36 a. – brute épaisse – macho, égocentrique, manipulateur, pervers, écrasant, sadique, sarcastique, déconneur, imprévisible, curieux, cinglé, grossier, non galant,,carpe diem
✶✶✶
Dep.10 ans à Séoul – Dans l'autre monde, il est la sorcière Baba Yaga, la bouffeuse d'enfants, au chat qui crève des yeux, aux arbres fouetteurs, aux molosses carnassiers, et aux bœufs qui boivent des rivières – Préfère crever que de retourner à Wonderland – Réputé dans le milieu des proxo – A déjà un casier judiciaire, mais se fait difficilement pincé – Ne se drogue pas mais drogue les autres – Très bonne résistance à l'alcool – Fumeur maladif – à l'aise niveau thune – aucune famille – Vit dans un appart pourri mais mieux que sa chaumière moisie de Wonderland qui pue la chair brûlée
couvert de tatouages – zero pudeur - jette ce qui gène par les fenêtres - déteste danser et chanter - adepte de MMA - aucun permis, conduit une bagnole qui n'est même pas la sienne – A le sommeil très lourd - Ne montera jamais sur un vélo ni un poney – Ne met jamais de sous vêtements – déteste les capotes - obsession pour les ventres, les bouches et ce qui a peur de lui – claustrophobe – Aime faire crever les plantes vertes en pissant dessus - sait cuisiner sans problème - Déformation professionnelle du « Je t'engraisse pour mieux te manger après » de l'autre monde - voix très grave – déteste tomber malade.
Handicaps : Attire tous les chiens et chats errants à son insu – Aimant à gosses, mais les déteste, les terrifie, et se fait frapper par leurs mères - Accroc à la viande et son l'odeur, mais son corps lui fait tout gerber à chaque fois – Appétit sexuel insatiable, voyeur, accro au porno, punition pour son appétit cannibale démesuré dans wonderland. Il est obligé de se soûler à mort pour arrêter une pulsion, se barrer ou se battre.
** MY WORST FALL
KILLMEBUTI'LLF*CKU
171
17/11/2019
Petite Bouille :
Pseudo :
muonster
Avatar :
kim young woo/monster woo
Crédits :
muonster
Lieu de vie :
appart lugubre. itaewon
Occupation :
proxénète sans scrupule
Situation :
Son of Bad W(b)itches
✶✶✶
Description :
36 a. – brute épaisse – macho, égocentrique, manipulateur, pervers, écrasant, sadique, sarcastique, déconneur, imprévisible, curieux, cinglé, grossier, non galant,,carpe diem
✶✶✶
Dep.10 ans à Séoul – Dans l'autre monde, il est la sorcière Baba Yaga, la bouffeuse d'enfants, au chat qui crève des yeux, aux arbres fouetteurs, aux molosses carnassiers, et aux bœufs qui boivent des rivières – Préfère crever que de retourner à Wonderland – Réputé dans le milieu des proxo – A déjà un casier judiciaire, mais se fait difficilement pincé – Ne se drogue pas mais drogue les autres – Très bonne résistance à l'alcool – Fumeur maladif – à l'aise niveau thune – aucune famille – Vit dans un appart pourri mais mieux que sa chaumière moisie de Wonderland qui pue la chair brûlée
couvert de tatouages – zero pudeur - jette ce qui gène par les fenêtres - déteste danser et chanter - adepte de MMA - aucun permis, conduit une bagnole qui n'est même pas la sienne – A le sommeil très lourd - Ne montera jamais sur un vélo ni un poney – Ne met jamais de sous vêtements – déteste les capotes - obsession pour les ventres, les bouches et ce qui a peur de lui – claustrophobe – Aime faire crever les plantes vertes en pissant dessus - sait cuisiner sans problème - Déformation professionnelle du « Je t'engraisse pour mieux te manger après » de l'autre monde - voix très grave – déteste tomber malade.
Handicaps : Attire tous les chiens et chats errants à son insu – Aimant à gosses, mais les déteste, les terrifie, et se fait frapper par leurs mères - Accroc à la viande et son l'odeur, mais son corps lui fait tout gerber à chaque fois – Appétit sexuel insatiable, voyeur, accro au porno, punition pour son appétit cannibale démesuré dans wonderland. Il est obligé de se soûler à mort pour arrêter une pulsion, se barrer ou se battre.
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Byaeyang Aam Bao
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Sam 25 Jan - 1:15
Byaeyang Aam Bao
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Un ordre. Un souhait simple, formulé sèchement. Ferme ta gueule. Bien. Même un sorcier cannibale a un honneur personnel. Une dette est une dette et il aurait pu mieux choisir pour son vœu de -ce que tu veux- . Pas le temps de réfléchir, un haussement de sourcil que déjà je sens ma lèvre inférieur se faire perforer. Je plisse un œil sous la petite douleur qui n'arrange pas ma trique. Putain, il cherche vraiment à me pousser à bout. C'est dangereux, en a-t-il conscience ? Il n'est pas con, mais à quoi il joue. Ma confusion ne s'arrange pas quand il m'embrasse sans aucune retenue, forçant sur son cou pour m'atteindre et glissant la langue contre la mienne. Merde, il sait embrasser. Mon ventre se contracte, il est en train de me flinguer le peu de résistance respectueuse que j'essayais de conserver pour éviter de le faire fuir. Dans mon état, le sprint de chasse on peut oublier. Une autre stratégie s'était donc imposée et sa manière de déplacer ses pions sur mon échiquier faisait trembler toute la base de mes pièces. On t'a jamais dit que la pièce la plus dangereuse du jeu, c'est le cheval? Quand tu te le prends , c'est échec et mat... seb. Je ferme à moitié les yeux, serrant mes doigts en vrac sur ses mains et poignets, soufflant d'excitation dans cet échange impulsif, quand il coupe d'un coup, me laissant immobile au dessus de lui. Je récupère le sang de ma lèvre avec ma langue, plissant les yeux sans le lacher du regard.
« C'était un vœu pas deux. » Je suis fatigué mais mon mental est toujours si brutal et solide, pas besoin de magie pour ça au bout de cent ans. Je fais de la douleur de mon corps une information obsolète, défoncé par la morphine qui me dilate un peu les pupilles vu la dose. Je lâche un de ses poignets et impose mon poids sur son torse en y posant ma main libre. Je pousse sur mon bras , me redressant au dessus de lui, et l'enjambe pour m'asseoir un peu plus bas que son bassin. Il croit qu'j'ai pas senti. Je le toise, froidement, ma main à la base de sa gorge. « Pas bouger... » Je suis sérieux.
