36 a. – brute épaisse – macho, égocentrique, manipulateur, pervers, écrasant, sadique, sarcastique, déconneur, imprévisible, curieux, cinglé, grossier, non galant,,carpe diem
✶✶✶
Dep.10 ans à Séoul – Dans l'autre monde, il est la sorcière Baba Yaga, la bouffeuse d'enfants, au chat qui crève des yeux, aux arbres fouetteurs, aux molosses carnassiers, et aux bœufs qui boivent des rivières – Préfère crever que de retourner à Wonderland – Réputé dans le milieu des proxo – A déjà un casier judiciaire, mais se fait difficilement pincé – Ne se drogue pas mais drogue les autres – Très bonne résistance à l'alcool – Fumeur maladif – à l'aise niveau thune – aucune famille – Vit dans un appart pourri mais mieux que sa chaumière moisie de Wonderland qui pue la chair brûlée
couvert de tatouages – zero pudeur - jette ce qui gène par les fenêtres - déteste danser et chanter - adepte de MMA - aucun permis, conduit une bagnole qui n'est même pas la sienne – A le sommeil très lourd - Ne montera jamais sur un vélo ni un poney – Ne met jamais de sous vêtements – déteste les capotes - obsession pour les ventres, les bouches et ce qui a peur de lui – claustrophobe – Aime faire crever les plantes vertes en pissant dessus - sait cuisiner sans problème - Déformation professionnelle du « Je t'engraisse pour mieux te manger après » de l'autre monde - voix très grave – déteste tomber malade.
Handicaps : Attire tous les chiens et chats errants à son insu – Aimant à gosses, mais les déteste, les terrifie, et se fait frapper par leurs mères - Accroc à la viande et son l'odeur, mais son corps lui fait tout gerber à chaque fois – Appétit sexuel insatiable, voyeur, accro au porno, punition pour son appétit cannibale démesuré dans wonderland. Il est obligé de se soûler à mort pour arrêter une pulsion, se barrer ou se battre.
** MY WORST FALL
KILLMEBUTI'LLF*CKU
171
17/11/2019
Petite Bouille :
Pseudo :
muonster
Avatar :
kim young woo/monster woo
Crédits :
muonster
Lieu de vie :
appart lugubre. itaewon
Occupation :
proxénète sans scrupule
Situation :
Son of Bad W(b)itches
✶✶✶
Description :
36 a. – brute épaisse – macho, égocentrique, manipulateur, pervers, écrasant, sadique, sarcastique, déconneur, imprévisible, curieux, cinglé, grossier, non galant,,carpe diem
✶✶✶
Dep.10 ans à Séoul – Dans l'autre monde, il est la sorcière Baba Yaga, la bouffeuse d'enfants, au chat qui crève des yeux, aux arbres fouetteurs, aux molosses carnassiers, et aux bœufs qui boivent des rivières – Préfère crever que de retourner à Wonderland – Réputé dans le milieu des proxo – A déjà un casier judiciaire, mais se fait difficilement pincé – Ne se drogue pas mais drogue les autres – Très bonne résistance à l'alcool – Fumeur maladif – à l'aise niveau thune – aucune famille – Vit dans un appart pourri mais mieux que sa chaumière moisie de Wonderland qui pue la chair brûlée
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Handicaps : Attire tous les chiens et chats errants à son insu – Aimant à gosses, mais les déteste, les terrifie, et se fait frapper par leurs mères - Accroc à la viande et son l'odeur, mais son corps lui fait tout gerber à chaque fois – Appétit sexuel insatiable, voyeur, accro au porno, punition pour son appétit cannibale démesuré dans wonderland. Il est obligé de se soûler à mort pour arrêter une pulsion, se barrer ou se battre.
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Byaeyang Aam Bao
tales - baba yaga
Lun 6 Jan - 0:08
Byaeyang Aam Bao
CHAROGNE [+16] Seb
CONTENU OU LANGAGE SENSIBLES. TU CLIC T'ASSUMES!:
Je l'ai senti. Le déclin. Y'a quatre jours. Trois. Avant hier. Maintenant... ma peau s'était peu à peu maculée de sueur, s'était échauffée. Ma vue s'était troublée par moment et j'avais cette envie permanente de manger et de vomir, d'agresser le premier cul qui passe, même envie d'aller traumatiser comme un connard seth.. ou jae hyun, lui fait bouffer son flingue. Envie de sexe. De violence. De tout en même temps. Pulsions anormales, je déconnais putain. Une semaine de ça, le savior en carton me perforait le flan de sa lame, par accident. Recousu de fortune, la gueule en berne, j'avais tenu le choc, même si l'infection me guettait. L'hygiène de mon appart et moi ça faisait deux. Et là, de l'autre coté du miroir, j'aurais pu avaler de la viande avariée, que ça n'aurait pas été un problème. Mais ici... ici... ils ont inventé les bactéries. Des petites saloperies qui pénètrent en toi pour mieux te détruire. C'était mon rôle ça avant, le virus de Wonderland, un des pires, j'aimerais devenir Ebola. J'en ignore la raison mais je veux tout détruire depuis ce matin et voir ramper chacun d'eux, jusqu'à crever et leur marcher dessus. Et voir leur chair pourrie retapisser le sol de terre de mon ancienne demeure... mais au lieu de ça, j'ai eu une pulsion devant une boucherie, et je suis revenu avec deux kilos de barbaque crue que j'ai bouffé sans retenue... et je crève par tous les trous de mon corps à l'heure qu'il est.
Je ne vois plus clair, j'entends des trucs qui n'existent pas, je sens des choses qui me retournent l'estomac encore plus. J'ai bouffé toute la viande, sans la cuire, c'était jouissif, le sang coule encore sur ma langue en souvenir juteux, mais le seul jus que je sens dans mon œsophage, c'est celui de ma bile que j'ai étalé un peu partout dans l'appart. C'est la merde. J'ai pas pu me retenir, mais mon intolérance à la viande m'a tout fait renvoyer en plus de me déclencher une forte fièvre, faisant travailler tout mon abdomen et les agrafes de mon ventre. Mon sang commence à tacher mon tee shirt. J'avais déjà mal, je pense que c'est infecté , plus ou moins, la couleur de mon flan jure un peu, mais … les morceaux de viande non digérés qui tapissent mon salon, n'arrangent rien à ma nausée. Les crampes reprennent. Avec les heures, je n'ai plus de force... j'ai fini par m'écrouler entre les chiottes et la baignoire... La tête contre le mur, à moitié comateux, ma peau couverte de substances que je ne veux plus reconnaître...
La cuvette des chiottes est pleine, je la vide encore une fois, d'un geste hasardeux. On dirait une scène de film d'horreur que peu supporteraient mais je repense à là où je vivais et c' était si similaire... je ne pensais jamais que j'aurais dit ça un jour, mais à cet instant précis, j'ai envie de retourner là bas, vivre pour toujours, reprendre ce chaos qui brûlait mon sang noir et ma gueule diabolique aux orbites vides. J'ai envie d'oublier que je peux séduire, que je peux mourir que respirer est une nécessité et que je dois constamment faire gaffe à chacun de mes gestes. J'suis fatigué d'essayer pour rien. La fatigue commence à avoir raison de moi... mes mains tremblent... mes bras … j'ai mal au crâne, l'impression qu'il va imploser et rependre ma cervelle sur la crédence. Je vire mon tee shirt dégueulasse, dans un ultime effort et le pose en boule sur ma plaie respirant profondément pour calmer mes nerfs... ce qui fait le plus chier c'est pas de mourir, c'est d'avoir mal... lancinante depuis des jours déjà et rien que j'puisse contrôler... j'ai l'impression d'être une proie, je suis en rogne.
J'ai envie de tuer. De sexe. Encore. D'alcool. J'ai faim. Encore. C'est insupportable, comme si mes nerfs s'enflammaient et je grogne, fort, avant de serrer les mâchoires sous cette putain d'épreuve qu'on me fait traverser. Marraine, si j'te retrouve, plus jamais tu vas marcher, ni penser, ni entendre, ni même mourir... j'vais trouver le pire truc qui puisse exister et le faire durer et durer... ça me ferait presque bander si j'avais encore des forces... Je pose ma tempe sur le bord de la baignoire, le souffle difficile, mon cœur me disant merde une fois sur dix... le thorax en feu, le dos bousillé, les nerfs finis... j'ai une impression de sueurs froides et tellement chaud en même temps... Je dois tenir, j'ai vu pire. Ouais c'est ce que je me dis, mais j'en mène pas large honnêtement. Par fierté, j'ai pas appelé l'doc, celui qui m'a recousu à la barbare... par fierté... j'ai même pas été cherche Seb non plus. Putain , dix ans dans le vide et je vais crever sans avoir pu l'embrasser, paie ton charisme baba yaga... dans mes pensées, je n'entends pas que quelqu'un est rentré chez moi, ou ce qu'il est reste de mon chez-moi... même mon chat a du se barrer là... je vois juste une paire de pieds flous et mon estomac me relance. Reflexe, demi, je finis la tête dans les chiottes encore... mes bras m'y retenant comme je peux... putain j'en ai marre...
Deliora
Kim Won Sik - Ravi
Point de suture
Itaewon
Mécanicien - Professeur de boxe pour enfant
Célibataire - Obsession malsaine pour un seul homme, son cauchemar, son bourreau. Un diable auquel il pourrait offrir son âme.
Il est couvert de tatouages. Sur sa main trône la mâchoire de Baba Yaga qui a souvent hanté ses nuits. Pour ne jamais oublier. Ne jamais pardonner.
Il ne voit presque plus de l’oeil gauche suite à un combat de boxe quand il n’avait que vingt ans.
Il a commencé la boxe pour se défouler et pouvoir se défendre contre le possible retour de Baba Yaga.
Il a tendance à fumer un peu trop, mais il ne touche plus à l’alcool depuis trois ans. Il participe aux réunions des alcooliques anonymes.
Doué de ses mains, il n’est pas que bon dans son travail. Il sait aussi cuisiner. Certaines femmes vantent également son doigté.
Il a recueilli un chien qui trainait devant chez lui : Spaghetti
Il fait preuve d’une patience à toute épreuve, mais uniquement avec les enfants.
Il conduit une moto, et roule toujours trop vite. Il a tendance à prendre des risques pour se sentir vivant.
Il s’est souvent retrouvé mêlé à des bagarres à la sortie des bars, mais il est aussi connu pour avoir fait quelques strip-tease sur les tables.
Il a eu une relation avec son professeur de lettres au lycée. Elle était beaucoup plus âgé. Vingt ans de plus que lui.
Il a eu de nombreuses relations d’un soir, incapable de s’attacher, mais il ne se souvient d’aucun prénom. Trop ivre pour avoir un souvenir.
Il laisse la lumière de son couloir allumée la nuit pour pouvoir repérer une ombre qui passerait devant sa chambre. Il se réveille au moindre bruit.
Il a participé pour le calendrier du club de boxe afin de reverser les dons à une association. Il était monsieur Mars.
Il a tenté d’avoir une petite amie pour essayer de vivre une vie normale. Il n’a tenu que trois jours.
Pas très au fait de la mode, son armoire est remplie de jean troués, t-shirt et baskets.
Il s’est fait mordre par un cheval lors d’une sortie scolaire, depuis il n’ose plus s’en approcher.
Il n’a pas parlé à un de ses amis pendant plus de deux semaines parce qu’il avait mangé le dernier chocolat.
Célibataire - Obsession malsaine pour un seul homme, son cauchemar, son bourreau. Un diable auquel il pourrait offrir son âme.
Description :
Il est couvert de tatouages. Sur sa main trône la mâchoire de Baba Yaga qui a souvent hanté ses nuits. Pour ne jamais oublier. Ne jamais pardonner.
Il ne voit presque plus de l’oeil gauche suite à un combat de boxe quand il n’avait que vingt ans.
Il a commencé la boxe pour se défouler et pouvoir se défendre contre le possible retour de Baba Yaga.
Il a tendance à fumer un peu trop, mais il ne touche plus à l’alcool depuis trois ans. Il participe aux réunions des alcooliques anonymes.
