. Pour ne jamais oublier. Ne jamais pardonner.
Il ne voit presque plus de l’oeil gauche suite à un combat de boxe quand il n’avait que vingt ans.
Il a commencé la boxe pour se défouler et pouvoir se défendre contre le possible retour de Baba Yaga.
Il a tendance à fumer un peu trop, mais il ne touche plus à l’alcool depuis trois ans. Il participe aux réunions des alcooliques anonymes.
Doué de ses mains, il n’est pas que bon dans son travail. Il sait aussi cuisiner. Certaines femmes vantent également son doigté.
Il a recueilli un chien qui trainait devant chez lui : Spaghetti
Il fait preuve d’une patience à toute épreuve, mais uniquement avec les enfants.
Il conduit une moto, et roule toujours trop vite. Il a tendance à prendre des risques pour se sentir vivant.
Il s’est souvent retrouvé mêlé à des bagarres à la sortie des bars, mais il est aussi connu pour avoir fait quelques strip-tease sur les tables.
Il a eu une relation avec son professeur de lettres au lycée. Elle était beaucoup plus âgé. Vingt ans de plus que lui.
Il a eu de nombreuses relations d’un soir, incapable de s’attacher, mais il ne se souvient d’aucun prénom. Trop ivre pour avoir un souvenir.
Il laisse la lumière de son couloir allumée la nuit pour pouvoir repérer une ombre qui passerait devant sa chambre. Il se réveille au moindre bruit.
Il a participé pour le calendrier du club de boxe afin de reverser les dons à une association. Il était monsieur Mars.
Il a tenté d’avoir une petite amie pour essayer de vivre une vie normale. Il n’a tenu que trois jours.
Pas très au fait de la mode, son armoire est remplie de jean troués, t-shirt et baskets.
Il s’est fait mordre par un cheval lors d’une sortie scolaire, depuis il n’ose plus s’en approcher.
Il n’a pas parlé à un de ses amis pendant plus de deux semaines parce qu’il avait mangé le dernier chocolat.
Célibataire - Obsession malsaine pour un seul homme, son cauchemar, son bourreau. Un diable auquel il pourrait offrir son âme.
Description :
Il est couvert de tatouages. Sur sa main trône la mâchoire de Baba Yaga qui a souvent hanté ses nuits. Pour ne jamais oublier. Ne jamais pardonner.
Il ne voit presque plus de l’oeil gauche suite à un combat de boxe quand il n’avait que vingt ans.
Il a commencé la boxe pour se défouler et pouvoir se défendre contre le possible retour de Baba Yaga.
Il a tendance à fumer un peu trop, mais il ne touche plus à l’alcool depuis trois ans. Il participe aux réunions des alcooliques anonymes.
Doué de ses mains, il n’est pas que bon dans son travail. Il sait aussi cuisiner. Certaines femmes vantent également son doigté.
Il a recueilli un chien qui trainait devant chez lui : Spaghetti
Il fait preuve d’une patience à toute épreuve, mais uniquement avec les enfants.
Il conduit une moto, et roule toujours trop vite. Il a tendance à prendre des risques pour se sentir vivant.
Il s’est souvent retrouvé mêlé à des bagarres à la sortie des bars, mais il est aussi connu pour avoir fait quelques strip-tease sur les tables.
Il a eu une relation avec son professeur de lettres au lycée. Elle était beaucoup plus âgé. Vingt ans de plus que lui.
Il a eu de nombreuses relations d’un soir, incapable de s’attacher, mais il ne se souvient d’aucun prénom. Trop ivre pour avoir un souvenir.
Il laisse la lumière de son couloir allumée la nuit pour pouvoir repérer une ombre qui passerait devant sa chambre. Il se réveille au moindre bruit.
Il a participé pour le calendrier du club de boxe afin de reverser les dons à une association. Il était monsieur Mars.
Il a tenté d’avoir une petite amie pour essayer de vivre une vie normale. Il n’a tenu que trois jours.
Pas très au fait de la mode, son armoire est remplie de jean troués, t-shirt et baskets.
Il s’est fait mordre par un cheval lors d’une sortie scolaire, depuis il n’ose plus s’en approcher.
Il n’a pas parlé à un de ses amis pendant plus de deux semaines parce qu’il avait mangé le dernier chocolat.
Jouer avec ses nerfs. Il se foutait de sa gueule ? Il l’avait hanté durant plus de douze ans, alors qu’est-ce qu’il attendait de lui hein ? Qu’il l’accueille avec une petite tasse de thé ? Il ne s’appelait pas Alice. Et il ne connaissait pas le pays de merveilles. Non sa vie n’était qu’un putain de nid à emmerdes et un cauchemar incessant par sa faute. Alors il était prêt à le rendre dingue, encore plus aliéné qu’il ne l’était déjà. Sebastian, il était tout autant fasciné que terrifié par son corps si près du sien. Obsession malsaine infiltrée dans ses veines, jusqu’aux tréfonds de son âme. Ils étaient liés l’un à l’autre, contre leur volonté. Baba Yaga, il savait exactement où taper pour faire mal, pour briser ses convictions et toutes les barrières qu’il avait mis si longtemps à ériger. Chacun de ses mots étaient parfaitement posés, d’une justesse absurde. Il représentait son monde, ce pourquoi il avait survécu durant toutes ces années et sans lui, il n’avait plus aucun but. Absolument aucun. Il ne serait qu’un corps inutile, perdu à errer dans un pays qui n’était pas le sien. « J’imagine que je peux prendre le risque…» qu’il murmurait alors qu’il ne détournait pas le regard quand la cigarette mourait dans la main de sa chimère.
Sa voix le faisait vibrer et le sang sur cette lèvre si proche des siennes ne faisait qu’attiser un désir enfoui. Il était outrageusement attirant, et sa frustration si palpable qu’elle accélérait les battements de son coeur, allumait un brasier au creux de ses reins. Irrésistible Baba Yaga. Il se délectait de sa privation, de cette obsession qui le déchiquetait. « T’as foutu la mienne en l’air alors j’imagine qu’on est à égalité mon beau sorcier… Mais je suis ravi de savoir que je te hante, que tu ne pense qu’à moi. » Des mots qui mouraient sur ses lèvres alors qu’une jambe taquine venait se loger entre les siennes. Le boxeur serrait ses cuisses musclées, par instinct, comme pour le retenir, pour gorger ses poumons de son parfum, avant qu’il ne disparaisse. Qu’il l’abandonne à son agonie. Son souffle mêlé au sien, il rêvait de lui arracher la gorge, mais son corps refusait de bouger, sous l’emprise de ses gestes, de sa prestance, de tout ce qu’il était capable de lui faire ressentir. Il voulait lui demander de le lâcher, et le supplier de ne jamais s’éloigner. Des sensations qui malmenaient son esprit déjà bien abimé.
Electrisé par le contact de sa langue, il lui fallait de longues secondes pour comprendre qu’il allait s'échapper. « Menace moi autant que tu veux…» Il adorait ça, mais cette distance qu’il venait de lui imposer lui dévorait les entrailles. Un manque immédiat et atrocement douloureux. Et sa question… sa putain de question. Il n’avait pas la réponse. Ou, il n’avait pas envie d’en avoir une. De faire face à une réalité dérangeante qu’il n’était pas prêt à assumer. Alors il le regardait s’éloigner, le coeur en vrac et le souffle court, sentant encore ses doigts sur son ventre. Un contact qui allait le hanter, faire de ses nuits un enfer bien plus terrible. Il le retrouverait. Pour se venger. Pour le toucher. Pour le faire sien.
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