Mon humeur a changé , ma respiration se fait longue. Je ne cache plus ma réaction personnelle. Qu'il mate bien, parce qu'un jour il va le sentir à force de me pousser dans mes retranchements libidinaux mais je veux encore jouer avec la souris... belle petit souris tatouée au caractère de merde. « Tu m'as embrassé avec mon sang. Et bien entendu tu sais pas ce qu'ça représente pour moi. » Bien sur non. A ces mots, j'applique une pression claire sur son haut de torse pour l'obliger à rester allongé, me penchant un peu vers lui. Mon autre main tire les fils de ma perfusion plus proche de nous -les poches suivent- avant de plonger sous son jogging et s'emparer sans ménagement de l'objet fragile juste réveillé. On va le réveiller davantage. Il a irradié ma nuque et mes entrailles, avec ce baiser bordélique, comme un sceau qu'on dessine au sol, mais aux intentions sexuelles. Il va devoir en assumer les conséquences. « Tu crois quoi... » que je dis à mi voix. « Que parce que j'ai failli crever hier... j'peux pas te branler... laisse-moi faire amende honorable, autrement que par un -ferme ta gueule- »
Ce n'est même pas une requête, c'est une garantie et il ne peut refuser parce que ma poigne s'est déjà refermée, serrant le centre névralgique de son excitation, massant la longueur avec une certaine douceur pour le moment mais la poigne est là... t'as aucune idée de ce que tu as commencé... Ma main qui appuie sur son haut de torse, remonte sur sa gorge, l'entourant sans serrer trop forte, jusqu'à attendre le dessous de la mâchoire et je lui fais basculer la tête en arrière, plongeant dessus. En quelques secondes, ma main s'activant toujours souplement sous le tissu, mes cuisses de chaque coté de son bassin, l’empêchant de fuir, mes dents frôlent sa peau de gorge et j'applique longuement ma langue sur la longueur du creux de la trachée. Je sens sur mes papilles, le sang qui pulse tout prêt dans son artère, l'air qui passe dans ses respirations, laissant ma langue épouser la pomme d'adam, remontant encore. Une langue qui quitte sa peau, je l'embrasser avec envie sur le coté du cou, puis ma langue ressort à nouveau … chaque centimètre, plus rien ne t'appartient, tu vas en oublier jusqu'à ton identité, comme ça aurait du être depuis le début. Laisse moi t'absorber, puiser jusqu'à la moindre goutte d'énergie vitale qui m'est due... Ma main n'est toujours pas partie de sous sa mâchoire et j'adore sentir cette peau tendue sous mes dents, qui la frôlent comme si je pouvais l'arracher en l'espace d'une seconde. Cette pensée me fait resserrer ma main et accélérer le mouvement. Quitte à encore me prendre des coups, autant lui montrer ce après quoi il va courir. Parce que je le sais. Ce que je lui offre, là, même s'il va le nier en bloc. Il va en redemander. Mais la prochaine fois, c'est lui qui me mettra lui-même ma main dans son jean... je le jure... je veux le voir se plier en quatre pour me foutre dans son lit. Putain ça, ça va me plaire.
Deliora
Kim Won Sik - Ravi
Point de suture
Itaewon
Mécanicien - Professeur de boxe pour enfant
Célibataire - Obsession malsaine pour un seul homme, son cauchemar, son bourreau. Un diable auquel il pourrait offrir son âme.
Il est couvert de tatouages. Sur sa main trône la mâchoire de Baba Yaga qui a souvent hanté ses nuits. Pour ne jamais oublier. Ne jamais pardonner.
Il ne voit presque plus de l’oeil gauche suite à un combat de boxe quand il n’avait que vingt ans.
Il a commencé la boxe pour se défouler et pouvoir se défendre contre le possible retour de Baba Yaga.
Il a tendance à fumer un peu trop, mais il ne touche plus à l’alcool depuis trois ans. Il participe aux réunions des alcooliques anonymes.
Doué de ses mains, il n’est pas que bon dans son travail. Il sait aussi cuisiner. Certaines femmes vantent également son doigté.
Il a recueilli un chien qui trainait devant chez lui : Spaghetti
Il fait preuve d’une patience à toute épreuve, mais uniquement avec les enfants.
Il conduit une moto, et roule toujours trop vite. Il a tendance à prendre des risques pour se sentir vivant.
Il s’est souvent retrouvé mêlé à des bagarres à la sortie des bars, mais il est aussi connu pour avoir fait quelques strip-tease sur les tables.
Il a eu une relation avec son professeur de lettres au lycée. Elle était beaucoup plus âgé. Vingt ans de plus que lui.
Il a eu de nombreuses relations d’un soir, incapable de s’attacher, mais il ne se souvient d’aucun prénom. Trop ivre pour avoir un souvenir.
Il laisse la lumière de son couloir allumée la nuit pour pouvoir repérer une ombre qui passerait devant sa chambre. Il se réveille au moindre bruit.
Il a participé pour le calendrier du club de boxe afin de reverser les dons à une association. Il était monsieur Mars.
Il a tenté d’avoir une petite amie pour essayer de vivre une vie normale. Il n’a tenu que trois jours.
Pas très au fait de la mode, son armoire est remplie de jean troués, t-shirt et baskets.
Il s’est fait mordre par un cheval lors d’une sortie scolaire, depuis il n’ose plus s’en approcher.
Il n’a pas parlé à un de ses amis pendant plus de deux semaines parce qu’il avait mangé le dernier chocolat.
Célibataire - Obsession malsaine pour un seul homme, son cauchemar, son bourreau. Un diable auquel il pourrait offrir son âme.
Description :
Il est couvert de tatouages. Sur sa main trône la mâchoire de Baba Yaga qui a souvent hanté ses nuits. Pour ne jamais oublier. Ne jamais pardonner.
Il ne voit presque plus de l’oeil gauche suite à un combat de boxe quand il n’avait que vingt ans.
Il a commencé la boxe pour se défouler et pouvoir se défendre contre le possible retour de Baba Yaga.