Doué de ses mains, il n’est pas que bon dans son travail. Il sait aussi cuisiner. Certaines femmes vantent également son doigté.
Il a recueilli un chien qui trainait devant chez lui : Spaghetti
Il fait preuve d’une patience à toute épreuve, mais uniquement avec les enfants.
Il conduit une moto, et roule toujours trop vite. Il a tendance à prendre des risques pour se sentir vivant.
Il s’est souvent retrouvé mêlé à des bagarres à la sortie des bars, mais il est aussi connu pour avoir fait quelques strip-tease sur les tables.
Il a eu une relation avec son professeur de lettres au lycée. Elle était beaucoup plus âgé. Vingt ans de plus que lui.
Il a eu de nombreuses relations d’un soir, incapable de s’attacher, mais il ne se souvient d’aucun prénom. Trop ivre pour avoir un souvenir.
Il laisse la lumière de son couloir allumée la nuit pour pouvoir repérer une ombre qui passerait devant sa chambre. Il se réveille au moindre bruit.
Il a participé pour le calendrier du club de boxe afin de reverser les dons à une association. Il était monsieur Mars.
Il a tenté d’avoir une petite amie pour essayer de vivre une vie normale. Il n’a tenu que trois jours.
Pas très au fait de la mode, son armoire est remplie de jean troués, t-shirt et baskets.
Il s’est fait mordre par un cheval lors d’une sortie scolaire, depuis il n’ose plus s’en approcher.
Il n’a pas parlé à un de ses amis pendant plus de deux semaines parce qu’il avait mangé le dernier chocolat.
« Derrière les rochers une chienne inquiète Nous regardait d'un oeil fâché, Epiant le moment de reprendre au squelette Le morceau qu'elle avait lâché.
- Et pourtant vous serez semblable à cette ordure, A cette horrible infection, Etoile de mes yeux, soleil de ma nature, Vous, mon ange et ma passion !
Oui ! telle vous serez, ô la reine des grâces, Après les derniers sacrements, Quand vous irez, sous l'herbe et les floraisons grasses, Moisir parmi les ossements.
Alors, ô ma beauté ! dites à la vermine Qui vous mangera de baisers, Que j'ai gardé la forme et l'essence divine De mes amours décomposés ! »
Les nuits se faisaient plus courtes, les cauchemars plus intenses. Il étouffait de son absence, suffoquant sous les souvenirs presque scandaleux de leurs retrouvailles. Quelques minutes. Juste quelques minutes qui avaient réussi à le foutre en vrac, quelques caresses et une distance imposée qui aurait pu le faire hurler de frustration. Une obsession grandissante qui le plongeait dans ses abysses dont il connaissait pourtant la profondeur, et il était prêt à se laisser dévorer par ses démons. Pour un regard. Pour sentir à nouveau ses doigts sur sa peau, l’odeur de tabac froid qui émanait de son souffle, son parfum qu’il avait l’impression de sentir à chaque coin de rue. Baba Yaga où la maladie qui coulait dans son sang. Chacune de ses cellules réagissaient à sa présence et il crevait de son départ, disparu dans l’ombre de la nuit tel le croquemitaine qu’il était. Ce soir là. Celui ou sa vie avait changé. Et il avait résisté Sebastian, porté par sa putain de fierté mal placée. Il était totalement aliéné, mais incapable de l’assumer. Il lui avait craché son arrogance à la gueule et il ne voulait pas lui faire le plaisir de lui courir après. Non, tout ce qu’il désirait c’était le rendre fou. Fou au point d’en oublier son propre nom.
Alors pourquoi est-ce qu’il se trouvait devant sa porte. Ses pas l’avaient mené devant cet appartement, avec ses connaissances, ça n’avait pas été difficile de trouver son adresse. Et c’était quoi son excuse hein ? Qu’il ne supportait plus de ne plus sentir son regard brulant sur son corps ? Que le souvenir de sa langue contre ses lèvres l’avait détraqué au point de se lancer dans des séances de plaisir solitaire lors de ses douloureuses insomnies. Hors de question d’avouer qu’il n’avait cessé de penser à lui. Baba Yaga, il était déjà bien trop orgueilleux. Impulsif Sebastian, il avait frappé sans obtenir aucune réponse. Et le boxeur, il détestait qu’on l’ignore, en particulier cet homme qui l’avait chassé durant presque la moitié de sa vie. Il était aussi désaxé que son démon. Alors il poussait la porte, pas fermée à clé et ça ne l’étonnait qu’à moitié. En revanche l’odeur infâme digne d’un corps en putréfaction qui se dégageait de l’appartement lui arrachait un haut le coeur qu’il réfrénait en remontant son col roulé sur son nez.
Le sol était collant, recouvert de poussière et ce qui semblait être un reste de repas mal digéré. Le sang de la viande à peine mâchée mêlé aux ordures. Qui pouvait vivre dans une merde pareille ? Il ne touchait à rien Sebastian, tentant d’éviter les flaques de reflux de son hôte pour ne pas salir ses baskets. Il avait pensé à faire demi tour avant de se faire bouffer par les rats qui devaient sûrement avoir élu domicile dans une des pièces. Et pourtant, il continuait d’avancer, poussant la porte de la salle de bain, attiré par le bruit. Ce qu’il y trouvait n’avait rien à voir avec un gracieux sorcier. Non, il faisait face à une véritable loque à laquelle il aurait pu ôter la vie en une fraction de seconde. Mais Baba Yaga avait raison. Sans lui, sa vie n’avait plus aucun sens. Il le laissait cracher le contenu de son estomac dans les toilettes avant de se baisser pour glisser ses bras musclés sous ses aisselles. Il pesait une tonne ce vieux con, et il lui fallait mettre toutes ses forces pour soulever ce poids mort et le caler contre une des parois de la douche. Il n’hésitait pas à faire couler l’eau glacée sur son corps puant et poisseux. L’odeur lui avait à nouveau filer la nausée et il réprimait un frisson pour tenter de se contenir. « Mais qu’est ce que t’as foutu ? C’est quoi ce taudis putain ?» Il n’avait aucune idée de ce qu’il avait pris, ce qui l’avait mis dans un était aussi pathétique.
Oubliées ses fringues propres et ses baskets flambant neuves, il le rejoignait sous cette douche sans se dévêtir, s’agenouillant pour lui faire face, le revers de sa main contre son front. « Je me demande comment tu as pu survivre aussi longtemps dans ce monde… J’imagine que tu n’as rien pour faire baisser ta fièvre ?» Il n’était même pas certain qu’il soit capable de l’entendre ou même de le comprendre. Alors il observait son corps à moitié nu qui dévoilait une blessure absolument pas cicatrisée et très certainement infectée. Il n’était pas médecin, mais il fallait être stupide pour se trimballer une telle blessure sans en surveiller l’évolution. « T’es vraiment trop con…» Et Sebastian, il se sentait impuissant face à sa faiblesse. Il puait la mort, son appartement était une déchèterie et il allait peut-être lui claquer entre les doigts. Il allait falloir prioriser les problèmes et rapidement.
(c) DΛNDELION
muonster
kim young woo/monster woo
muonster
appart lugubre. itaewon
proxénète sans scrupule
Son of Bad W(b)itches
✶✶✶
36 a. – brute épaisse – macho, égocentrique, manipulateur, pervers, écrasant, sadique, sarcastique, déconneur, imprévisible, curieux, cinglé, grossier, non galant,,carpe diem
✶✶✶
Dep.10 ans à Séoul – Dans l'autre monde, il est la sorcière Baba Yaga, la bouffeuse d'enfants, au chat qui crève des yeux, aux arbres fouetteurs, aux molosses carnassiers, et aux bœufs qui boivent des rivières – Préfère crever que de retourner à Wonderland – Réputé dans le milieu des proxo – A déjà un casier judiciaire, mais se fait difficilement pincé – Ne se drogue pas mais drogue les autres – Très bonne résistance à l'alcool – Fumeur maladif – à l'aise niveau thune – aucune famille – Vit dans un appart pourri mais mieux que sa chaumière moisie de Wonderland qui pue la chair brûlée
couvert de tatouages – zero pudeur - jette ce qui gène par les fenêtres - déteste danser et chanter - adepte de MMA - aucun permis, conduit une bagnole qui n'est même pas la sienne – A le sommeil très lourd - Ne montera jamais sur un vélo ni un poney – Ne met jamais de sous vêtements – déteste les capotes - obsession pour les ventres, les bouches et ce qui a peur de lui – claustrophobe – Aime faire crever les plantes vertes en pissant dessus - sait cuisiner sans problème - Déformation professionnelle du « Je t'engraisse pour mieux te manger après » de l'autre monde - voix très grave – déteste tomber malade.
Handicaps : Attire tous les chiens et chats errants à son insu – Aimant à gosses, mais les déteste, les terrifie, et se fait frapper par leurs mères - Accroc à la viande et son l'odeur, mais son corps lui fait tout gerber à chaque fois – Appétit sexuel insatiable, voyeur, accro au porno, punition pour son appétit cannibale démesuré dans wonderland. Il est obligé de se soûler à mort pour arrêter une pulsion, se barrer ou se battre.
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Occupation :
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36 a. – brute épaisse – macho, égocentrique, manipulateur, pervers, écrasant, sadique, sarcastique, déconneur, imprévisible, curieux, cinglé, grossier, non galant,,carpe diem
✶✶✶
Dep.10 ans à Séoul – Dans l'autre monde, il est la sorcière Baba Yaga, la bouffeuse d'enfants, au chat qui crève des yeux, aux arbres fouetteurs, aux molosses carnassiers, et aux bœufs qui boivent des rivières – Préfère crever que de retourner à Wonderland – Réputé dans le milieu des proxo – A déjà un casier judiciaire, mais se fait difficilement pincé – Ne se drogue pas mais drogue les autres – Très bonne résistance à l'alcool – Fumeur maladif – à l'aise niveau thune – aucune famille – Vit dans un appart pourri mais mieux que sa chaumière moisie de Wonderland qui pue la chair brûlée
couvert de tatouages – zero pudeur - jette ce qui gène par les fenêtres - déteste danser et chanter - adepte de MMA - aucun permis, conduit une bagnole qui n'est même pas la sienne – A le sommeil très lourd - Ne montera jamais sur un vélo ni un poney – Ne met jamais de sous vêtements – déteste les capotes - obsession pour les ventres, les bouches et ce qui a peur de lui – claustrophobe – Aime faire crever les plantes vertes en pissant dessus - sait cuisiner sans problème - Déformation professionnelle du « Je t'engraisse pour mieux te manger après » de l'autre monde - voix très grave – déteste tomber malade.
Handicaps : Attire tous les chiens et chats errants à son insu – Aimant à gosses, mais les déteste, les terrifie, et se fait frapper par leurs mères - Accroc à la viande et son l'odeur, mais son corps lui fait tout gerber à chaque fois – Appétit sexuel insatiable, voyeur, accro au porno, punition pour son appétit cannibale démesuré dans wonderland. Il est obligé de se soûler à mort pour arrêter une pulsion, se barrer ou se battre.