Il a tendance à fumer un peu trop, mais il ne touche plus à l’alcool depuis trois ans. Il participe aux réunions des alcooliques anonymes.
Doué de ses mains, il n’est pas que bon dans son travail. Il sait aussi cuisiner. Certaines femmes vantent également son doigté.
Il a recueilli un chien qui trainait devant chez lui : Spaghetti
Il fait preuve d’une patience à toute épreuve, mais uniquement avec les enfants.
Il conduit une moto, et roule toujours trop vite. Il a tendance à prendre des risques pour se sentir vivant.
Il s’est souvent retrouvé mêlé à des bagarres à la sortie des bars, mais il est aussi connu pour avoir fait quelques strip-tease sur les tables.
Il a eu une relation avec son professeur de lettres au lycée. Elle était beaucoup plus âgé. Vingt ans de plus que lui.
Il a eu de nombreuses relations d’un soir, incapable de s’attacher, mais il ne se souvient d’aucun prénom. Trop ivre pour avoir un souvenir.
Il laisse la lumière de son couloir allumée la nuit pour pouvoir repérer une ombre qui passerait devant sa chambre. Il se réveille au moindre bruit.
Il a participé pour le calendrier du club de boxe afin de reverser les dons à une association. Il était monsieur Mars.
Il a tenté d’avoir une petite amie pour essayer de vivre une vie normale. Il n’a tenu que trois jours.
Pas très au fait de la mode, son armoire est remplie de jean troués, t-shirt et baskets.
Il s’est fait mordre par un cheval lors d’une sortie scolaire, depuis il n’ose plus s’en approcher.
Il n’a pas parlé à un de ses amis pendant plus de deux semaines parce qu’il avait mangé le dernier chocolat.
Il était en train de perdre la tête, se laissant absorber par une folie devenue incontrôlable. Mais ce baiser sauvage et empli de désespoir lui avait retourné l’estomac. Le coeur battant, il avait envie de fuir avant d’avoir une féroce envie de recommencer. Incapable de bouger, il avait clairement la force de le repousser, mes aucun de ses membres ne lui obéissaient, bien trop perturbé par cette nouvelle position presque intimidante. Il se laissait dominer avec un peu trop d’aisance Sebastian. Obéissant sous cet assaut, il sentait cette main possessive sur sa gorge et il avait envie de le supplier. De serrer encore. Juste un peu plus fort. Pour le faire suffoquer. Son regard s’égarait sur ses muscles tendus, et il frissonnait au son de sa voix grave et posé. « Non je sais pas ce que ça veut dire. Et je m’en fous…» Ils s’appartenaient déjà l’un à l’autre, contre leur volonté. Il avait si longtemps tenté de fuir. Toujours vainement. Alors qu’est-ce que ça pouvait bien lui foutre d’avoir un peu de son sang dans la bouche. Une réflexion bien vite oubliée quand la main de son sorcier se faufilait entre ses cuisses. Merde. « Me touche pas putain ! » qu’il grognait alors que son corps s’éveillait sous ses caresses expertes. Il ne pouvait plus mentir le boxeur. Surpris par ce contact, la respiration plus rapide, il serrait les mâchoires, la rage au bord des lèvres, Bordel, il ne pouvait pas le laisser continuer.
Toujours crispé, une de ses mains se perdait dans sa tignasse pour y agripper fortement ses cheveux. Sa langue sur sa peau le faisait vaciller dans un monde de plaisir qui lui était inconnu. Il lui arrachait un gémissement de frustration, alors que son autre main s’accrochait à son épaule. Chacune de ses cellules s’enflammaient sous le désir qui le ravageait. Bordel, il n’avait jamais ressenti ça. C’était puissant, exaltant mais aussi terrifiant. Alors dans une seconde de lucidité, il serrait son poignet pour l’arrêter, usant de toute ses forces pour le renverser, s’agaçant sur les fils des perfusions qui le dérangeait mais il ne pouvait pas lui retirer. Assis sur son bassin, il se foutait bien d’exposer son excitation sous son jogging, sentent très clairement la sienne contre son fessier rebondi. C’était électrisant. Et sans rien dire, il prenait à nouveau ses lèvres en otage, un échange toujours plus brouillon, acharné. Il en profitait pour étouffer un râle de satisfaction sous la sensation de sa virilité bien dressée. Il avait vrillé Sebastian, les pupilles dilatées, un voile sombre couvrant son regard. Un putain de désir ardent qui lui broyait l’estomac.
C’était trop. Trop intense. Trop exquis. Trop dangereux. Alors il l’autorisait à respirer, se redressant avant de se rendre compte de ce qu’il était en train de faire. Il avait été prêt à le toucher, à la caresser. Et pourquoi ? Pour l’entendre soupirer, juste pour voir les traits de son visage tirés par le plaisir. A bout de souffle, il descendait de sa monture pour se rassoir à ses côtés, passant une main dans ses cheveux. Perdu, il observait ce corps totalement offert, et incapable de supporter la distance qu’il avait lui même installé, il posait ses doigts sur son ventre à l’opposé de sa blessure. « Tu vas pouvoir te débrouiller seul ? » qu’il demandait d’une voix légèrement brisée par le choc de ce qu’il venait de vivre. Il ne pouvait pas rester. Ou il déraperait. Et il ne voulait pas s’offrir si facilement à son bourreau. Il voulait le voir supplier. Sentir le manque émaner de ses pores. Pour lui donner un avant goût il plongeait dans son cou, mordillant et suçotant sa peau pour y laisser une marque. Bien voyante. Un besoin viscéral de marquer son territoire.
(c) DΛNDELION
muonster
kim young woo/monster woo
muonster
appart lugubre. itaewon
proxénète sans scrupule
Son of Bad W(b)itches
✶✶✶
36 a. – brute épaisse – macho, égocentrique, manipulateur, pervers, écrasant, sadique, sarcastique, déconneur, imprévisible, curieux, cinglé, grossier, non galant,,carpe diem
✶✶✶
Dep.10 ans à Séoul – Dans l'autre monde, il est la sorcière Baba Yaga, la bouffeuse d'enfants, au chat qui crève des yeux, aux arbres fouetteurs, aux molosses carnassiers, et aux bœufs qui boivent des rivières – Préfère crever que de retourner à Wonderland – Réputé dans le milieu des proxo – A déjà un casier judiciaire, mais se fait difficilement pincé – Ne se drogue pas mais drogue les autres – Très bonne résistance à l'alcool – Fumeur maladif – à l'aise niveau thune – aucune famille – Vit dans un appart pourri mais mieux que sa chaumière moisie de Wonderland qui pue la chair brûlée
couvert de tatouages – zero pudeur - jette ce qui gène par les fenêtres - déteste danser et chanter - adepte de MMA - aucun permis, conduit une bagnole qui n'est même pas la sienne – A le sommeil très lourd - Ne montera jamais sur un vélo ni un poney – Ne met jamais de sous vêtements – déteste les capotes - obsession pour les ventres, les bouches et ce qui a peur de lui – claustrophobe – Aime faire crever les plantes vertes en pissant dessus - sait cuisiner sans problème - Déformation professionnelle du « Je t'engraisse pour mieux te manger après » de l'autre monde - voix très grave – déteste tomber malade.
Handicaps : Attire tous les chiens et chats errants à son insu – Aimant à gosses, mais les déteste, les terrifie, et se fait frapper par leurs mères - Accroc à la viande et son l'odeur, mais son corps lui fait tout gerber à chaque fois – Appétit sexuel insatiable, voyeur, accro au porno, punition pour son appétit cannibale démesuré dans wonderland. Il est obligé de se soûler à mort pour arrêter une pulsion, se barrer ou se battre.
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✶✶✶
Description :
36 a. – brute épaisse – macho, égocentrique, manipulateur, pervers, écrasant, sadique, sarcastique, déconneur, imprévisible, curieux, cinglé, grossier, non galant,,carpe diem
✶✶✶
Dep.10 ans à Séoul – Dans l'autre monde, il est la sorcière Baba Yaga, la bouffeuse d'enfants, au chat qui crève des yeux, aux arbres fouetteurs, aux molosses carnassiers, et aux bœufs qui boivent des rivières – Préfère crever que de retourner à Wonderland – Réputé dans le milieu des proxo – A déjà un casier judiciaire, mais se fait difficilement pincé – Ne se drogue pas mais drogue les autres – Très bonne résistance à l'alcool – Fumeur maladif – à l'aise niveau thune – aucune famille – Vit dans un appart pourri mais mieux que sa chaumière moisie de Wonderland qui pue la chair brûlée
couvert de tatouages – zero pudeur - jette ce qui gène par les fenêtres - déteste danser et chanter - adepte de MMA - aucun permis, conduit une bagnole qui n'est même pas la sienne – A le sommeil très lourd - Ne montera jamais sur un vélo ni un poney – Ne met jamais de sous vêtements – déteste les capotes - obsession pour les ventres, les bouches et ce qui a peur de lui – claustrophobe – Aime faire crever les plantes vertes en pissant dessus - sait cuisiner sans problème - Déformation professionnelle du « Je t'engraisse pour mieux te manger après » de l'autre monde - voix très grave – déteste tomber malade.
Handicaps : Attire tous les chiens et chats errants à son insu – Aimant à gosses, mais les déteste, les terrifie, et se fait frapper par leurs mères - Accroc à la viande et son l'odeur, mais son corps lui fait tout gerber à chaque fois – Appétit sexuel insatiable, voyeur, accro au porno, punition pour son appétit cannibale démesuré dans wonderland. Il est obligé de se soûler à mort pour arrêter une pulsion, se barrer ou se battre.
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Byaeyang Aam Bao
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Mar 28 Jan - 23:02
Byaeyang Aam Bao
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-Menace moi, vas y.- Je le touche si j'veux et il le sait et le demande. Il ment comme il respire quand il s'agit de ses désirs. Est-ce qu'il serait hétéro par hasard ? Est-ce que son corps me veut mais qu'il essaie de rester fidèle à ce qu'il a toujours été ? J'suis ravi d'être arrivé pour foutre le bordel alors, c'est encore plus grisant. Un hétéro qui bande sous ma main, j'en frémis, surtout mon neveu par alliance, inceste par alliance ça existe ? J'en sais rien, et il aurait même pu être mon frère que je l'aurais fait.
Un frisson violent me parcourt quand il m'agrippe les cheveux, ma nuque soudainement électrisée par ce geste, un de mes points « G ». Fais gaffe putain... tu veux mourir... Je manque de lui planter les crocs dans la gorge, l'énergie remontant de mes mains, dans mes bras lentement comme une drogue. Adrénaline sexuelle à laquelle je suis totalement accroc et qui ne me fait pas gerber, au point d'en explorer tous les univers même les plus étranges. Aussi simple que ça puisse paraître, rien que ça avec déjà venant de lui, je frôle le pétage hormonal. J'ai une envie d'abuser de lui à l'étouffer dans le coussin, un acte qui ferait peur à bien des âmes sensibles. J'en ai commis tellement de ces actes par le passé, surtout dans l'autre monde, pauvres princesses, paysans et chevaliers mal foutus de courage foireux et d'épée émoussée. Je leur ai émoussé autre chose.
Il se tord sous ma main, je le sens, son ventre frôlant le mien, écrasant mon avant bras entre les deux, mais ça ne me freine pas, au contraire. Ni ses doigts possessifs qui tirent sur mes cheveux, m'embrassant de force, encore et encore et je le laisse faire, le monstre en moi souriant de sa gueule béante, une lueur affamée apparaissant dans ses orbites creux dissimulés derrière une fausse humanité. Je sens la force de sa poigne sur mon poignet, et ça me plaît. Il a une belle force. J'vais en chier. C'est mort j'arrêterai pas, quitte à finir dans les vapes d'épuisement encore une fois, je m'en fous. Ses gémissements m'emplissent les tympans de satisfaction. Plus fort... t'as que ça ? Je vais te faire gueuler un jour. Perdu sur cette bouche avide, j'ai le réflexe de lui chopper la nuque quand il me fait basculer dessous, pour ne pas couper court à sa langue. Plus chaude que la mienne, je me les pèle en même temps. C'est rare. Réchauffe-moi...