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Byaeyang Aam Bao
tales - baba yaga
Lun 13 Jan - 0:04
Byaeyang Aam Bao
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Une voix... grave... un reproche. Je cherche à comprendre. Quand j'l'ai revu la première fois, j'étais psychologiquement en crise... il a captivé mes pulsions meurtrières en le matant sur le ring à défoncer la gueule d'un autre... et là que je suis en train de crever, le karma me l'envoie encore... ? Il a attendu des jours entiers durant lesquels je me suis défoulé sur la gueule des autres. Et là que je meurs … il réapparaît... est-ce qu'il est vraiment vivant où est-ce que c'est juste un putain de fantôme comme dans les films qui se pointent quand on a besoin... ? Pourtant je l'ai touché la dernière fois... il m'a touché... il m'a touché... j'ouvre à moitié les yeux. Qu'il me tue, il en crève d'envie... à la place , il me traîne comme une merde jusqu'à la douche, je l'aide même pas, j'ai pas le temps de percuter. Ça c'est bien un truc de tueur, buter quelqu'un dans la douche ou la baignoire, c'est plus facile à nettoyer. Quoi que ça s’imprègne dans les joints et dans le siphon, c'est des conneries ce qu'on voit dans les films. Si tu veux vraiment te débarrasser d'une personne , sans laisser de trace, faut pas la saigner. L'acide c'est le mieux. Puis broyer ce qu'il rester, et le jeter dans les égouts. Je suis rodé... de tellement de techniques et maintenant ça va être mon tour. J'espère que ce sera une expérience de taille. Si je crève , autant que ce soit avec le max d'inventivité. Mon esprit est encore actif mais mon corps me dit fuck... je m'écrase contre le mur , au sol, comme une merde...Ma respiration est longue et lourde. Je ne réponds rien à sa remarque. Mon taudis ? Ma tanière, un truc pas potable avec probablement cent germes ou bactéries qui trainent... Pourquoi ça lui a pas fait peur à ce petit con. Je veux lui répondre mais l'eau froide me bruler les muscles, ça m'a coupé la gerbe direct, mais ma respiration s'est accéléré. Choc thermique, tu connais ! Grand malade ! Début de la torture, mais j'endure et je ferme ma gueule, la tête en arrière sur la paroi. Ma peau bleuie en parti, je perds en couleur, pourtant je suis mat à coté de lui. Ça ne fait qu'accentuer l'infection sur mon bord de flanc. En théorie ça ne touche aucun organe, mais j'en suis plus très sur. J'ai de la fièvre je le sais, je passe d'une sensation – 40 ° à 40 depuis hier. Là, je suis – 180° ou pas loin je pense, belle hypothermie pas loin du choc nerveux... il va me tuer... je le mérite.
Je rebaisse le visage et mes mèches tombent en avant de mon crâne semi rasé. Il est bien sapé... et il ruine tout sous l'eau. Pourquoi. Il pourrait se dessaper s'il veut me buter, faut tout lui apprendre putain. C'est pas comme si j'avais pas déjà vu son torse. Il pourrait au moins me faire bander avant de crever. Et là, ses mots me foutent le doute. Mais bien comme il faut. Je relève mes yeux dans les siens, sans comprendre. Il s'inquiète ? Je comprends plus rien, pourquoi il m'a foutu dans la douche si c'est pas pour me... ah ouais... je pue... c'est ça ? J'ai du me gerber dessus... Dans l'incompréhension, je ris. Je ris mal, je manque de m'étouffer, je crache un peu au sol, il me reste un truc dans les dents, c'est dégueulasse... le morceau de viande tombe dans la douche et je ris encore un peu, avant de renvoyer ma tête en arrière... « t'es responsable... t'as brisé le cycle... » Oh le reproche. Ouais, il m'a abandonné, ce petit con, il a détraqué la boucle logique de toute la malédiction dont je vis. Si je l'avais absorbé on aurait été uni pour la vie là bas... il a tellement rien compris. Mais ici , c'est différent et quand je vois ce qu'il est devenu, putain, j'y pense même quand je baise un ou une autre... En vrai, Seb n'y était pour rien, j'en avais juste envie... manger de la viande à m'en faire péter le ventre, mais si j'avais pas eu cette plaie , ça aurait été une putain de gastro allergique.
J'arrête de sourire et le regard de nouveau épuisé. En détail. L'eau qui coule sur sa peau dont on distingue déjà les tatouages sur la gorge... Je tends la main vers le haut en fermant les yeux, atteignant le robinet à hauteur moyenne et fout l'eau chaude à fond pour compenser et bientôt c'est un soulagement qui s'extirpe de ma gorge, grave et râpeux. « J'crois pas qu'un simple antalgique va régler le problème... » des mots soufflés, qui se perdent en partie avec le bruit de l'eau mais audible... Je m’essouffle, la douleur je supporte mais l'épuisement, j'ai pas de solution pour ça...Ma main tombe sur ma cuisse mais j'ouvre la bouche vers le haut pour me la remplir et la cracher plus loin … autant crever la bouche propre. Non mieux. Je tends le bras et le choppe par le col pour le rapprocher de moi avec le peu de forces qu'il me reste. Son visage arrive près du mien... si près... je baisse les yeux, qui ne voient que son nez, ses joues, mais plus ses lèvres si proches... Un spasme me prend la nuque. J'ai tellement envie de le sentir contre moi... peau à peau. J'ai jamais autant désiré quelqu'un...Deuxième spasme, mes paupières se baissent un peu. Mon étreinte se desserre... « pas l'hosto... » un simple murmure... ma main tombe... et lentement je sombre, affalé comme un cadavre dans la douche. A sa merci... Pourvu qu'il comprenne qu'il doit appeler mon médecin en particulier et pas m'emmener à l'hosto, sinon je suis foutu et bon pour la taule.
Deliora
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Mécanicien - Professeur de boxe pour enfant
Célibataire - Obsession malsaine pour un seul homme, son cauchemar, son bourreau. Un diable auquel il pourrait offrir son âme.
Il est couvert de tatouages. Sur sa main trône la mâchoire de Baba Yaga qui a souvent hanté ses nuits. Pour ne jamais oublier. Ne jamais pardonner.
Il ne voit presque plus de l’oeil gauche suite à un combat de boxe quand il n’avait que vingt ans.
Il a commencé la boxe pour se défouler et pouvoir se défendre contre le possible retour de Baba Yaga.
Il a tendance à fumer un peu trop, mais il ne touche plus à l’alcool depuis trois ans. Il participe aux réunions des alcooliques anonymes.
Doué de ses mains, il n’est pas que bon dans son travail. Il sait aussi cuisiner. Certaines femmes vantent également son doigté.
Il a recueilli un chien qui trainait devant chez lui : Spaghetti
Il fait preuve d’une patience à toute épreuve, mais uniquement avec les enfants.
Il conduit une moto, et roule toujours trop vite. Il a tendance à prendre des risques pour se sentir vivant.
Il s’est souvent retrouvé mêlé à des bagarres à la sortie des bars, mais il est aussi connu pour avoir fait quelques strip-tease sur les tables.
Il a eu une relation avec son professeur de lettres au lycée. Elle était beaucoup plus âgé. Vingt ans de plus que lui.
Il a eu de nombreuses relations d’un soir, incapable de s’attacher, mais il ne se souvient d’aucun prénom. Trop ivre pour avoir un souvenir.
Il laisse la lumière de son couloir allumée la nuit pour pouvoir repérer une ombre qui passerait devant sa chambre. Il se réveille au moindre bruit.
Il a participé pour le calendrier du club de boxe afin de reverser les dons à une association. Il était monsieur Mars.
Il a tenté d’avoir une petite amie pour essayer de vivre une vie normale. Il n’a tenu que trois jours.
Pas très au fait de la mode, son armoire est remplie de jean troués, t-shirt et baskets.
Il s’est fait mordre par un cheval lors d’une sortie scolaire, depuis il n’ose plus s’en approcher.
Il n’a pas parlé à un de ses amis pendant plus de deux semaines parce qu’il avait mangé le dernier chocolat.
Célibataire - Obsession malsaine pour un seul homme, son cauchemar, son bourreau. Un diable auquel il pourrait offrir son âme.
Description :
Il est couvert de tatouages. Sur sa main trône la mâchoire de Baba Yaga qui a souvent hanté ses nuits. Pour ne jamais oublier. Ne jamais pardonner.
Il ne voit presque plus de l’oeil gauche suite à un combat de boxe quand il n’avait que vingt ans.
Il a commencé la boxe pour se défouler et pouvoir se défendre contre le possible retour de Baba Yaga.
Il a tendance à fumer un peu trop, mais il ne touche plus à l’alcool depuis trois ans. Il participe aux réunions des alcooliques anonymes.
Doué de ses mains, il n’est pas que bon dans son travail. Il sait aussi cuisiner. Certaines femmes vantent également son doigté.
Il a recueilli un chien qui trainait devant chez lui : Spaghetti
Il fait preuve d’une patience à toute épreuve, mais uniquement avec les enfants.
Il conduit une moto, et roule toujours trop vite. Il a tendance à prendre des risques pour se sentir vivant.
Il s’est souvent retrouvé mêlé à des bagarres à la sortie des bars, mais il est aussi connu pour avoir fait quelques strip-tease sur les tables.
Il a eu une relation avec son professeur de lettres au lycée. Elle était beaucoup plus âgé. Vingt ans de plus que lui.
Il a eu de nombreuses relations d’un soir, incapable de s’attacher, mais il ne se souvient d’aucun prénom. Trop ivre pour avoir un souvenir.
Il laisse la lumière de son couloir allumée la nuit pour pouvoir repérer une ombre qui passerait devant sa chambre. Il se réveille au moindre bruit.
Il a participé pour le calendrier du club de boxe afin de reverser les dons à une association. Il était monsieur Mars.
Il a tenté d’avoir une petite amie pour essayer de vivre une vie normale. Il n’a tenu que trois jours.
Pas très au fait de la mode, son armoire est remplie de jean troués, t-shirt et baskets.
Il s’est fait mordre par un cheval lors d’une sortie scolaire, depuis il n’ose plus s’en approcher.
Il n’a pas parlé à un de ses amis pendant plus de deux semaines parce qu’il avait mangé le dernier chocolat.
Il était là. Et c’était contre toute logique. Lui qui ne souhaitait pourtant que sa mort, il était condamné à une vie de souffrance, à supporter sa présence parce qu’il finirait par crever du manque s’il venait à disparaître. Un véritable junky, prêt à vendre son âme pour une dose. Une dose de son odeur, une dose de sa chaleur. Une dose de sa putain de connerie. Et il était servi Sebastian. Avec cet appartement immonde aux restes de repas déversés sur le sol. A s’occuper de sa lourde carcasse à moitié morte. Baba Yaga, il avait du débarquer dans ce monde avec ses propres emmerdes. Lui se coltinait des insomnies et une foutue phobie des vaches. La viande devait faire partie des restrictions imposées dans cette nouvelle vie. Dans ta gueule connard. Il adorait dévorer la chair fraiche, encore chaude, et il se retrouvait à devoir grignoter des légumes. Le karma. Mais il ne faisait pas trop le malin. Il avait passé son temps à le fuir et voilà qu’il n’était plus capable de rester à distance de cet homme. Le vie était une véritable chienne et il n’avait qu’une envie. Lui cracher dessus. Sauf qu’il se retrouvait simplement sous une eau glacée, ses doigts égratignés sur le front de son malade pour dégager ses mèches de cheveux. Il ne faisait plus le fier. Il l’avait ravalé son charisme. Là à moitié nu à vomir ses tripes. Au lieu de le satisfaire, cette vision lui tordait l’estomac.
Il la ressentait, l’urgence de la situation, un sentiment qui faisait vibrer chacune de ses cellules. Sebastian, il n’avait aucun diplôme, il réparait les bagnoles, pas les corps. Et son rire, il le faisait trembler. Une peur incontrôlée qui le dévorait tel le gamin qu’il était. Un rire de désespoir, brutal, cinglant, presque cynique. Il n’aimait pas ce qu’il voyait. Un corps abimé et sans force. Ce n’était pas ça Baba Yaga. Il ne pouvait pas l’accepter. « Oh ferme ta gueule. Tu me les brise avec ton cycle.» Il s’était échappé, il devait simplement l’accepter. Chacun avait fait de la vie de l’autre un véritable enfer. Ils étaient à égalité non ? Un tourbillon de souffrance et d’amertume qui avait balayé le boxeur en une fraction de seconde. Ses mains se glissaient dans la tignasse brune et poisseuse de sa chimère, descendant lentement jusqu’à sa gorge, serrant juste assez pour se gorger de cette sensation de possession. Il était à sa merci. Il lui appartenait corps et âme. Il suivait du regard ce bras qui se levait avec difficulté, appréciant silencieusement la chaleur de l’eau. Ce n’était pas un antalgique dont il avait besoin, mais une caisse entière pour purifier ce corps lourd et puissant.