Je le laisse me toiser mais je le tiens toujours et mes caresses se font plus précises vu que je n'ai plus à dépenser de force pour me soutenir au dessus de lui. Il coupe nos baisers sous mon râle clair et je le vois de débattre un peu avec les fils de ma perf. Même si je suis drogué à fond, ça me tire un rictus. J'aime quand il s'énerve. -Vas y arrache les moi, t'attends quoi. Pète ton câble- Est-ce que je souhaite qu'il me fasse du mal ? J'en sais rien, c'est un genre de plaisir aussi non ? Ça saignera pas longtemps mais avec le recul, s'il me laisse brancher, c'est bien aussi. Autant que je récupère au plus vite pour lui déboîter les reins. Et là il s’assoit sur mon entrejambe, et je le fixe... ma langue sa baladant sur mes dents... il ne sait pas ce qu'il fait encore une fois. J'avale ma salive, sentant le moindre de ses muscles sur moi, y compris là où il aurait du éviter de poser ses fesses. Je plisse les yeux, mon visage se teintant d'un sérieux écrasant. Je ressers ma main sur son entrejambe, reprenant ce massage , en distinguant à présent le bas ventre. Il ne craint pas le jour visiblement, même si la moitié du lit n'est pas éclairé par le soleil. Et ce que je tiens et vois dans ma main, ça m'plait bien... il est bien foutu , jusque là... Je me mords la lèvre en coin... j'ai envie d'y mettre la dents là aussi... Il me fonce dessus pour me rembrasser et je me laisse faire. Un bras sur le lit, dévoué à ce sauvage soudain, j'adore ça putain. J'expire de désir entre ses lèvres à plusieurs reprises. Je vais peut-être me rendre malade plus souvent si c'est pour subir ça ensuite, le jeu dangereux en vaut la chandelle.
Puis plus rien. Quoi ? Que... QUOI ? Je reste un instant dans le vide sans comprendre. Même son bassin m'a échappé. Qu'est-ce que... SERIEUX ? Je reste figé un instant, dans les vapes de la morphine. Les mains dans le vide et fronce les sourcils en baissant les yeux. Je laisse mes bras tomber sur le drap et fixe le plafond en récupérant avec mes dents, ce goût qui reste encore sur mes lèvres. Puis je le regarde de nouveau et ne le lâche plus.. avant d'avoir un petit sourire en coin. Il a les jetons. C'est mignon. Sa main me touche le ventre et je ferme les yeux, encaissant mon os à ronger donné puis volé par ce petit con... pas si petit que ça... et c'est ce qui me plait aussi. J'ai de quoi faire avec lui, pas peur de le péter en deux, et il a cette force de me résister physiquement qui me fait vibrer. « Je pense... pourquoi, tu veux m'aider à pisser ? Parce que... » ... parce que faut que je me branle aussi au passage? Un léger silence, je contracte le ventre, faisant bouger ce qui est toujours réveillé en bas... « Regarde c'que t'as fait....et tu veux t'barrer et m'laisser comme ça ? Trouillard. »
Difficilement, je m'aide des coudes et me redresse assis, mais siffle entre mes dents pour signifiant mon mal. Aucun doute c'est fraîchement recousu, même si je ressens pas totalement la douleur. On a juste l'air de deux cons qui ont la trique. Je lui dirais bien de me tailler une pipe avant de partir, maintenant qu'il m'a mis dans cette état , mais il va me coller une beigne. Pas que j'aime pas la violence dans le sexe, mais j'ai pas la force de me battre là. Et j'ai encore la sensation de sa langue... et de ses mains... alors... autant rester sur ce registre.
« Je déconne pas.. faut que j'pisse. » Je tourne mes jambes sur le lit, serrant les dents, et choppant les poches au passage. Mon sang remonte dans le tube de la perf. C'est la raison pour laquelle on met toujours les perf en hauteur. L'apesanteur donne la pression suffisante au liquide pour pénétrer les veines. Là en gros, mon sang va remplir les poches si je les surélève pas. Je pose les pieds au sol, déjà essoufflé de cet effort. « File moi un coup de main s'te plait... faut que je les raccroche à l'armoire en hauteur et que je pisse par la fenêtre ? » Il est pas content, il a qu'à m'amener aux chiottes, ou me filer un seau , j'en sais rien moi, j'ai la trique et je déteste rester au garde à vous après l'apéro. Je grimace en foutant les poches sur mon épaule, virant le drap. Je suis à poil. Ah. C'est vrai, moi et les sous-vêtements c'est une longue histoire. Ça va passer... aussi vite qu'un gosse qui attend noël quoi... Vaudrait mieux qu'il m'aide au passage, parce que se branler devant une fenêtre, c'est....
Deliora
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Célibataire - Obsession malsaine pour un seul homme, son cauchemar, son bourreau. Un diable auquel il pourrait offrir son âme.
Il est couvert de tatouages. Sur sa main trône la mâchoire de Baba Yaga qui a souvent hanté ses nuits. Pour ne jamais oublier. Ne jamais pardonner.
Il ne voit presque plus de l’oeil gauche suite à un combat de boxe quand il n’avait que vingt ans.
Il a commencé la boxe pour se défouler et pouvoir se défendre contre le possible retour de Baba Yaga.
Il a tendance à fumer un peu trop, mais il ne touche plus à l’alcool depuis trois ans. Il participe aux réunions des alcooliques anonymes.
Doué de ses mains, il n’est pas que bon dans son travail. Il sait aussi cuisiner. Certaines femmes vantent également son doigté.
Il a recueilli un chien qui trainait devant chez lui : Spaghetti
Il fait preuve d’une patience à toute épreuve, mais uniquement avec les enfants.
Il conduit une moto, et roule toujours trop vite. Il a tendance à prendre des risques pour se sentir vivant.
Il s’est souvent retrouvé mêlé à des bagarres à la sortie des bars, mais il est aussi connu pour avoir fait quelques strip-tease sur les tables.
Il a eu une relation avec son professeur de lettres au lycée. Elle était beaucoup plus âgé. Vingt ans de plus que lui.
Il a eu de nombreuses relations d’un soir, incapable de s’attacher, mais il ne se souvient d’aucun prénom. Trop ivre pour avoir un souvenir.
Il laisse la lumière de son couloir allumée la nuit pour pouvoir repérer une ombre qui passerait devant sa chambre. Il se réveille au moindre bruit.
Il a participé pour le calendrier du club de boxe afin de reverser les dons à une association. Il était monsieur Mars.
Il a tenté d’avoir une petite amie pour essayer de vivre une vie normale. Il n’a tenu que trois jours.
Pas très au fait de la mode, son armoire est remplie de jean troués, t-shirt et baskets.
Il s’est fait mordre par un cheval lors d’une sortie scolaire, depuis il n’ose plus s’en approcher.
Il n’a pas parlé à un de ses amis pendant plus de deux semaines parce qu’il avait mangé le dernier chocolat.
Célibataire - Obsession malsaine pour un seul homme, son cauchemar, son bourreau. Un diable auquel il pourrait offrir son âme.
Description :
Il est couvert de tatouages. Sur sa main trône la mâchoire de Baba Yaga qui a souvent hanté ses nuits. Pour ne jamais oublier. Ne jamais pardonner.
Il ne voit presque plus de l’oeil gauche suite à un combat de boxe quand il n’avait que vingt ans.
Il a commencé la boxe pour se défouler et pouvoir se défendre contre le possible retour de Baba Yaga.
Il a tendance à fumer un peu trop, mais il ne touche plus à l’alcool depuis trois ans. Il participe aux réunions des alcooliques anonymes.
Doué de ses mains, il n’est pas que bon dans son travail. Il sait aussi cuisiner. Certaines femmes vantent également son doigté.
Il a recueilli un chien qui trainait devant chez lui : Spaghetti
Il fait preuve d’une patience à toute épreuve, mais uniquement avec les enfants.
Il conduit une moto, et roule toujours trop vite. Il a tendance à prendre des risques pour se sentir vivant.
Il s’est souvent retrouvé mêlé à des bagarres à la sortie des bars, mais il est aussi connu pour avoir fait quelques strip-tease sur les tables.
Il a eu une relation avec son professeur de lettres au lycée. Elle était beaucoup plus âgé. Vingt ans de plus que lui.
Il a eu de nombreuses relations d’un soir, incapable de s’attacher, mais il ne se souvient d’aucun prénom. Trop ivre pour avoir un souvenir.
Il laisse la lumière de son couloir allumée la nuit pour pouvoir repérer une ombre qui passerait devant sa chambre. Il se réveille au moindre bruit.
Il a participé pour le calendrier du club de boxe afin de reverser les dons à une association. Il était monsieur Mars.
Il a tenté d’avoir une petite amie pour essayer de vivre une vie normale. Il n’a tenu que trois jours.
Pas très au fait de la mode, son armoire est remplie de jean troués, t-shirt et baskets.
Il s’est fait mordre par un cheval lors d’une sortie scolaire, depuis il n’ose plus s’en approcher.
Il n’a pas parlé à un de ses amis pendant plus de deux semaines parce qu’il avait mangé le dernier chocolat.
Toutes les sensations qui le traversait n’avaient aucun sens. Comment est-ce qu’un homme pouvait éveiller une telle passion ? Lui tordre les tripes et lui donner envie d’en redemander. Jamais il n’aurait du laisser cette main exploratrice se glisser entre ses cuisses. C’était une erreur. Mais une délicieuse erreur qui le faisait frissonner jusqu’à l’échine. Ses mains se perdaient instinctivement dans sa tignasse, alors qu’il tentait de vainement contrôler son désir. Son corps se tordait sous celui, bien plus imposant, de son sorcier. Il se sentait oppressé, sur le point de suffoquer et pourtant, il avait cette drôle d’impression d’être en sécurité. Cet homme aurait pu le tuer en une seconde. Il savait se défendre Sebastian mais il n’était pas stupide, il avait conscience que face à lui, il céderait bien rapidement. Il n’était pas capable d’expliquer son souffle court, ses râles vite étouffés contre ses lèvres. Il perdait le contrôle de son propre corps et se cambrait sous les caresses bien plus prononcées. Il aurait pu se perdre dans son regard, se laisser dévorer par ses iris sombres et brillantes de désir. Mais son esprit lui hurlait de prendre la fuite. De ne pas lui laisser avoir le dessus ou il serait foutu.
Raison pour laquelle il avait pris les devants se retrouvant sur son bassin, et malgré ses gestes impatients et brouillons, il avait veillé à ne pas frôler sa blessure à peine recousue. Ses lèvres appelaient les siennes et il ne se faisait pas prier pour se noyer dans cette nouvelle passion. Des baisers affamés et des mouvements brutaux. Il ne pouvait pas le nier le boxeur, il s’était senti effrayé alors que le bas de son dos frôlait une virilité bien dressée. Pourtant, il se laissait enflammer par les émotions. Il était celui qui avait provoqué cette excitation et il ne pouvait ressentir que de la fierté. Un sentiment de victoire. Et il avait du abdiquer avant d’aller trop loin, lui qui ne se sentait clairement pas apte pour une partie de jambe en l’air improvisée. Avec un homme. Avec cet homme. Il avait fait le choix, bon ou mauvais, de prendre ses distances, la respiration trop rapide. Et la vue de son corps nu et parfaitement dessiné ne faisait qu’accroître son envie de se perdre dans ses bras. Mais Sebastian il ne comptait pas écarter les cuisses. Pas aujourd’hui. Peut-être jamais ? Et Bao ? Il devrait faire avec s’il le désirait avec autant d’appétit. « J’ai rien fait. Tu bandais déjà bien avant.» qu’il disait pour tenter de se défendre. De ne pas assumer ses angoisses. Celles de devenir encore plus accro à ce sale con. Il s’était déjà laissé intoxiquer par le goût de ses lèvres. Il ne pouvait pas en plus prendre le risque d’aimer se faire baiser.
« Fais gaffe tu vas faire sauter tes points ! » qu’il disait aussi frustré par la situation. Il en était à l’origine et c’était maladroitement qu’il se levait pour faire le tour du lit, dérangé par son érection bien présente sous son jogging. « On pisse pas par la fenêtre. J’ai passé des heures nettoyer putain ! Tu vas pas tout dégueulasser en dix minutes. Je te jure que je te cogne sinon.» Et Sebastian, il tenait ses promesses. Alors il glissait un bras sous le sien pour le trainer jusqu’à la salle de bain. Pourquoi est-ce qu’il était encore là hein ? Il n’avait pas de réponse. Il le laissait tomber sur les toilettes sans grande douceur, accompagnant son geste d’un autoritaire « Assis.» Il n’avait pas envie de jouer à nouveau les femmes de ménage et encore moins devoir le ramasser par terre. Les bras croisés, il tournait le dos pour lui offrir un minimum d’intimité, mais vu comme il n’avait aucun problème à se promener entièrement nu, il devait bien se foutre de sa présence. Il avait l’impression de ne pas pouvoir le laisser seul. S’il osait fermer la porte, il ferait sûrement une belle connerie. Il fallait être aveugle pour ne pas remarquer que Baba Yaga, il n’était plus capable de se gérer seul. Autant dans ce monde que dans le leur. « Je te recouche et je me tire.» qu’il disait pour essayer de se convaincre. Mais est-ce qu’il trouverait seulement la force de claquer la porte ? Lui qui était si obsédé par sa présence.