Surpris par la poigne encore féroce du sorcier sur son col il se laissait docilement agripper, son regard accrochant immédiatement le sien. Sombre. Sauvage. Animal. Indomptable. « Lâches moi, tu pues de la gueule.» Des mots soufflés alors qu’il le libérait. Pas par choix, mais parce que son putain de corps était en train de le lâcher. La colère, elle grondait en lui, raisonnant jusqu’à ses oreilles. Il n’avait pas intérêt à mourir, parce que cette idée, Sebastian, il la trouvait inconcevable. Cette supplication, elle l’avait retourné, totalement foutu en vrac. Pas l’hôpital. Alors il prenait le risque de l’abandonner quelques secondes, partant à la recherche de son téléphone portable. Tentant à nouveau d’éviter les flaques de reflux, il avait jeté un coup d’oeil au salon, se rendant dans la chambre, il ouvrait les portes au hasard, ses fringues dégoulinants. La quête du Graal. Il trouvait le cellulaire près de son lit, sur le sol aussi répugnant que le reste de l’appartement et c’était rapidement qu’il faisait l’inventaire de ses contacts. Un médecin. Il devait bien en avoir un dans ce merdier. Trouvé. C’était la main tremblante et le coeur défaillant qu’il composait le numéro, priant pour entendre une voix. « Il va mal. Il faut venir tout de suite.» qu’il disait avant de raccrocher sans donner plus de détails et retrouver son patient. Au même endroit. Dans le même état. Lamentable. Terrifiant.
Agenouillé près de lui, il s’activait sur le bouton de son jean, bataillant pour lui ôter le tissu trop serré et qui collait à sa peau. « Aide moi un peu putain » Un grognement lâché alors que ses mains se glissaient sous ses fesses sans aucune arrière pensée. Et c’était entièrement nu qu’il le laissait quelques secondes de plus sous l’eau pour décrasser cette peau tatouée. Ce n’était pas le moment, mais son regard se perdait sur ses muscles, suivant chacune de ses courbes. Il perdait la tête Sebastian. Ce crétin avait cet effet sur lui. Attrapant une serviette qu’il jetait sur son épaule, il se baissait à nouveau, le bras de Baba Yaga autour de son épaule pour le relever et le guider jusqu’à son lit. Il le balançait sans grande douceur sur le matelas, séchant approximativement ce corps si parfait. Il se permettait même de fouiller dans ses affaire pour lui enfiler un vieux jogging, frôlant ses cuisses de ses doigts habiles. Sa blessure, elle était grave. Il pouvait le deviner rien qu’au gonflement et à la couleur. Et ce putain de toubib, il était où ?
(c) DΛNDELION
muonster
kim young woo/monster woo
muonster
appart lugubre. itaewon
proxénète sans scrupule
Son of Bad W(b)itches
✶✶✶
36 a. – brute épaisse – macho, égocentrique, manipulateur, pervers, écrasant, sadique, sarcastique, déconneur, imprévisible, curieux, cinglé, grossier, non galant,,carpe diem
✶✶✶
Dep.10 ans à Séoul – Dans l'autre monde, il est la sorcière Baba Yaga, la bouffeuse d'enfants, au chat qui crève des yeux, aux arbres fouetteurs, aux molosses carnassiers, et aux bœufs qui boivent des rivières – Préfère crever que de retourner à Wonderland – Réputé dans le milieu des proxo – A déjà un casier judiciaire, mais se fait difficilement pincé – Ne se drogue pas mais drogue les autres – Très bonne résistance à l'alcool – Fumeur maladif – à l'aise niveau thune – aucune famille – Vit dans un appart pourri mais mieux que sa chaumière moisie de Wonderland qui pue la chair brûlée
couvert de tatouages – zero pudeur - jette ce qui gène par les fenêtres - déteste danser et chanter - adepte de MMA - aucun permis, conduit une bagnole qui n'est même pas la sienne – A le sommeil très lourd - Ne montera jamais sur un vélo ni un poney – Ne met jamais de sous vêtements – déteste les capotes - obsession pour les ventres, les bouches et ce qui a peur de lui – claustrophobe – Aime faire crever les plantes vertes en pissant dessus - sait cuisiner sans problème - Déformation professionnelle du « Je t'engraisse pour mieux te manger après » de l'autre monde - voix très grave – déteste tomber malade.
Handicaps : Attire tous les chiens et chats errants à son insu – Aimant à gosses, mais les déteste, les terrifie, et se fait frapper par leurs mères - Accroc à la viande et son l'odeur, mais son corps lui fait tout gerber à chaque fois – Appétit sexuel insatiable, voyeur, accro au porno, punition pour son appétit cannibale démesuré dans wonderland. Il est obligé de se soûler à mort pour arrêter une pulsion, se barrer ou se battre.
** MY WORST FALL
KILLMEBUTI'LLF*CKU
171
17/11/2019
Petite Bouille :
Pseudo :
muonster
Avatar :
kim young woo/monster woo
Crédits :
muonster
Lieu de vie :
appart lugubre. itaewon
Occupation :
proxénète sans scrupule
Situation :
Son of Bad W(b)itches
✶✶✶
Description :
36 a. – brute épaisse – macho, égocentrique, manipulateur, pervers, écrasant, sadique, sarcastique, déconneur, imprévisible, curieux, cinglé, grossier, non galant,,carpe diem
✶✶✶
Dep.10 ans à Séoul – Dans l'autre monde, il est la sorcière Baba Yaga, la bouffeuse d'enfants, au chat qui crève des yeux, aux arbres fouetteurs, aux molosses carnassiers, et aux bœufs qui boivent des rivières – Préfère crever que de retourner à Wonderland – Réputé dans le milieu des proxo – A déjà un casier judiciaire, mais se fait difficilement pincé – Ne se drogue pas mais drogue les autres – Très bonne résistance à l'alcool – Fumeur maladif – à l'aise niveau thune – aucune famille – Vit dans un appart pourri mais mieux que sa chaumière moisie de Wonderland qui pue la chair brûlée
couvert de tatouages – zero pudeur - jette ce qui gène par les fenêtres - déteste danser et chanter - adepte de MMA - aucun permis, conduit une bagnole qui n'est même pas la sienne – A le sommeil très lourd - Ne montera jamais sur un vélo ni un poney – Ne met jamais de sous vêtements – déteste les capotes - obsession pour les ventres, les bouches et ce qui a peur de lui – claustrophobe – Aime faire crever les plantes vertes en pissant dessus - sait cuisiner sans problème - Déformation professionnelle du « Je t'engraisse pour mieux te manger après » de l'autre monde - voix très grave – déteste tomber malade.
Handicaps : Attire tous les chiens et chats errants à son insu – Aimant à gosses, mais les déteste, les terrifie, et se fait frapper par leurs mères - Accroc à la viande et son l'odeur, mais son corps lui fait tout gerber à chaque fois – Appétit sexuel insatiable, voyeur, accro au porno, punition pour son appétit cannibale démesuré dans wonderland. Il est obligé de se soûler à mort pour arrêter une pulsion, se barrer ou se battre.
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Byaeyang Aam Bao
tales - baba yaga
Lun 20 Jan - 23:48
Byaeyang Aam Bao
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Je l'ai pas aidé. En fermant les yeux, je savais que c'était la dernière fois. Elle m'a eu cette p*te de marraine... même pas foutu de m'affronter de l'autre coté en personne. Je vais crever d'une simple infection... même pas d'une maladie grave. Non. A cause d'un savoir. Et par la main final de ma dernière victime... la seule que je n'ai mâché. Tout ça n'a pas de sens. Rien n'en a. Jusqu'à ma constitution moléculaire initiale naît du chaos pour faire le chaos. Je ne sens rien. Ni quand il me traîne, ni quand il me met à nu , ni quand il me rhabille. Me prépare-t-il pour la mort ? C'est gentil. Mais quand bien même je sois propre, mon âme est pourrie et pue.
Le docteur Saejeom est justement en train de parler de moi avec un de mes hommes dans un bar du coin, là où je l'ai rencontré. Tout ça je l'ignore bien sur mais ces petits cons sont plus inquiets pour moi que je le voudrais, ils peuvent pas se mêler de c'qui les regarde putain... Et c'est sans surprise qu'il décroche et formule un simple -jarrive- un peu plus tot que prévu mais il a déjà tout prévu dans son coffre de bagnole, forcé de constater qu'il fait un peu trop d'interventions à domicile pas très légales et qu'il doit donc avoir le matos avec lui. Et quand il arrive chez Bao, il ouvre la porte sans même frapper, muni d'un sac de sport assez lourd. L'odeur le prend au nez direct. Il réprime une insulte, guindé dans son costard sans cravate, lui petit homme à la cicatrice qui lui traverse la gueule. Il ouvre en grand ce qui ne l'est pas déjà. « Virez tous les couvertures, draps propres obligatoires. On va le perfuser ici. Vous allez m'aider. » Il se met en chemise, remonte ses manches et m'attrape un bras pour le tirer, comme si j'étais une charogne pour me faire atterir sur des coussins par terre. Après quoi il ouvre l'armoire, et sort 4 draps, une bache en plastique que j'ai toujours en stock si je fais des dégueulasseries sur les gens chez moi, et va à la cuisine pour préparer son bordel.
« Empêchez-le de remanger de la viande. Il n'écoute rien, il est allergique, il va se tuer à force, c'est plus fort que lui. Je n'ai jamais su son passé, mais il a des soucis autant psychiatriques que physiques, donc faites attention à vous. Même si... » Il le regarde de haut en bas le Seb et fronce les sourcils. « Je me doute que si vous êtes encore en vie , c'est qu'il doit vous apprécier. Parce qu'autrement, il ne laisse jamais personne rentrer dans son antre c'est comme ça qu'il l'appelle. » Il parle , il parle le doc, ça lui évite de chopper la gerbe devant mes vomis par troupeau faisandé. Il Enfile des gants jetables et en jette une paire à Seb. « J'dois faire sauter ses points, j'espère que vous avez l'coeur bien accroché. J'ai besoin d'vous. » Il me rassoit et me tire sur le lit avec de l'aide, puis il cherche ma veine de bras et ne perd pas de temps, il pique et m'installe un cathéter, puis une poche de solution saline, une autre de morphine et la dernière d'antibiotique directement, comme ça ce sera fait qu'il aurait dit. Il en a foutu d'autres au frigo , sait-on jamais. Le frigo n'est pas plein de germe. Y'a aucune logique dans cet appart, comme pour moi, mais ça... c'est pas leur problème. Du coup je le crois.
Le docteur pendouille les poches à la porte de l'armoire jusqu'à coté sur un porte manteau et vérifie que tout passe bien avant d'amener le nécessaire. L'anesthésie locale ? Pas besoin qu'il va dire si Seb demande. Je déteste ça de toute façon, je préfère en chier qu'avec l'air d'un blob au réveil. Un par un il fait sauter les points deja peu solide et nettoie les chairs gonflées et suintantes et bien entendu il va les écarter un peu pour oter ce qui est moche sous la surface. Pas assez profond pour voir mes intestins. En profondeur ça semble avoir commencer à se recoller correctement donc c'est en parti cicatrisé, mais ça pue la chair pourrie, alors il va gratter. Pour ne laisser qu'une plaie propre, même si la couleur, c'est pas encore le festival des poneys. Moi je sens rien, il m'a dégommé un peu plus avec la morphine et putain ce que ça fait du bien de dormir. Pendant que je pionce, et à mon insu , ce traître va déballer certains de mes déboires à ce petit con, qui n'avait clairement pas besoin de savoir tout ça. Il lui explique que j'ai fait de la taule, que je suis proxénète, que j'l'ai déjà cogné aussi mais que malgré tout il continue de me soigner parce que sinon personne le ferait (merci de ta pitié au passage, t'es un homme mort) que j'ai un chat qui saute par la fenêtre, que j'ai jamais nettoyé mon appart, que j'ai déjà fini en cellule de dégrisement de nombreuses fois, et qu'il ne me le dit pas en face, mais qu'il pense que je souffre de nymphomanie aiguë, de dissociation de la personnalité parce que je me prends pour un démon, que je suis un pervers narcissique, sadique et masochiste qui refuse d'aller faire une thérapie. Il a toujours pas compris qu'on peut pas me thérapiser. Et il rajoute bien à la fin : moi tout ça, j'm'en mêle pas, je suis juste là pour le recoudre et le mettre sous médoc. Et une fois fini, il explique à Seb comment se démerder avec les poches etc , parce qu'il faut être honnête, ça pue trop ici, et il préfère se barrer avant que Seb ne lui dise qu'il ne peut pas rester et qu'au bout du compte ce soit à lui de me supporter. Encore. Et puis il en peut plus de pas dormir à cause de nos prouesses. Ça sert à rien de plaider ma cause de toute façon, puisque personne ne m'a obligé à ingurgiter cette putain de viande.
Les heures passent... trop longues et … une lumière arrive sur mes yeux... Le soleil n'est devant la fenêtre que vers... midi... Tout mon corps gueule la douleur et la fainéantise. J'ai l'impression qu'un poids lourd m'ait passé dessus. J'aurais préféré que Seb me grimpe dessus pour avoir des courbatures pareilles. J'suis pas mort. Merde. Il est où ce con. Il s'est embrouillé avec la faucheuse c'est ça ? Elle a peur de se faire troncher elle aussi ? Tous des pleutres ks. Je suis bougon, très bougon et quand je plie le bras, l'aiguille souple me défonce la veine dans le bras. C'est quoi cette merde... une perfusion ? Panique soudaine, je suis à l'hosto ? Je me redresse d'un coup pour chercher des indics et tout mon appart me saute au visage. Je retombe net, étourdi, la gerbe à la gorge, nauséeux de la morphine carabinée qui me coule dans les artères. Je suis sur qu'il a augmenté la dose le gamin... Pourtant y'a personne et mon grognement résonne sur les murs... je n'appelle personne, ça servirait à quoi... si je veux pisser je fais par la fenêtre c'est ça ? Je suis tout seul, personne sera témoin, qu'est-ce que je m'en fous. Machinalement, je mets une mains sur mon ventre, comme si une chose pesante y croissait mais c'est juste mon corps qui s'est fait maltraité. Il m'a fait quoi... J'ai pas l'impression d'avoir de la fièvre mais je suis ko... et j'ai la bouche pâteuse comme si j'avais avalé de cannelle à la cuillère.
Deliora
Kim Won Sik - Ravi
Point de suture
Itaewon
Mécanicien - Professeur de boxe pour enfant
Célibataire - Obsession malsaine pour un seul homme, son cauchemar, son bourreau. Un diable auquel il pourrait offrir son âme.
Il est couvert de tatouages. Sur sa main trône la mâchoire de Baba Yaga qui a souvent hanté ses nuits. Pour ne jamais oublier. Ne jamais pardonner.
Il ne voit presque plus de l’oeil gauche suite à un combat de boxe quand il n’avait que vingt ans.
Il a commencé la boxe pour se défouler et pouvoir se défendre contre le possible retour de Baba Yaga.
Il a tendance à fumer un peu trop, mais il ne touche plus à l’alcool depuis trois ans. Il participe aux réunions des alcooliques anonymes.
Doué de ses mains, il n’est pas que bon dans son travail. Il sait aussi cuisiner. Certaines femmes vantent également son doigté.
Il a recueilli un chien qui trainait devant chez lui : Spaghetti
Il fait preuve d’une patience à toute épreuve, mais uniquement avec les enfants.
Il conduit une moto, et roule toujours trop vite. Il a tendance à prendre des risques pour se sentir vivant.
Il s’est souvent retrouvé mêlé à des bagarres à la sortie des bars, mais il est aussi connu pour avoir fait quelques strip-tease sur les tables.
Il a eu une relation avec son professeur de lettres au lycée. Elle était beaucoup plus âgé. Vingt ans de plus que lui.
Il a eu de nombreuses relations d’un soir, incapable de s’attacher, mais il ne se souvient d’aucun prénom. Trop ivre pour avoir un souvenir.
Il laisse la lumière de son couloir allumée la nuit pour pouvoir repérer une ombre qui passerait devant sa chambre. Il se réveille au moindre bruit.
Il a participé pour le calendrier du club de boxe afin de reverser les dons à une association. Il était monsieur Mars.
Il a tenté d’avoir une petite amie pour essayer de vivre une vie normale. Il n’a tenu que trois jours.
Pas très au fait de la mode, son armoire est remplie de jean troués, t-shirt et baskets.
Il s’est fait mordre par un cheval lors d’une sortie scolaire, depuis il n’ose plus s’en approcher.
Il n’a pas parlé à un de ses amis pendant plus de deux semaines parce qu’il avait mangé le dernier chocolat.
Célibataire - Obsession malsaine pour un seul homme, son cauchemar, son bourreau. Un diable auquel il pourrait offrir son âme.
Description :
Il est couvert de tatouages. Sur sa main trône la mâchoire de Baba Yaga qui a souvent hanté ses nuits. Pour ne jamais oublier. Ne jamais pardonner.
Il ne voit presque plus de l’oeil gauche suite à un combat de boxe quand il n’avait que vingt ans.
Il a commencé la boxe pour se défouler et pouvoir se défendre contre le possible retour de Baba Yaga.
Il a tendance à fumer un peu trop, mais il ne touche plus à l’alcool depuis trois ans. Il participe aux réunions des alcooliques anonymes.
Doué de ses mains, il n’est pas que bon dans son travail. Il sait aussi cuisiner. Certaines femmes vantent également son doigté.
Il a recueilli un chien qui trainait devant chez lui : Spaghetti
Il fait preuve d’une patience à toute épreuve, mais uniquement avec les enfants.
Il conduit une moto, et roule toujours trop vite. Il a tendance à prendre des risques pour se sentir vivant.
Il s’est souvent retrouvé mêlé à des bagarres à la sortie des bars, mais il est aussi connu pour avoir fait quelques strip-tease sur les tables.
Il a eu une relation avec son professeur de lettres au lycée. Elle était beaucoup plus âgé. Vingt ans de plus que lui.
Il a eu de nombreuses relations d’un soir, incapable de s’attacher, mais il ne se souvient d’aucun prénom. Trop ivre pour avoir un souvenir.
Il laisse la lumière de son couloir allumée la nuit pour pouvoir repérer une ombre qui passerait devant sa chambre. Il se réveille au moindre bruit.
Il a participé pour le calendrier du club de boxe afin de reverser les dons à une association. Il était monsieur Mars.
Il a tenté d’avoir une petite amie pour essayer de vivre une vie normale. Il n’a tenu que trois jours.
Pas très au fait de la mode, son armoire est remplie de jean troués, t-shirt et baskets.
Il s’est fait mordre par un cheval lors d’une sortie scolaire, depuis il n’ose plus s’en approcher.
Il n’a pas parlé à un de ses amis pendant plus de deux semaines parce qu’il avait mangé le dernier chocolat.
Le médecin pointait enfin le bout de son nez et il se sentait presque rassuré de ne pas être le seul à gérer sa carcasse à moitié morte. Il obéissant sans rechigner, chose qu’il ne faisait jamais, lui qui avait un terrible problème avec l’autorité. Oh Sebastian il tenait tête à son patron et à tous ceux qui tentaient de le contrôler. Encore plus à Baba Yaga quand il était en état de le supporter. Pas aujourd’hui. Il jouait les bons petits soldats. Mais ce sale con osait lui faire la morale. Il n’était pas son baby-sitter, et son rôle n’était pas de veiller sur ce démon qui ne rêvait que d’une seule chose. Le dévorer. Mordre dans sa peau, lui arracher ses chairs de ses dents. Le faire hurler de douleur. Alors non, il n’allait pas le surveiller pour l’empêcher d’avoir une indigestion. Pourtant, il se contentait de hocher la tête en gardant, difficilement, ses remarques pour lui. Il ne pouvait pas se permettre de le faire fuir avant que la vie de ce monstre soit hors de danger. Il n’était pas capable d’expliquer ce sentiment qui le prenait aux tripes et lui retournait le battant. Il avait peur de le voir crever et ça n’avait aucun sens. « Il a pas tellement eu le choix, il était déjà à moitié évanoui quand je suis rentré…» Rien à voir avec le fait qu’il puisse possiblement l’apprécier. Il avait du mal à le croire. Il n’était qu’une proie. La seule assez maline pour lui échapper et faire de sa vie l’enfer qu’il méritait.
Remontant son col roulé sur son nez pour se couper de l’odeur infecte, il enfilait les gants pas très à l’aise dans le rôle d’infirmier. Il manquait de finesse Sebastian, et de douceur, alors il ne pouvait pas se montrer délicat, même pour l’aider à soigner cette blessure à l’allure aussi immonde que son âme. Il était pourtant attentif à chacun des gestes du médecin, de ses explications pour ne pas merder après son départ. Il avait bien conscience qu’il allait se retrouver coincé dans cet appartement dégueulasse pour être certain que cet abruti ne rouvre pas sa plaie en voulant jouer les gangsters. Il avait trop de fierté ce connard. Un point qu’ils avaient en commun. Il sentait son estomac lui remonter dans la gorge à plusieurs reprises, mais il n’avait jamais montrer une seule seconde de faiblesse. Plutôt concentré sur les histoires qu’il lui racontait, il en oubliait presque la scène sanglante qui se déroulait sous ses yeux. Alors comme ça Baba Yaga était devenu Bao. Toujours aussi méprisable, peut-être même plus que dans leur propre monde. Un boulot à son image. Inhumain. Le karma. Il lui était revenu en pleine gueule avec cette incapacité à ingurgiter de la viande et une nymphomanie qui devait lui bouffer le cerveau. Il était plutôt satisfait Seb, d’apprendre qu’il menait une existence de merde. « Merci d’être venu… Je vais essayer de le calmer.» Et pourtant le boxeur, il avait plutôt tendance à le faire sortir de ses gonds. Il était conscient d’être à l’origine de sa colère. Parce qu’il ne l’avait pas cherché. Il l’avait laissé attendre comme le chien qu’il était. Pour le faire souffrir. Pour lui faire mal. Comme il lui avait fait mal.
Profitant de sa léthargie, il était allé au combini au coin de la rue pour acheter de quoi nettoyer son antre. Il avait toujours vécu dans un trou dégueulasse au milieu des bois, mais il était hors de question qu’il traine au milieu du contenu de son estomac et de poussière. Equipé d’un masque et de gants, il s’était occupé des sols, imaginant des dizaines de manière de le tuer une fois qu’il serait remis sur pieds. Il jouait les fées du logis, ce qui ne lui ressemblait pas, mais son obsession pour le monstre le poussait inlassablement vers lui. Un besoin viscéral de sentir sa présence. Il en vidait des sauts d’eau avant de voir la véritable couleur du carrelage. Ranger la cuisine, se débarrasser des moisissures. Il avait besoin de se dépenser Sebastian pour tenter d’oublier l’image de son corps sous cette douche. Ses tatouages. Et encore la sensation de sa langue sur ses lèvres. Une véritable machine de guerre. Des heures passées à décrasser, soldées par une douche brulante. Il s’était même permis de lui emprunter un jogging un peu trop grand qu’il avait tenté de serrer au maximum. Il avait vérifié les poches, le pansement, et penché sur lui, il inspectait sa respiration. Chacun de ses muscles le faisaient souffrir et il se laissait tomber sur le lit, à ses côtés. Un repos bien mérité. Il n’avait même pas sentit la fatigue l’emporter, sombrant dans un sommeil lourd en un instant.
Il ouvrait les yeux, sentant un mouvement près de lui, le matelas bouger. « Touche pas à ça…» qu’il marmonnait, encore endormi, en voyant la main de Bao sur sa blessure. « Si tu te refais saigner je te tranche la gorge. Laisse moi un peu de répit.» Oui, il n’y avait rien de plus normal que de trainer dans son lit. « Essaye pas de te lever non plus, il t’as donné une dose de cheval.» Nécessaire pour un corps aussi musclé que le sien. Allongé sur le dos, le boxeur posait son avant bras sur ses yeux. Pour ne pas avoir à le regarder. Il lui faisait un drôle d’effet. Aussi vulnérable, enfermé dans cette enveloppe un peu trop attirante. « Et ferme ta gueule je veux pas entendre une de tes blagues salaces sur ma présence ici…» Il ne voulait rien entendre tout court, ou il s’en irait en claquant la porte. Trop fier pour assumer ce côté attentionné.