(c) DΛNDELION
muonster
kim young woo/monster woo
muonster
appart lugubre. itaewon
proxénète sans scrupule
Son of Bad W(b)itches
✶✶✶
36 a. – brute épaisse – macho, égocentrique, manipulateur, pervers, écrasant, sadique, sarcastique, déconneur, imprévisible, curieux, cinglé, grossier, non galant,,carpe diem
✶✶✶
Dep.10 ans à Séoul – Dans l'autre monde, il est la sorcière Baba Yaga, la bouffeuse d'enfants, au chat qui crève des yeux, aux arbres fouetteurs, aux molosses carnassiers, et aux bœufs qui boivent des rivières – Préfère crever que de retourner à Wonderland – Réputé dans le milieu des proxo – A déjà un casier judiciaire, mais se fait difficilement pincé – Ne se drogue pas mais drogue les autres – Très bonne résistance à l'alcool – Fumeur maladif – à l'aise niveau thune – aucune famille – Vit dans un appart pourri mais mieux que sa chaumière moisie de Wonderland qui pue la chair brûlée
couvert de tatouages – zero pudeur - jette ce qui gène par les fenêtres - déteste danser et chanter - adepte de MMA - aucun permis, conduit une bagnole qui n'est même pas la sienne – A le sommeil très lourd - Ne montera jamais sur un vélo ni un poney – Ne met jamais de sous vêtements – déteste les capotes - obsession pour les ventres, les bouches et ce qui a peur de lui – claustrophobe – Aime faire crever les plantes vertes en pissant dessus - sait cuisiner sans problème - Déformation professionnelle du « Je t'engraisse pour mieux te manger après » de l'autre monde - voix très grave – déteste tomber malade.
Handicaps : Attire tous les chiens et chats errants à son insu – Aimant à gosses, mais les déteste, les terrifie, et se fait frapper par leurs mères - Accroc à la viande et son l'odeur, mais son corps lui fait tout gerber à chaque fois – Appétit sexuel insatiable, voyeur, accro au porno, punition pour son appétit cannibale démesuré dans wonderland. Il est obligé de se soûler à mort pour arrêter une pulsion, se barrer ou se battre.
** MY WORST FALL
KILLMEBUTI'LLF*CKU
171
17/11/2019
Petite Bouille :
Pseudo :
muonster
Avatar :
kim young woo/monster woo
Crédits :
muonster
Lieu de vie :
appart lugubre. itaewon
Occupation :
proxénète sans scrupule
Situation :
Son of Bad W(b)itches
✶✶✶
Description :
36 a. – brute épaisse – macho, égocentrique, manipulateur, pervers, écrasant, sadique, sarcastique, déconneur, imprévisible, curieux, cinglé, grossier, non galant,,carpe diem
✶✶✶
Dep.10 ans à Séoul – Dans l'autre monde, il est la sorcière Baba Yaga, la bouffeuse d'enfants, au chat qui crève des yeux, aux arbres fouetteurs, aux molosses carnassiers, et aux bœufs qui boivent des rivières – Préfère crever que de retourner à Wonderland – Réputé dans le milieu des proxo – A déjà un casier judiciaire, mais se fait difficilement pincé – Ne se drogue pas mais drogue les autres – Très bonne résistance à l'alcool – Fumeur maladif – à l'aise niveau thune – aucune famille – Vit dans un appart pourri mais mieux que sa chaumière moisie de Wonderland qui pue la chair brûlée
couvert de tatouages – zero pudeur - jette ce qui gène par les fenêtres - déteste danser et chanter - adepte de MMA - aucun permis, conduit une bagnole qui n'est même pas la sienne – A le sommeil très lourd - Ne montera jamais sur un vélo ni un poney – Ne met jamais de sous vêtements – déteste les capotes - obsession pour les ventres, les bouches et ce qui a peur de lui – claustrophobe – Aime faire crever les plantes vertes en pissant dessus - sait cuisiner sans problème - Déformation professionnelle du « Je t'engraisse pour mieux te manger après » de l'autre monde - voix très grave – déteste tomber malade.
Handicaps : Attire tous les chiens et chats errants à son insu – Aimant à gosses, mais les déteste, les terrifie, et se fait frapper par leurs mères - Accroc à la viande et son l'odeur, mais son corps lui fait tout gerber à chaque fois – Appétit sexuel insatiable, voyeur, accro au porno, punition pour son appétit cannibale démesuré dans wonderland. Il est obligé de se soûler à mort pour arrêter une pulsion, se barrer ou se battre.
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Messages :
171
Date d'inscription :
17/11/2019
Byaeyang Aam Bao
tales - baba yaga
Dim 2 Fév - 1:42
Byaeyang Aam Bao
CHAROGNE [+16] Seb
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Je lui tourne le dos, assis au bord du lit. J'ai envie de cracher mes tripes à cause de ma plaie, la tête qui tourne et en même temps, l'excitation me ronge. Vous n'avez jamais ressenti ça vous ? Quand votre libido explose dans votre estomac, au point de vous rendre nauséeux si vous cumulez trop ou que c'est trop violent... vous rongeant les envies jusqu'à ce que vous trouviez une proie . J'ai tellement envie de l'attraper, de le foutre à poil et de le prendre, comme ça, sans lui demander son avis, mais quelque chose m'en empêche. Pour le moment. Probablement d'ordre physique. Statistiquement, y'a peu d'chance que je tienne la longueur et la puissance. Je foutrais en l'air son dépucelage. Je compte bien qu'il s'en souvienne jusqu'à sa mort, mais en bien, pas en mal comme celui qui a baisé comme un unijambiste dératé. Ma main sur mon flanc, ça va me faire une cicatrice de plus, et bien sûr je la vois pas, il a foutu un bon pansement qui tient sous la flotte. Une idée me pique l'esprit, je souris une courte seconde mais ça s'arrête là, pour le moment aussi. Ce petit con va me rendre dingue. Je n'ai jamais été aussi stratégique de ma vie pour obtenir quelque chose en gardant le monopole de la situation.