(c) DΛNDELION
muonster
kim young woo/monster woo
muonster
appart lugubre. itaewon
proxénète sans scrupule
Son of Bad W(b)itches
✶✶✶
36 a. – brute épaisse – macho, égocentrique, manipulateur, pervers, écrasant, sadique, sarcastique, déconneur, imprévisible, curieux, cinglé, grossier, non galant,,carpe diem
✶✶✶
Dep.10 ans à Séoul – Dans l'autre monde, il est la sorcière Baba Yaga, la bouffeuse d'enfants, au chat qui crève des yeux, aux arbres fouetteurs, aux molosses carnassiers, et aux bœufs qui boivent des rivières – Préfère crever que de retourner à Wonderland – Réputé dans le milieu des proxo – A déjà un casier judiciaire, mais se fait difficilement pincé – Ne se drogue pas mais drogue les autres – Très bonne résistance à l'alcool – Fumeur maladif – à l'aise niveau thune – aucune famille – Vit dans un appart pourri mais mieux que sa chaumière moisie de Wonderland qui pue la chair brûlée
couvert de tatouages – zero pudeur - jette ce qui gène par les fenêtres - déteste danser et chanter - adepte de MMA - aucun permis, conduit une bagnole qui n'est même pas la sienne – A le sommeil très lourd - Ne montera jamais sur un vélo ni un poney – Ne met jamais de sous vêtements – déteste les capotes - obsession pour les ventres, les bouches et ce qui a peur de lui – claustrophobe – Aime faire crever les plantes vertes en pissant dessus - sait cuisiner sans problème - Déformation professionnelle du « Je t'engraisse pour mieux te manger après » de l'autre monde - voix très grave – déteste tomber malade.
Handicaps : Attire tous les chiens et chats errants à son insu – Aimant à gosses, mais les déteste, les terrifie, et se fait frapper par leurs mères - Accroc à la viande et son l'odeur, mais son corps lui fait tout gerber à chaque fois – Appétit sexuel insatiable, voyeur, accro au porno, punition pour son appétit cannibale démesuré dans wonderland. Il est obligé de se soûler à mort pour arrêter une pulsion, se barrer ou se battre.
** MY WORST FALL
KILLMEBUTI'LLF*CKU
171
17/11/2019
Petite Bouille :
Pseudo :
muonster
Avatar :
kim young woo/monster woo
Crédits :
muonster
Lieu de vie :
appart lugubre. itaewon
Occupation :
proxénète sans scrupule
Situation :
Son of Bad W(b)itches
✶✶✶
Description :
36 a. – brute épaisse – macho, égocentrique, manipulateur, pervers, écrasant, sadique, sarcastique, déconneur, imprévisible, curieux, cinglé, grossier, non galant,,carpe diem
✶✶✶
Dep.10 ans à Séoul – Dans l'autre monde, il est la sorcière Baba Yaga, la bouffeuse d'enfants, au chat qui crève des yeux, aux arbres fouetteurs, aux molosses carnassiers, et aux bœufs qui boivent des rivières – Préfère crever que de retourner à Wonderland – Réputé dans le milieu des proxo – A déjà un casier judiciaire, mais se fait difficilement pincé – Ne se drogue pas mais drogue les autres – Très bonne résistance à l'alcool – Fumeur maladif – à l'aise niveau thune – aucune famille – Vit dans un appart pourri mais mieux que sa chaumière moisie de Wonderland qui pue la chair brûlée
couvert de tatouages – zero pudeur - jette ce qui gène par les fenêtres - déteste danser et chanter - adepte de MMA - aucun permis, conduit une bagnole qui n'est même pas la sienne – A le sommeil très lourd - Ne montera jamais sur un vélo ni un poney – Ne met jamais de sous vêtements – déteste les capotes - obsession pour les ventres, les bouches et ce qui a peur de lui – claustrophobe – Aime faire crever les plantes vertes en pissant dessus - sait cuisiner sans problème - Déformation professionnelle du « Je t'engraisse pour mieux te manger après » de l'autre monde - voix très grave – déteste tomber malade.
Handicaps : Attire tous les chiens et chats errants à son insu – Aimant à gosses, mais les déteste, les terrifie, et se fait frapper par leurs mères - Accroc à la viande et son l'odeur, mais son corps lui fait tout gerber à chaque fois – Appétit sexuel insatiable, voyeur, accro au porno, punition pour son appétit cannibale démesuré dans wonderland. Il est obligé de se soûler à mort pour arrêter une pulsion, se barrer ou se battre.
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17/11/2019
Byaeyang Aam Bao
tales - baba yaga
Mar 21 Jan - 0:58
Byaeyang Aam Bao
CHAROGNE [+16] Seb
Mon corps s'est infligé un va et vient debout-assis radical et c'est dans les vapes, que je retombe en arrière de tout ma masse, mes épaules et ma tête s'écrasant dans le coussin. Une sensation que j'aime, ce coté moelleux et reposant pour les muscles. Je mentirais si je disais ne pas aimer mon lit. Le seul truc que je veux épouser et emmener de l'autre coté. Pas chiant, pas bavard et confortable. Comme le sexe, si t'y restes trop et que tu t'y endors, y'a des chances que tu restes bloqué. Je me félicite de n'pas avoir perdu mes réflexes d'obsédé, y'a que moi pour être fier d'un truc pareil, et c'est une raison supplémentaire pour garder cette exclusivité. Parti à moitié dans ce délire morphinique, j'entends une voix. Aish. C'est quoi ? Je l'entends même dans mes hallucinations ? Ce timbre qui me fait vibrer les tympans, l'orgasme auditif qui me fait sentir le proie tout proche... l'odeur du propre, l'odeur du produit nettoyant , l'odeur... de... minute. Y'a trop de détails pour une hallucinations. Ma main écrasée sur mon visage s’ôte lentement et j'ouvre les yeux. Il était là avant ma perte de connaissance. Est-ce qu'il serait encore là ? Je tourne la tête, l'entendant grogner un peu plus... me menaçant de me trancher la gorge. Aucun doute, c'est pas une hallucination. Mon hallucination serait muette. Ou sympa, ou apeurée. Pas... ça. ça...
La dose de cheval je la sens oui... et y'a autre chose que je sens... ma trique qui commence. NON MAIS T'ES PAS BIEN ?!!! Que j'aimerais lui gueuler avant de le jarter de mon lit d'un grand coup de pied pour ce qu'il m'inflige. Ce petit bâtard de trouillard qui a trop bien grandi et … comment ils disent les humains d'ici ? Sainte marie, mère de Dieu, bénissez-moi parce que j'vais péché... Seb mon neveu s'est allongé dans mon lit, et comme un âne j'ai bandé ? C'est d'une finesse... je serai jamais catholique, je me ferai excommunier avant même d'être baptisé... C'est sous le drap. Ça se voit pas... encore. Pourquoi il s'est allongé à coté de moi, comme ça... dans mon jogging... il a un truc en dessous ? Dans les vapes, je ne dis rien, je me tourne un peu sur le coté, les tubes de ma perfusion suivant. Je remonte un bras vers mon visage pour le passer sous le coussin et l'autre main se pose devant mon ventre sur le matelas sous le drap que j'ai remonté.
Ça pèle, il a ouvert les fenêtres entre temps ou quoi ? J'ai un sale frissons, choppant la chair de poule, mais mon regard ne peut se détacher de ce corps... il a dormi ici.. à coté de moi. Pourquoi s'il a peur .. j'comprends pas mais ça m'plait... cette tentation de juste pouvoir toucher sa peau à quelques centimètres. Il m'a dit de me taire... je le fais, c'est pas que j'obéis mais je suis tellement défoncé que je réfléchis pas à si je dois parler pour l'emmerder ou juste me taire et profiter de ça... Ses épaules , le creux de sa colonne. Les légères bosses des vertèbres..... je peux pas m’empêcher c'est plus fort que moi putain... J'aime la morphine. Un peu hasardeux dans mon geste, je pose le revers de mon index replié sur le creux de sa colonne vertébrale, retenant ses tatouages... et le descend doucement , laissant chaque vertèbre se heurter l'une après l'autre à mon doigt, jusqu'à la zone plus lisse du bas du dos et cette cambrure.... Mon doigt laisse place à une main complète, qui s'aplanie sur le creux forme sur son flanc au dessus de l'ose du bassin, geste lent, comme cherchant à établir une connexion sensorielle entre ma peau et la sienne. Je ferme les yeux et expire profondément … j'ai tellement de pensées là tout de suite, tellement d'envies malsaines qui se bousculent mais le sommeil n'a pas réussi à me rendre toutes mes forces... Ma main atteint bientôt son ventre et son nombril... et je ne la bouge plus, approchant mon front de sa nuque contre laquelle je l'appuie... Pas un mot jusque là... je respire son odeur... absorbe sa chaleur . Mon moi intérieur ouvre la gueule en grand pour lui arracher la colonne vertébrale avec les dents en partant de la nuque mais très honnêtement, la morphine, mon obsession, une pulsion, j'en sais rien, tout me fait apprécier ce moment à la con, qui je sens ne durera pas. En tout cas, mon ventre rêve de le baiser par surprise ça... j'peux pas le nier. Mais je ne bouge pas et je ne me colle pas à lui. Machinalement , mes doigts se mettent un peu à bouger, comme une caresse répétitive et infime, que je ne contrôle pas d'ailleurs.
Deliora
Kim Won Sik - Ravi
Point de suture
Itaewon
Mécanicien - Professeur de boxe pour enfant
Célibataire - Obsession malsaine pour un seul homme, son cauchemar, son bourreau. Un diable auquel il pourrait offrir son âme.
Il est couvert de tatouages. Sur sa main trône la mâchoire de Baba Yaga qui a souvent hanté ses nuits. Pour ne jamais oublier. Ne jamais pardonner.
Il ne voit presque plus de l’oeil gauche suite à un combat de boxe quand il n’avait que vingt ans.
Il a commencé la boxe pour se défouler et pouvoir se défendre contre le possible retour de Baba Yaga.
Il a tendance à fumer un peu trop, mais il ne touche plus à l’alcool depuis trois ans. Il participe aux réunions des alcooliques anonymes.
Doué de ses mains, il n’est pas que bon dans son travail. Il sait aussi cuisiner. Certaines femmes vantent également son doigté.
Il a recueilli un chien qui trainait devant chez lui : Spaghetti
Il fait preuve d’une patience à toute épreuve, mais uniquement avec les enfants.
Il conduit une moto, et roule toujours trop vite. Il a tendance à prendre des risques pour se sentir vivant.
Il s’est souvent retrouvé mêlé à des bagarres à la sortie des bars, mais il est aussi connu pour avoir fait quelques strip-tease sur les tables.
Il a eu une relation avec son professeur de lettres au lycée. Elle était beaucoup plus âgé. Vingt ans de plus que lui.
Il a eu de nombreuses relations d’un soir, incapable de s’attacher, mais il ne se souvient d’aucun prénom. Trop ivre pour avoir un souvenir.
Il laisse la lumière de son couloir allumée la nuit pour pouvoir repérer une ombre qui passerait devant sa chambre. Il se réveille au moindre bruit.
Il a participé pour le calendrier du club de boxe afin de reverser les dons à une association. Il était monsieur Mars.
Il a tenté d’avoir une petite amie pour essayer de vivre une vie normale. Il n’a tenu que trois jours.
Pas très au fait de la mode, son armoire est remplie de jean troués, t-shirt et baskets.
Il s’est fait mordre par un cheval lors d’une sortie scolaire, depuis il n’ose plus s’en approcher.
Il n’a pas parlé à un de ses amis pendant plus de deux semaines parce qu’il avait mangé le dernier chocolat.
Célibataire - Obsession malsaine pour un seul homme, son cauchemar, son bourreau. Un diable auquel il pourrait offrir son âme.
Description :
Il est couvert de tatouages. Sur sa main trône la mâchoire de Baba Yaga qui a souvent hanté ses nuits. Pour ne jamais oublier. Ne jamais pardonner.
Il ne voit presque plus de l’oeil gauche suite à un combat de boxe quand il n’avait que vingt ans.
Il a commencé la boxe pour se défouler et pouvoir se défendre contre le possible retour de Baba Yaga.
Il a tendance à fumer un peu trop, mais il ne touche plus à l’alcool depuis trois ans. Il participe aux réunions des alcooliques anonymes.
Doué de ses mains, il n’est pas que bon dans son travail. Il sait aussi cuisiner. Certaines femmes vantent également son doigté.
Il a recueilli un chien qui trainait devant chez lui : Spaghetti
Il fait preuve d’une patience à toute épreuve, mais uniquement avec les enfants.
Il conduit une moto, et roule toujours trop vite. Il a tendance à prendre des risques pour se sentir vivant.
Il s’est souvent retrouvé mêlé à des bagarres à la sortie des bars, mais il est aussi connu pour avoir fait quelques strip-tease sur les tables.
Il a eu une relation avec son professeur de lettres au lycée. Elle était beaucoup plus âgé. Vingt ans de plus que lui.
Il a eu de nombreuses relations d’un soir, incapable de s’attacher, mais il ne se souvient d’aucun prénom. Trop ivre pour avoir un souvenir.
Il laisse la lumière de son couloir allumée la nuit pour pouvoir repérer une ombre qui passerait devant sa chambre. Il se réveille au moindre bruit.
Il a participé pour le calendrier du club de boxe afin de reverser les dons à une association. Il était monsieur Mars.
Il a tenté d’avoir une petite amie pour essayer de vivre une vie normale. Il n’a tenu que trois jours.
Pas très au fait de la mode, son armoire est remplie de jean troués, t-shirt et baskets.
Il s’est fait mordre par un cheval lors d’une sortie scolaire, depuis il n’ose plus s’en approcher.
Il n’a pas parlé à un de ses amis pendant plus de deux semaines parce qu’il avait mangé le dernier chocolat.
Il le sentait bouger, un peu trop, alors, il avait du le calmer d’une voix encore enrouée par la fatigue. Sebastian il se servait de l’épuisement comme excuse, pour expliquer sa présence dans ce lit. Il aurait très bien pu s’allonger sur le canapé, mais il n’était pas très certain de le propreté de la chose. Et son corps appelait inlassablement celui de Baba Yaga, comme une rengaine incessante qui lui retournait le cerveau. Incapable d’assumer qu’il avait pris soin de lui, il préférait lui tourner le dos. Pour ne pas avoir à subir la lueur maline dans son regard. Il était persuadé de ne pas réussir à supporter la profondeur de ses yeux. L’intensité avec laquelle il détaillait son corps, elle lui brulait la peau, il la ressentait jusqu’à ses tripes. Est-ce qu’il l’avait fait exprès ? De lui offrir cette vision ? De lui exposer ses muscles parfaitement dessinés, recouverts de tatouages, la chute de ses reins, ses hanches. Inconsciemment, il avait cette envie malsaine de l’obséder, de devenir le seul objet de ses désirs. Qu’il ne puisse plus toucher aucun homme ou aucune femme sans penser à lui. Il allait imprimer cette image dans son esprit malade et quand il ne serait plus dans son champ de vision, il aurait ce besoin irrépressible de le chercher. Au point de le rendre encore plus fou qu’il ne l’était déjà. Elle était là sa vengeance, pour toutes ces années de souffrance.
Et il se figeait. Totalement paralysé, électrisé par ce contact. Il osait le toucher. Eveiller un brasier au creux de ses reins. Son cerveau lui hurlait de l’arrêter et son coeur le suppliait de continuer. Perdu au milieu de ce tourbillon d’émotions qui lui était inconnues, il laissait échapper un simple « Qu’est-ce que tu fous ?» pas très sûr de lui. Cette main fraiche sur son ventre un peu trop chaud, un peu trop tendu, elle l’enivrait et machinalement son souffle s’accélérait. Il le torturait avec cette douceur sortie de nul part. Et cette respiration contre sa nuque lui faisait perdre pied, faisait sauter les barrières qu’il avait mis si longtemps à ériger. Les frissons recouvraient son épiderme et il détestait l’idée de se montrer aussi vulnérable. Alors il posait sa main sur la sienne, stoppant les caresses improvisées. Mais il restait là, sans bouger, terrifié par tout ce qu’il était capable de lui faire ressentir d’un simple geste. Il poussait enfin son bras pour se libérer de son étreinte, et c’était courageusement qu’il décidait de se tourner pour lui faire face. « T’as cru que j’étais ta meuf ? Je pense que t’as eu un peu trop de morphine.» Il croisait enfin son regard, le battant en vrac face à ce visage dur aux traits fatigués.
Il avait cette envie irrépressible d’effleurer sa peau, de suivre ses courbes du bout des doigts. Il osait poser sa main sur ce torse saillant, se soulevant au gré de ses respirations. « Il parait que t’étais en colère ces derniers temps…» qu’il murmurait alors que ses doigts s’enfonçaient dans sa peau. Bao, il lui appartenait. Corps et âme. Chacune de ses cellules, il les ferait siennes. Il faisait gronder cette violence au fond de lui. Un appel au vice. Son regard se perdait instinctivement sur ses lèvres. Il avait autant envie de l’embrasser que les lui arracher. Deux sentiments qui s’entrechoquaient et faisaient de lui un idiot incapable de prendre ses distances. Il avait cette drôle d’impression de se sentir enfin à sa place. Il avait passé sa vie à fuir Sebastian et aujourd’hui, il arrêtait de courir. Parce qu’il venait de trouver cette partie de lui qui lui avait toujours manqué. Qui creusait un vide au creux de son âme.
(c) DΛNDELION
muonster
kim young woo/monster woo
muonster
appart lugubre. itaewon
proxénète sans scrupule
Son of Bad W(b)itches
✶✶✶
36 a. – brute épaisse – macho, égocentrique, manipulateur, pervers, écrasant, sadique, sarcastique, déconneur, imprévisible, curieux, cinglé, grossier, non galant,,carpe diem
✶✶✶
Dep.10 ans à Séoul – Dans l'autre monde, il est la sorcière Baba Yaga, la bouffeuse d'enfants, au chat qui crève des yeux, aux arbres fouetteurs, aux molosses carnassiers, et aux bœufs qui boivent des rivières – Préfère crever que de retourner à Wonderland – Réputé dans le milieu des proxo – A déjà un casier judiciaire, mais se fait difficilement pincé – Ne se drogue pas mais drogue les autres – Très bonne résistance à l'alcool – Fumeur maladif – à l'aise niveau thune – aucune famille – Vit dans un appart pourri mais mieux que sa chaumière moisie de Wonderland qui pue la chair brûlée
couvert de tatouages – zero pudeur - jette ce qui gène par les fenêtres - déteste danser et chanter - adepte de MMA - aucun permis, conduit une bagnole qui n'est même pas la sienne – A le sommeil très lourd - Ne montera jamais sur un vélo ni un poney – Ne met jamais de sous vêtements – déteste les capotes - obsession pour les ventres, les bouches et ce qui a peur de lui – claustrophobe – Aime faire crever les plantes vertes en pissant dessus - sait cuisiner sans problème - Déformation professionnelle du « Je t'engraisse pour mieux te manger après » de l'autre monde - voix très grave – déteste tomber malade.
Handicaps : Attire tous les chiens et chats errants à son insu – Aimant à gosses, mais les déteste, les terrifie, et se fait frapper par leurs mères - Accroc à la viande et son l'odeur, mais son corps lui fait tout gerber à chaque fois – Appétit sexuel insatiable, voyeur, accro au porno, punition pour son appétit cannibale démesuré dans wonderland. Il est obligé de se soûler à mort pour arrêter une pulsion, se barrer ou se battre.
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Description :
36 a. – brute épaisse – macho, égocentrique, manipulateur, pervers, écrasant, sadique, sarcastique, déconneur, imprévisible, curieux, cinglé, grossier, non galant,,carpe diem
✶✶✶
Dep.10 ans à Séoul – Dans l'autre monde, il est la sorcière Baba Yaga, la bouffeuse d'enfants, au chat qui crève des yeux, aux arbres fouetteurs, aux molosses carnassiers, et aux bœufs qui boivent des rivières – Préfère crever que de retourner à Wonderland – Réputé dans le milieu des proxo – A déjà un casier judiciaire, mais se fait difficilement pincé – Ne se drogue pas mais drogue les autres – Très bonne résistance à l'alcool – Fumeur maladif – à l'aise niveau thune – aucune famille – Vit dans un appart pourri mais mieux que sa chaumière moisie de Wonderland qui pue la chair brûlée
couvert de tatouages – zero pudeur - jette ce qui gène par les fenêtres - déteste danser et chanter - adepte de MMA - aucun permis, conduit une bagnole qui n'est même pas la sienne – A le sommeil très lourd - Ne montera jamais sur un vélo ni un poney – Ne met jamais de sous vêtements – déteste les capotes - obsession pour les ventres, les bouches et ce qui a peur de lui – claustrophobe – Aime faire crever les plantes vertes en pissant dessus - sait cuisiner sans problème - Déformation professionnelle du « Je t'engraisse pour mieux te manger après » de l'autre monde - voix très grave – déteste tomber malade.
Handicaps : Attire tous les chiens et chats errants à son insu – Aimant à gosses, mais les déteste, les terrifie, et se fait frapper par leurs mères - Accroc à la viande et son l'odeur, mais son corps lui fait tout gerber à chaque fois – Appétit sexuel insatiable, voyeur, accro au porno, punition pour son appétit cannibale démesuré dans wonderland. Il est obligé de se soûler à mort pour arrêter une pulsion, se barrer ou se battre.
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Byaeyang Aam Bao
tales - baba yaga
Jeu 23 Jan - 23:14
Byaeyang Aam Bao
CHAROGNE [+16] Seb
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Qu'est-ce que je fous ? J'ai pas envie de répondre. Comme au reste d'ailleurs. Je le sens réagir sous mes doigts, son ventre bouger, quelques spasmes légers et se gonfler légèrement et redevenir plat et sculpté au rythme de la respiration. Pense-t-il que parce qu'il ne me fait pas face, je ne sens pas son corps. Je l'ai rêvé et imaginé jusqu'à son contenu corporel, même si … je n'aurais jamais imaginé qu'il devienne si attirant. Lui et sa petit tête de con quand il était gosse à toujours me donner l'impression qu'il était plus malin que les autres. L'homme que j'ai sous la main n'a plus rien à voir. Il a toujours cette arrogance dans le regard, plus puissante et solide qu'avant, mais ça m’excite ça. Sa main se pose sur la mienne et forcément me contraint à arrêter de bouger les doigts. Je rouvre légèrement les yeux, restant un peu docile. La morphine y fait beaucoup c'est vrai mais j'ai un sourire en coin, à l'idée qu'il soit ma « meuf » comme il dit. Ça va tellement au delà de ça. Une meuf ça m'suffit pas sinon j'aurais fait des efforts pour Seul Bi , la dernière en date qui bien failli m'humaniser. J'ai besoin de plus. Et lui, c'est plus que ça, un truc qui m'échappe à moi-même également. Même la marraine ne peut pas modifier cette chose là. Notre libre arbitre a modifié la transformation de ce sort en plus de le transformer après notre passage. Tout a évolué en pire, obsession incontrôlable. Je connais ce que j'ai fabriqué et ce qui en découle. Il ne peut rien me cacher de ce qu'il subit comme paradoxe au fond de lui, et je sais, que dans son ventre, il a autant envie que je le prenne , que de me tuer et me balancer en morceaux aux quatre coins du monde et putain... ça me fait vibrer...