«Fais pas ta jouvencelle. Tu sais très bien que j'ai bandé pour toi. » La vérité. Elle n'est jamais passé outre, je l'ai toujours posée, que ça plaise ou non, et vous savez quoi ? Bien souvent, les gens ont peur de la dire, pas parce qu'ils vont choqués, énervés, apeurés. Ils ne la disent pas parce qu'ils n'assument pas eux-même de dire les choses comme elles sont, peur d'accepter être ce qu'ils pensent. Et oui, vous autres, dans quatre vingt dix pour cent de votre existence, n'êtes pas ce que vous pensez. La belle hypocrisie en double teinte, entre ceux qui montrent ouvertement deux visages et assument n'être pas sincère par choix, et les autres dont vous ne saurez jamais qu'ils ont un double visage parce qu'ils ne sont jamais assumé et préfère montrer que ce qui est convenable ou que ce que la société accepte. Le conformisme. Mon cul. Je bande pour lui, autant qu'il le sache, et je l'aurais dit aussi dans une place bondée de monde ou une église si ça avait nécessaire. « C'est bon.. » que je contre sur sa remarque. De toute façon, vu comment la morphine me défonce, autant le tripoter couché, ça je peux, autant dès que le sang monte à la tête, je fais moins le fier, va me falloir quelques minutes pour m'habituer à cette dose de cheval.
Je tourne la tête vers lui, quand il dit qu'il a tout nettoyé. Quoi... ? Ma vue floue depuis quelques secondes et mon obsession pour mon vertige et ma plaie m'a pas franchement fait prendre conscience de mon environnement. Je fronce les sourcils et observe un peu mieux. Sans... déconner.... C'est le visage sévère que j'observe autour de moi. Plus rien ne traîne. Où son les objets que j'envoie valser quand je marche ? Et cette odeur, c'est pas une hallucination ? C'est quoi, du jasmin ? J'ai la gueule à vivre dans un appart qui sent la fille ? Putain, Seb... Je soupire en baissant les yeux pour me frotter le visage d'une main, mon dos se courber pour me permettre de m'appuyer sur mes genoux. « Techniquement, si je pisse dehors, ça salira pas c'que t'as fait. » Un merci ? Pas tout de suite, je suis un gars indiscipliné et casse-couilles, ce sera contre nature de dire ça quand il s'y attend. Par définition, l'imprévisibilité, c'est le bonheur de mes tares. Je le vois arriver dans mon sillage visuel et à hauteur de mon visage, son bassin. Hey. Fais pas ça ok. Surtout quand t'as la trique. Il est pas pile devant , mais je vois qu'ça moi. Fais chier. Je suis à poil, ça n'a pas l'air de le déranger. Je tique alors. Minute. «Vas-y, cogne-moi. C'est toi qui m'a dessapé ? Où sont mes fringues ? Et mon portable... » Putain, voilà pourquoi je range jamais, je retrouve plus rien. C'est pire quand on range pour moi. Ça va pas , rien ne va là. Mon appart ne ressemble plus à mon antre, je suis à poil à bander comme un âne et si ça reste comme ça, j'vous dis pas la douleur, je pue, j'ai mal, j'suis défoncé et ce mec veut absolument rien me céder, ou alors c'est pour mieux me l'enlever de la bouche. Je vais m'le faire plus tôt que prévu.
Ok opération, levage de charge lourde. T'as ton permis cariste Seb, parce que je tangue, et les poches sur mon épaule vont bientôt se casser la gueule. Cent kilos sur son épaule. J'essaie de te tenir le coup, je déteste mon état, ça m'énerve un peu plus. En passant à coté d'une chaise, je choppe ce qui ressemble à un plaid. J'ai ça moi ? Ça devait être sous un truc, planqué ou tombé. Après plusieurs mètres, à jeter un coup d’œil à comment poser mes foutus pieds qui semblent ne pas m'appartenir, sur un sol qui n'est plus collant, je me demande où il a jeté les morceaux digérés de ma viande. Quel gachis. Je finis le cul sur les chiottes, me collant le plaid en vrac sur les cuisses. « P'tain.... » échappé dans le vent mais... attends mec t'as cru que j'allais pissé comme une fille ? Il se fout de ma gueule. Oh. Je le fixe en coin. « Tu peux m'apporter une clope au moins ? Ma dernière volonté. » Dernière volonté pour cette minute, j'ai pas précisé, si dommage. Il m'allume, me laisse en plan, me change mon environnement, me parle comme à un chien... Il n'a pas tout compris...Vivement que je me remette. J'ai demandé ma clope quand il a refermé la porte. Génial à tous les coups, il a rien entendu. Il me fait chier. J'ai pas l'intention de pisser ici. Pas comme ça. Mes poches pendouillent toujours sur mon épaule. J'ai tellement envie de tout arracher...
Mes yeux se figent sur la douche en face. Un coup d'oeil à la porte. Ok... dans un effort silencieux, mais pas des moindres, je me lève, et j'entre dans la douche, choppant au passage le tabouret de la salle de bain et les poches pour les suspendre en hauteur. J'ouvre l'eau en pissant en même temps, plus pratique. Mais je bande toujours. Ma mâchoire se crispe. S'il croit que j'vais pas me soulager avant de retourner me coucher, c'est mort. L'eau chaude s'écrase sur moi, quand je me pose en ailleurs contre le carrelage froid. Je ferme les yeux dans un soupir d'aisance sous l'eau brûlante, qui m'anesthésie toutes les douleurs musculaires que j'encaisse avec l'anesthésie, encore engourdi par endroit, mais pas du poignet. Habitude, j'empoigne l'objet de ma frustration et contrairement à ce que j'ai fait avec ce petit con, moi je sais c'que j'aime. Silencieux, la morphine m'emmène sous mes propres doigts dans un moment d'oubli salace et putain c'que c'est bon.... Je sens mes muscles revivre, mes poumons se regonfler un peu plus à chaque fois. Serré mais en douceur, le pire des supplices, mais ça me rend dingue...un jour ce ne sera plus ma main. Mais lui. Et cette pensée ne fait que resserrer davantage ma poigne et serrer les dents. Elle vient cette clope?