Alors j'accepte de le subir tant que je suis défoncé à la morphine. C'est pas un gros deal comparé à celui de lui toucher le ventre et de me nourrir de son odeur. Il s'est retourné et pour éviter de me prendre son épaule dans la tronche, je me suis remis sur le dos, fermant un peu les yeux sous le soulagement de mon ventre dans cette position plus agréable. Mes doigts découvrent des points frais et j'en conclus qu'il m'a rouvert. Tout seul ? Je tourne la tête un peu vers lui, pour croiser enfin ses yeux. J'ai une gueule de déterré, ça doit être beau mais il me connaît sous des visages tellement plus horribles...Je ferme un peu les yeux quand il me touche le torse. Putain... s'il commence, il va m'achever, je suis même pas en état de me le taper, il en joue, et j'ai encore plus envie de lui faire du bien à cause de tout ça. Si tu savais comme tu vas prendre cher avec ta première levrette toi, tu t'en remettras pas pendant au moins vingt quatre heures. Une promesse poétique salace que j'aurais plus lui faire mais il m'aurait collé son poing dans la gueule, et même si j'aime me frapper, on va limiter les excès masochistes pour aujourd'hui. Je respire profondément, absorbant comme millimètres de sa main sur ma peau... vas y descends ta main jusqu'en bas.... j'ai besoin d'un peu d'aide... vigoureuse et bien serrée. Aucun doute, la morphine, c'est pas bien, comme pourrait dire Seth. SI ! C'est très bien ! Encore ! Augmente la dose ! Même si mon esprit me fait la guerre, mon corps lui, reste immobile, calme...
En colère... Je rouvre les yeux, fixant un peu le plafond, un peu dans les vapes. «La patience c'est pas mon fort... ...» dit celui qui a tenu douze putains d'années sans certitude de trouver la paix. Je sens ses doigts et la commissure de mes lèvres se crispe un peu... me cherche pas putain... je baisse les yeux sur cette main envahissante, le laissant faire, mes doigts croisés sur mon ventre plus bas, une jambe un peu replié pour masquer ma trique toujours présente. « j'ai dit que tu finirais par venir...j'avais raison... » Ce contact me perturbe trop , je n'arrive plus à passer par dessus, et sans prévenir, ma main se plaque à son ventre, que j'agrippe sur le coté pour le faire basculer sur le dos, et me hisser au dessus de son corps, collé peau à peau. La perfusion a suivi, tout s'est cassé la gueule sur le lit dans un bruit semi métallique du porte manteau par terre, mais j'm'en fous. ça peut attendre. Mon ventre épouse le sien, fin contre massif, même nos peaux se contrastent et j'encaisse la douleur de ma plaie compresser poser mes avant bras sur les siens. « j'te suis redevable... » je suis fou, encore shooté, donc la douleur est supportable et ma logique douteuse mais dans cette position impossible qu'il ne sente pas ma « gentille » sentinelle, au garde à vous, contre l'intérieur de sa cuisse, même si le drap sépare clairement nos bassins.
Du bout de mon nez, je frôle le dessus de sa mâchoire dans la longueur pour finir par l'embrasser sur l'angle sous l'oreille... ma joue remontant contre la sienne, jusqu'à ce que mes lèvres caressent légèrement les siennes dans la moitié de leur longueur. "demande moi c'que tu veux..."
Deliora
Kim Won Sik - Ravi
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Itaewon
Mécanicien - Professeur de boxe pour enfant
Célibataire - Obsession malsaine pour un seul homme, son cauchemar, son bourreau. Un diable auquel il pourrait offrir son âme.
Il est couvert de tatouages. Sur sa main trône la mâchoire de Baba Yaga qui a souvent hanté ses nuits. Pour ne jamais oublier. Ne jamais pardonner.
Il ne voit presque plus de l’oeil gauche suite à un combat de boxe quand il n’avait que vingt ans.
Il a commencé la boxe pour se défouler et pouvoir se défendre contre le possible retour de Baba Yaga.
Il a tendance à fumer un peu trop, mais il ne touche plus à l’alcool depuis trois ans. Il participe aux réunions des alcooliques anonymes.
Doué de ses mains, il n’est pas que bon dans son travail. Il sait aussi cuisiner. Certaines femmes vantent également son doigté.
Il a recueilli un chien qui trainait devant chez lui : Spaghetti
Il fait preuve d’une patience à toute épreuve, mais uniquement avec les enfants.
Il conduit une moto, et roule toujours trop vite. Il a tendance à prendre des risques pour se sentir vivant.
Il s’est souvent retrouvé mêlé à des bagarres à la sortie des bars, mais il est aussi connu pour avoir fait quelques strip-tease sur les tables.
Il a eu une relation avec son professeur de lettres au lycée. Elle était beaucoup plus âgé. Vingt ans de plus que lui.
Il a eu de nombreuses relations d’un soir, incapable de s’attacher, mais il ne se souvient d’aucun prénom. Trop ivre pour avoir un souvenir.
Il laisse la lumière de son couloir allumée la nuit pour pouvoir repérer une ombre qui passerait devant sa chambre. Il se réveille au moindre bruit.
Il a participé pour le calendrier du club de boxe afin de reverser les dons à une association. Il était monsieur Mars.
Il a tenté d’avoir une petite amie pour essayer de vivre une vie normale. Il n’a tenu que trois jours.
Pas très au fait de la mode, son armoire est remplie de jean troués, t-shirt et baskets.
Il s’est fait mordre par un cheval lors d’une sortie scolaire, depuis il n’ose plus s’en approcher.
Il n’a pas parlé à un de ses amis pendant plus de deux semaines parce qu’il avait mangé le dernier chocolat.
Célibataire - Obsession malsaine pour un seul homme, son cauchemar, son bourreau. Un diable auquel il pourrait offrir son âme.
Description :
Il est couvert de tatouages. Sur sa main trône la mâchoire de Baba Yaga qui a souvent hanté ses nuits. Pour ne jamais oublier. Ne jamais pardonner.
Il ne voit presque plus de l’oeil gauche suite à un combat de boxe quand il n’avait que vingt ans.
Il a commencé la boxe pour se défouler et pouvoir se défendre contre le possible retour de Baba Yaga.
Il a tendance à fumer un peu trop, mais il ne touche plus à l’alcool depuis trois ans. Il participe aux réunions des alcooliques anonymes.
Doué de ses mains, il n’est pas que bon dans son travail. Il sait aussi cuisiner. Certaines femmes vantent également son doigté.
Il a recueilli un chien qui trainait devant chez lui : Spaghetti
Il fait preuve d’une patience à toute épreuve, mais uniquement avec les enfants.
Il conduit une moto, et roule toujours trop vite. Il a tendance à prendre des risques pour se sentir vivant.
Il s’est souvent retrouvé mêlé à des bagarres à la sortie des bars, mais il est aussi connu pour avoir fait quelques strip-tease sur les tables.
Il a eu une relation avec son professeur de lettres au lycée. Elle était beaucoup plus âgé. Vingt ans de plus que lui.
Il a eu de nombreuses relations d’un soir, incapable de s’attacher, mais il ne se souvient d’aucun prénom. Trop ivre pour avoir un souvenir.
Il laisse la lumière de son couloir allumée la nuit pour pouvoir repérer une ombre qui passerait devant sa chambre. Il se réveille au moindre bruit.
Il a participé pour le calendrier du club de boxe afin de reverser les dons à une association. Il était monsieur Mars.
Il a tenté d’avoir une petite amie pour essayer de vivre une vie normale. Il n’a tenu que trois jours.
Pas très au fait de la mode, son armoire est remplie de jean troués, t-shirt et baskets.
Il s’est fait mordre par un cheval lors d’une sortie scolaire, depuis il n’ose plus s’en approcher.
Il n’a pas parlé à un de ses amis pendant plus de deux semaines parce qu’il avait mangé le dernier chocolat.
Oui il était venu. Contre sa volonté, poussé par son obsession, une pulsion incontrôlable qui laissait son esprit sombrer dans le chaos. Il avait de la haine envers cet homme, beaucoup de haine, mais ce n’était pas ce qui l’avait amené dans cet appartement dégueulasse. Non, c’était le souvenir de ce corps qu’il avait pu apercevoir le temps de quelques minutes et qui l’avait hanté au point de l’empêcher de dormir. Il voulait se barrer Sebastian, le plus loin possible, mais ses jambes refusaient de bouger, presque apaisé par le contact de sa main sur son ventre. Comme la folle impression de se sentir en sécurité si près de sa chimère. Il avait passé douze ans à fuir et aujourd’hui, chacun de ses pas le menaient jusqu’à lui. Pour un regard, pour une caresse, véritable junkie prêt à vendre son âme pour sa dose. Il était tombé aussi bas, et il se détestait pour ne plus trouver la force de se défendre. Un besoin presque vital de sentir sa chaleur. Il mourait de sa présence, bien plus que de son absence. Alors ses doigts se faisaient plus possessifs sur ce torse musclé, tatoué, et il adorait ressentir son envie, sa frustration, sa crispation. Il était capable de lui faire tant d’effet d’un simple geste. Lui. Personne d’autre. Egoïste, il le devenait quand il s’agissait de son sorcier.
Le pouvoir. La puissance. Tout ce qu’il n’avait jamais eu et qu’il était pourtant aujourd’hui en train d’exercer sur cet homme entièrement à sa merci. Il voulait le briser, lui arracher des cris de souffrance, sentir ses muscles se contracter sous ses mains envieuses. Des idées qui éveillait une drôle de chaleur au creux de son estomac et à laquelle il n’avait pas le temps de penser. Il s’était laissé surprendre, surplombé par un Bao encore conscient malgré les perfusions. Il fronçait les sourcils, grimaçant légèrement suite au bordel monstre qu’il venait de foutre. Une véritable brute qui dévastait tout sur son passage. Une tornade qui avait foutu en l’air sa vie, son monde, tout ce à quoi il tenait. Il lui coupait le souffle, perturbé par un contact aussi direct. Oh il en avait sauté des filles dont il ne connaissait pas le nom, mais aucune, jamais aucune, n’avait réussi à le rendre muet. Presque sage, obéissant. Son cerveau lui hurlait de le repousser, mais tout ce qu’il faisait, c’était observer ses lèvres. Si désirables. « Redevable ? Pourquoi ?» qu’il osait demander dans un murmure rauque. Il ne le laissait pas indifférent. En particulier quand il sentait une excitation bien présente contre sa cuisse. Rejetant la tête en arrière, un soupir de ce qui semblait être de la satisfaction, lui échappait. Incontrôlable.
Il jouait avec lui. Il prenait un malin plaisir à le torturer comme il l’avait toujours fait, mais d’une manière bien plus délicieuse. Sa respiration brulante contre sa peau lui faisait perdre pied, il en oubliait même sa rage une fraction de seconde, mais elle lui revenait toujours en pleine gueule. Et ses lèvres si proches des siennes… Tourmenté par cette envie irrépressible, il se sentait trembler d’impatience. Une insatisfaction qui lui retournait l’estomac. « Je veux juste que tu fermes ta gueule…» Des mots qui mouraient contre la bouche de Bao dont il avait pris possession, redressant légèrement la tête. Ses dents attrapaient sa lèvres inférieure qu’il malmenait jusqu’au sang, avant de laisser sa langue rejoindre sa jumelle pour une danse enflammée. Un baiser brouillon, presque violent qui trahissait son désespoir. Sebastian il n’avait aucune idée de ce qu’il désirait vraiment. Il voulait le voir mort, et en même temps, il avaient envie de parcourir son cors, de le faire sien, d’y laisser sa marque. Un terrible appétit, une possessivité qui était en train de le démolir. C’était le souffle saccadé qu’il reprenait ses esprits, laissant retomber sa tête contre l’oreiller, ses bras toujours prisonniers des siens. « Pousses toi maintenant…» Oh non, il n’avait aucune idée de ce dont il était capable après avoir cédé à cette terrifiante pulsion. Et ses reins… Ses reins étaient en feu, éveillant une certaine partie de son anatomie qu’il préférait garder endormie. Embrasser le sorcier lui avait semblé presque naturel, lui qui n’avait jamais ressenti aucune attirance pour un homme. Il s’était infiltré dans son esprit et il détruisait le peu d’intellect qui lui restait.